CITATIONS, PAROLES, PROVERBES PLEINS DE SENS QUI PORTENT À RÉFLÉCHIR

Seul le rêve n'est pas taxé. Donne à ce monde frelaté de bonnes énergies.

 
« Éros, c'est la vie ! » ■ Henri Béhar
 
« Le beau, c'est la splendeur du vrai. »

« Il y a trois sortes d’hommes : les amoureux de la sagesse, les amateurs d’honneur, et les amoureux du gain. »

« Il n'y a d'ignorants que ceux qui veulent l'être. »

 

■ PLATON

 
« Il est temps de vivre la vie que que tu t'es imaginée. »
 
Henry James (1813 – 1916)
 
« Il vaut mieux faire envie que pitié. » ■ Expression française
 
« Seuls conspirent efficacement contre le monde actuel ceux qui propagent en secret l'admiration de la beauté. » « Ne flattent le Peuple que ceux qui mijotent de lui vendre ou de lui voler quelque chose. »
 
■ Nicolás Gómez Dávila (1913 – 1994)
 

« L'art c'est la vie, la vraie. »

« Je crois que l'art est la seule forme d'activité par laquelle l'homme en tant que tel se manifeste comme véritable individu. Par elle seule, il peut dépasser le stade animal, parce que l'art est un débouché sur des régions où ne domine ni le temps, ni l'espace. »

 

■ Marcel Auchamp (1917)

 
« Les hommes se servent des mots ; le poète les sert. » ▶ Octavio PAZ (1914 - 1990)
 
« Les artistes ne sont pas des prêcheurs de vertu mais des maîtres de lucidité. »
 
■ Eugène Déplechin (1852 – 1926)
 
« Il ne faut pas avoir honte d'être romantique. » ■ Ewan McGregor
 

« Loin des carcans puritains nauséabonds venus d'un lointain désert, nos filles de la lumière vont librement sur les plages, au gré des vents favorables. »

 

■ Louarn Ruz

 

« Une plastique irréprochable, une liberté sans tabous ni entraves ! Le doux minois s'accorde harmonieusement avec le minois soyeux. Le réel et l'imaginaire forment un tout indissociable.

Le vitrail dont nous admirons encore aujourd’hui toute la richesse, outre le détail artistique, n’a de cesse de s’emparer de la lumière afin de la décliner en de subtiles couleurs qui soulignent l’amour intense du Créateur pour la beauté et pour la lumière, les deux étant souvent intimement liées.

Quoi qu’il en soit, force est de constater qu’en dépit d’apparences trompeuses, le Moyen Âge s’est remarquablement efforcé de rendre un hommage désormais atemporel à la beauté, tant dans le domaine artistique que littéraire, participant à une véritable esthétique qu’il nous importe à présent de débusquer.

Autre mission qui nous incombe : celui de pérenniser l'œuvre de nos devanciers par une diffusion de qualité.

N'est-ce pas le propre de tout Artiste digne de ce nom d'évincer la laideur pour afficher la splendeur apparente ? Le reste n'est que nécrose de l'esprit. »

 

■ Louarn Ruz & Thierry La Fronde

 

« Qui pourrait l'empêcher de swinguer ? Plus qu'une tendance, le mouvement progressiste s'installe dans la société et rassemble de plus en plus d'adeptes. Tel un camp d'irréductibles Gaulois séditieux, le Naturisme, catalyseur des résistances suspendues au glaive de Liberté ne lâche rien ! Ses effectifs ressemblent tellement à l'esprit contestataire empreint de finesse, d'indépendance et d'audace inhérent au Paganisme que c'est à s'y méprendre. Comme une étreinte du mistral habile à disperser ses bourrasques opposés invariablement aux diktats culturels pernicieux et politico-religieux sexistes qui tentent de s'imposer en catimini, voile et sépulture en tête. Scaramouche dirait que oui - mais si, c'est très grave d'obéir docilement à la voix de son maître cathodique ; marcher dans les clous : c'est pas notre truc ! C'est le moment ou jamais de lâcher les chevaux en montrant à tous les ingérables macramés, prédateurs hallucinés de l'arrière-monde de quel bois nos nombreuses écoles européennes de gladiateurs rompus à la castagne se chauffent ! Va y avoir du sport ! »

 

■ Goldorak

 

« La vérité, comme la lumière, aveugle. Le mensonge, au contraire, est un beau crépuscule qui met chaque objet en valeur. »

 

L'été (1954) de Albert Camus
 

 

Je déteste la Toussaint

 

Bouffez vos chrysanthèmes jusqu'au bout des racines,
Ravalez vos mouchoirs, et remballez vos hymnes,
Détruisez les allées de votre cimetière
Et, de grâce, épongez vos pleureuses prières.

Allumez le soleil, et retenez les feuilles
Des arbres qui vomissent vos angoisses d'orgueil,
Arrêtez de gémir, stoppez vos couinements
Allez plus loin faire croire à tous vos boniments,

Faites péter les bulles et tendez-nous des verres,
Amidonnez la nappe, tendez-la sur nos pierres
Ne faites pas de voeux, nous ne reviendrons pas,
Il y a longtemps qu'on a détricoté nos pas.

Ne baissez pas la tête, ne joignez pas les mains,
Non, ne ratissez pas le sable dans les coins,
Remportez vos vieux pots, vos vases et vos plaques
Qui sentent trop ce que la vie contient d'arnaques.

Ne vous bousculez pas, c'est un jour comme un autre,
De ceux que l'on enfile en regardant les vôtres,
Dites aussi au gardien d'arrêtez de siffler
D'arrêter de chanter, surtout de nous parler,

Mouchez-vous, nom de Dieu, et dans vos yeux rougis,
Écartez le voile sombre de vos hypocrisies,
Ne croyez surtout pas que nous vous survivons,
La vie après la mort, c'est une idée bidon.

Il n'y a rien, ici, qui soit un brin vivant,
Ni air, ni eau, ni feu, ni aucun sentiment,
Nous ne sommes rien d'autres que des courants d'air
Que vous créez vous-mêmes au vent de vos prières.

Retraversez la grille avec votre tristesse,
Ce monde-ci est vide de la moindre tendresse.
Vous le savez, bien sûr, car depuis la naissance
Nous savons qu'un beau jour, dans un bain de silence
Il faudra s'habituer à vivre sans réponse,
À s'écorcher l'esprit dans de grands champs de ronces.
Ce n'est pas à la mort qu'il faut montrer les dents
Mais à ceux qui font croire qu'on est encore vivant.

 

■ Rémy Beurion

 

 

« La liberté, c'est, après naître, la difficulté de s'unir. » ■ Georges Braque

 

POÍÊSIS, PLANCHE DE SALUT POUR TRAVERSER LE CHAOS ?

 

* Étymologie

 

Nom commun féminin dérivé du grec ancien ποίησις, poíêsis (« création »).

 

« La Poésie astrale... je la tiens pour essentielle à l'homme, autant que les battements subtils de son cœur. Dans les moments les plus difficiles de la vie, j'ai toujours lu, gribouillé, innové, imaginé, brodé, chiné, poché, médité, composé. Les surréalistes ou les parnassiens — tauliers aux semelles de vent, fils conducteurs — me font sentir combien l'âme Celte plane au-dessus d'un nid de coucou. Elle déploie ses ailes fluides ravigotantes, décolle de la mêlée ; je me sens mieux en écrivant à bâtons rompus ; le retour à la réalité est toujours difficile. La vie moderne comporte aussi ses responsabilités astreignantes, mais obligatoires; à mon sens, il n'est pas sain que les contingences matérielles mettent au pas les longs moments de rêvasserie. L'Art ne sait pas faire "la part des choses, il dépasse de loin les sinistres comptes d'apothicaire. On n'emporte pas ses pièces et ses lingots d'or dans la tombe.

 

On est de grands enfants, des pirates de l'air, de doux dingues impénitents qui scintillent particulièrement bien la nuit ! Des passages de brevets de littérature sont organisés régulièrement pour détecter les lutins du waterman ès spécimens uniques. Car jouer aux avions à réaction, c’est foutrement sérieux ! Piquer du nez est l'apanage des petits joueurs, Ah ! qué trompettes ! Faucheurs de marguerites : un petit avion trotte dans la tête de linotte des loustics adeptes du looping.

 

Les faiseurs de rimes répondent au doux nom de « Faucheurs de marguerites ». Mais s'ils gardent la foi, ils demeurent l'exception plutôt que la règle, et restent volontairement hermétiques à l'afflux de vigiles impassibles issus du gotha cuistral bureaucratique lamentablement figé au-ras des pâquerettes.

 

Ce ne sont pas n'importe qui que nous avons là. Ce sont les derniers des mohicans  : les êtres lumière ! »

 

■ ÉOLE

 

« L'art est un pas de la nature vers l'Infini. » ■ Khalil Gibran, Le sable et l'écume.
 

« L'art s'était efforcé de tout temps de donner un moyen d'expression à ce besoin inexprimé de divin qui est en nous. »

« L'art n'était rien d'autre que la contemplation du monde pénétré par la grâce, éclairé du dedans. Révéler la présence de Dieu derrière chaque objet, telle était la fonction de l'art. »

« Un artiste qui fait œuvre d'imagination évite les mathématiques pures et la logique non parce qu'il a décelé quelque chose en elles, ni parce qu'il trouve à redire, mais parce que d'instinct il est porté ailleurs. »

 

■ Hermann Hesse (1877–1962), romancier, poète, peintre et essayiste allemand.

 
« Fais ce qui te rend heureux, sois avec celles et ceux qui te font sourire, ris autant que tu respires et aime aussi longtemps que tu vivras.  »
 
Loïc Arnould, artiste photographe pyrénéen
 
« Les fous se précipitent là où les anges craignent de poser les pieds.  » ▶ Alexander Pope (1688–1744)
 
« Un beau visage est le plus beau de tous les spectacles ; et l'harmonie la plus douce est le son de voix de celle que l'on aime. »
« L’esprit de la conversation consiste bien moins à en montrer beaucoup qu’à en faire trouver aux autres : celui qui sort de votre entretien content de soi et de son esprit, l’est de vous parfaitement. Les hommes n’aiment point à vous admirer, ils veulent plaire ; ils cherchent moins à être instruits, et même réjouis, qu’à être goûtés et applaudis ; et le plaisir le plus délicat est de faire celui d’autrui. »
« C’est une grande misère que de n’avoir pas assez d’esprit pour bien parler, ni assez de jugement pour se taire. Voilà le principe de toute impertinence. »
« Un honnête homme qui dit oui et non mérite d’être cru : son caractère jure pour lui, donne créance à ses paroles, et lui attire toute sorte de confiance. »
« Un homme de bien ne saurait empêcher par toute sa modestie qu’on ne dise de lui ce qu’un malhonnête homme sait dire de soi. »

« La liberté n'est pas oisiveté ; c'est un usage libre du temps, c'est le choix du travail et de l'exercice : être libre en un mot n'est pas ne rien faire, c'est être seul arbitre de ce qu'on fait ou de ce qu'on ne fait point ; quel bien en ce sens que la liberté ! »

« Il faut rire avant que d'être heureux, de peur de mourir sans avoir ri. »
 
▶ Jean de La Bruyère (1645–1696), écrivain français (XVIIe siècle), extrait des Caractères.
 

« Les comiques, les fantaisistes, les chansonniers, les rigolos, les clowns devraient être remboursés par l'Etat et les places remboursées par la Sécurité Sociale, car nous sommes en quelque sorte les soupapes, les sorciers et les médecins du peuple. »

 

■ Ricet Barrier (1932–2011)


« L'insolence est l'arme des personnes bien nées. » ■ Claude Aveline

 

« Le véritable artiste ne copie pas la nature, il l'interprète. » ■ Maurice Denuzière

 

« Les œuvres d'art ne se font pas. Elles adviennent. » ■ Alessandro Baricco

 

« La vie, c'est l'art de dessiner sans gomme à effacer. » ■ John William Gardner, (1912 – 2002)

 

« La bassesse du monde est telle qu'il faut sans cesse agiter les jambes en courant, de peur de se les faire voler. »

 

▶ Bertolt Brecht (1898–1956)

 

« L'appétit de savoir naît du doute. Cesse de croire et instruis-toi. » ▶ Marcel PAGNOL (1895–1974)

 

 La science a certes quelques magnifiques réussites à son actif mais à tout prendre, je préfère de loin être heureux plutôt qu'avoir raison.

« N'est-il pas suffisant de contempler un jardin si magnifique sans avoir à croire en plus que des fées l'habitent ? »

« Il est un moment à chaque aube où la lumière est comme en suspens ; un instant magique où tout peut arriver. La création retient son souffle. »

« Les êtres humains, qui sont remarquables de par leur capacité à tirer des leçons de l'expérience des autres, sont également remarquables pour leur inclination à ne pas le faire. »

 

▶ Douglas Adams, Artiste, écrivain, scénariste, romancier anglais (1952 - 2001)

 

« Un peintre c'est quelqu'un qui essuie la vitre entre le monde et nous avec de la lumière, avec un chiffon imbibé de silence. »

 

▶ Christian Bobin

 

« Plus claire la lumière, plus sombre l'obscurité... Il est impossible d'apprécier correctement la lumière sans connaître les ténèbres. »

 

■ Jean-Paul Sartre

 

« Peut-être distinguera-t-on à la fin de ce siècle deux classes d’hommes, les uns formés par la télévision, les autres par la lecture. »

■ Ernst JÜNGER (1895 – 1998)

 

« À la différence des chrétiens qui prient la tête baissée et les mains jointes en signe de soumission, parfois même à genoux, à l'opposé des musulmans qui, eux, s'affalent carrément à plat ventre cinq fois par jour comme une limace gluante pour prêter allégeance à allah, aux antipodes de la sinistre loi judaïque qui ordonne à ses sujets pratiquants de courber quotidiennement trois fois l’échine lors de la reptation en direction de Jérusalem, les fiers Païens prient toujours debout, la tête et les bras levés vers le ciel, la lune ou le soleil, selon le cas. Ils sont aussi bien souvent plus libres d'esprit et de corps, la nudité leur étant naturelle. — »

 

■ Épona Rhiannon d'Avalon

 

« Quand une lumière rencontre une autre lumière on entend monter un chant de prophète. »


▶ Eugène Guillevic

 
« Le bonheur est l'expression même d'une pleine santé ! La faculté de rire aux éclats est signe d'une personne saine de corps et d'esprit. La dégradation de la condition physique et mentale sont généralement les premiers symptômes qui apparaissent lorsqu'un proche déprime. »
 
■ Mordicus
 
" La jeunesse est dans la tête. Je compare toujours la période où l'on devait se débrouiller pour se nourrir, mais il faut dire aussi que les temps n'étaient pas les mêmes. La vie était plus gaie, on avait un entourage de gens généreux intéressés par la danse qui, finalement étaient quand même très avertis de ce qu'on vivait. À l'époque, c'était terrible, les problèmes économiques étaient extrêmes, nous n'étions pratiquement jamais payés mais l'argent n'était pas un souci ; les gens n'attendaient pas d'avoir de l'argent pour faire quelque chose : ils faisaient ! Les situations que nous avons connu n'existent plus aujourd'hui. "

■ Marie-Thérèse Allier
 
« Seul le battement à l'unisson du sexe et du coeur peut créer l'extase. »

« L'Érotisme est l'une des bases de la connaissance de soi, aussi indispensable que la poésie. » « Si je n'avais pas créé mon propre monde, je serais probablement morte dans celui des autres. »

■ Anaïs Nin (1903–1977)

 

« Le nu est la sincérité du corps : une honnêteté que tout le monde ne peut avoir. »

 

■ Jacinto Benavente y Martínez (1866–1954)

 

 « Je suis jeune, il est vrai; mais aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années ».

■ Pierre Corneille (1637). Extrait de son œuvre Le Cid , pièce de théâtre tragi-comique en vers.

 

« Il n'y a là aucune prétention érotique : le corps dévêtu participe pleinement aux idées de plénitude, de liberté et de force. » ■ Ludovic Florent

 

« Le nu, c'est le corps humain à son naturel. Nous naissons nus et nous mourrons nus. »

 

■ Alicia Beauchemin

 

« La poésie musicale, c'est la vie même du grand Éros, morte et par là survivante. »

 

■ Pierre Jean Jouve (1887–1976)

 

« L'art, c'est la représentation de la nature, et la nature par excellence, c'est le corps humain, c'est le nu. » ■ Anatole France (1914)
 
« Le naturisme est un état d'esprit avant tout... un mode de vie à la bonne franquette de plus en plus fréquent. Une cure de sérotonine. L'essayer, c'est l'adopter ! » ■ Sissi
 
« Le naturisme en société, c'est la culture d'un art de vivre en étroite collaboration avec la nature, sans l'artifice du vêtement, qui n'est que le fallacieux prétexte pour travestir notre personnalité endogène. » ■ Claudine Tatarenko
 
« Le nu ne se réduit pas au sexe, il n'est que l'aboutissement d'une recherche de nudité naturelle, totalement innocente, et exempte de toute provocation. » ■ Jock Sturges
 
« Nous devons préserver l'existence de notre peuple et l'avenir des enfants blancs car la beauté de la femme Aryenne ne doit pas disparaître de la Terre. » — David Eden "Wodensson" Lane (1938–2007)
 

« Au père jésuite Louis Davaugour qui lui disait qu'il aimait leurs âmes, un Sachem répondit : vous aimez nos âmes ! Ce n'est pas suffisant. Il faut aimer nos corps aussi... »

 

■ Chef de Nation Huronne-Wendat.

 

« L'Érotisme est terriblement beau quand il est bien décrit. En outre, il met du piment dans une vie de couple.
Et ce genre de femme bégueule qui joue la viole offusquée en se drapant dans les oripeaux du politiquement correct sous une posture convenue de Précieuse (Ridicule) coincée du pétoulet à la vue des amuse-bouches festifs est généralement la pire des salopes perverses ! Antipathique et misanthrope devant l’Éternel, il lui insupporte de voir les autres tracer leurs sillons, progresser et se faire apprécier. Ne plaisantez pas avec pareille mégère pète-sec : l'austérité ostentatoire lui va mal. D'abord difficile, la mère pisse-vinaigre ne s'associe pas au rire de bonne foi ni à la facétie.

Voilà mon point de vue tranché en fines rondelles de salami, vous le savez ; je n'en démords pas d'un pouce.

Les graines de poètes taquinent la muse à vau-l'eau. L'Art du nu olé-olé appartient à notre patrimoine culturel européen commun. Point final.

Que vivent les fesses généreuses et les Belles Lettres manuscrites tapant en-dessous de la ceinture ! »

 

■ Nathalie la Celte

 

« Si tu veux tu es neuve

Si tu veux tu es la seule neuve au monde
Et il y en a des tonnes tous les jours qui déversent leur joie dans les forêts-mystère... »

 

■ Léo Albert Charles Antoine Ferré (1916–1993)

 

« La richesse de la littérature érotique au féminin vient souvent du fait qu’elle joue avec les codes, le code érotique et le code sexuel. Les femmes sont l’avenir du livre érotique, les hommes trouvant leur satisfaction sur Internet. Dans la new romance, l’amour n’exclut pas le sexe, tandis que, dans le roman érotique, – qui prend le sexuel comme centre narratif – le sexe, n’exclut pas l’amour. Libérer et développer l’imaginaire par le biais de la littérature érotique, ça peut être un formidable pied de nez à la pornographie ».
 
■ Alexandra Destais. Docteure en littérature, auteure, conférencière

 

« J'ai décidé d'être heureux car c'est bon pour la santé. »
« Il est bon nombre de gens, en ce monde, qui ont un double visage. »

« Du rigorisme embouche la trompette ; Sois hypocrite, et ta fortune est faite. »

« Il y aura toujours des barbares et des fourbes qui fomenteront l'intolérance ; mais ils ne l'avoueront pas, et c'est avoir gagné beaucoup. »

« C’est un mal-vivant, qui gagne sa vie à dire du mal de toutes les pièces et de tous les livres ; il hait quiconque réussit, comme les eunuques haïssent les jouissants ; c’est un de ces serpents acides de la littérature qui se nourrissent de fange et de venin ; c’est un aboyeur folliculaire.

Ces messieurs les journalistes ressemblent assez aux chiffonniers, qui vont ramassant des ordures pour faire du papier.

- Qu’appelez-vous un folliculaire ? dit Candide.
- C’est un faiseur de feuilles, un scribouillard, un maraud, un Fréron
— »

 
■ François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE (1694–1778)
 
« La presse est libre ; dans aucun temps, pour aucun motif, et sous aucun prétexte, elle ne recevra aucune atteinte ni effet rétroactif. »
 
■ Louis Stanislas Fréron (1754–1802), (Discours en faveur de la liberté de la presse, mai 1795).
 
« La sensualité, c'est la valeur ajoutée qui détermine la féminité. Même sans le contact et avec les portes fermées, le voyant reste allumé. » ■ L'arbe halète
 
« Le merveilleux est toujours beau, n’importe quel merveilleux est beau, il n’y a même que le merveilleux qui soit beau. »
 
■ André Breton (1896–1966)
 

« Ce sont les frustrations sexuelles qui engendrent la pornographie, si la plupart des adultes n'étaient pas si empotés comme un container lyophilisé raplapla pendant la bagatelle, cette problématique de décadence sociétale à but commercial serait totalement secondaire. »

 

■ Laurent Leisi  

 

« La pudibondieuserie, c'est le TOC des Tartuffes frappés de paralysie cérébrale avant l'heure, la java  sentencieuse des cafalos venimeux bercés trop près du mur. »

 

■ Titou Didyme

 
« Compare la vie à la lumière du jour qui fuit dans la nuit... Et quand la lune fait rejaillir la lumière, c'est un rêve qui surgit. » ■ Descrea
 

Le fonds de commerce de la religion, c'était la crédulité des ouailles. ■ James Cameron

 

« Les poètes et les peintres sont frères siamois en amitié. Ils sont attachés par leur leur vision personnelle du monde. Ces compagnons de l'art chantent avec force et simplicité les choses de la vie.
En témoignent de petites sculptures sophistiquées, polygones en mille variations. Mais leur principal terrain de jeux demeure la lumière.
L'inspiration, ces êtres sentants et pensants la puisent avant tout dans leurs origines. Nombre des installations des créateurs se composent de bribes de paysages soufflés par l'île de leurs aïeux. Amoureux de leurs racines, ils semblent ouvrir des brèches dans les salles blanches du musée.
Un besoin constant de créativité les habite. Hommes innovants, fraternels, dotés d'un optimisme inébranlable, ils ont quelque chose de rustique. Ce sont des cœurs purs indémodables rescapés d'un crash aérien. »

 

■ LE MÉNESTREL DES GARRIGUES

 

1er verset de l'Existentialisme et la sagesse des nations.

 

« Il ne faut pas dominer les "bas instincts" qui sont en nous. Clef de voûte du Paganisme Européen, la libido est un vrai baromètre de notre bonne santé psychique. Comprenne qui pourra. Il est vrai que chercher à comprendre prouve qu'on ne comprend rien à la doctrine.

Les femmes pleines de vie et de lumière savent toutes toucher une corde sensible...

Vas-y Henri et fonce Alphonse !

Pour conclure, arrêtez de rêver, et revenez à l'essentiel !!! Un homme ♂ reste toujours un homme. »

 

■ Robin des Bois

 

« La nature est culturelle. » ■ Olafur Eliasson

 

« Heurter de front ses sentiments est le moyen de tout gâter; et il y a de certains esprits qu’il ne faut prendre qu’en biaisant, des tempéraments ennemis de toute résistance, des naturels rétifs, que la vérité fait cabrer, qui toujours se raidissent contre le droit chemin de la raison, et qu’on ne mène qu’en tournant où l'on veut les conduire. »

« Je hais ces cœurs pusillanimes qui, pour trop prévoir les suites des choses, n'osent rien entreprendre. »

« L'hypocrisie est un vice à la mode et tous les vices à la mode passent pour vertus. »

 

■ Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE "L'Avare" (1668)

 

« Nous aimions à gravir les coteaux ensemble, à voguer sur le lac, à parcourir les bois à la chute des feuilles : promenades dont le souvenir remplit encore mon âme de délices. Ô illusions de l'enfance et de la patrie, ne perdez-vous jamais vos douceurs ?

Tantôt nous marchions en silence, prêtant l'oreille au sourd mugissement de l'automne, ou au bruit des feuilles séchées, que nous traînions tristement sous nos pas ; tantôt, dans nos jeux innocents, nous poursuivions l'hirondelle dans la prairie, l'arc-en-ciel sur les collines pluvieuses ; quelquefois aussi nous murmurions des vers que nous inspirait le spectacle de la nature. Jeune, je cultivais les muses ; il n'y a rien de plus poétique dans la fraîcheur de ses passions, qu'un cœur de seize années. Le matin de la vie est comme le matin du jour, plein de pureté, d'images et d'harmonie. »

« Il faut être économe de son mépris en raison du grand nombre de nécessiteux. »

« Le plus grand malheur des hommes, c'est d'avoir des lois et un gouvernement. Tout gouvernement est un mal, tout gouvernement est un joug. »

« L’ambition dont on n'a pas les talents est criminelle. »

 

■ François René, vicomte de Chateaubriand (1768–1848)

 

« Les interdits ne sont pas l'affaire des habitants de l'Olympe ; de même qu'ils ne descendent pas sur terre pour racheter des fautes. Le païen est conscient qu'il ne retrouvera pas la représentation du divin dans un paradis exclusivement réservé aux bons élèves. Et, c'est aussi pourquoi il ne redoute pas la mort. »

 

■ Bruno Favrit, Présence Païenne, L'AEncre 1996

 

« La poésie est poésie, libre, et seulement ça, ou elle n'est pas, ou elle cesse d'être, et sans le moindre soupçon de préoccupation morale. » 

 

▶ Pierre REVERDY (1889 – 1960)

 

« Tout le monde n'a pas eu la chance de naître orphelin ».

 

■ Jules RENARD (Poil de carotte, roman autobiographique publié en 1894)

 

« L'amour excessif de l'argent peut faire perdre la raison au plus riche des hommes qui n'en aura jamais assez ».

 

Jacquou le Croquant

 

« L'insouciance ne s'improvise pas. » ■ Raymond Radiguet (1903–1923)

 

« Le puritanisme en gélule, qu'on le veuille ou non, c'est la ciguë anaphrodisiaque sans arrêt rabâchée par le quota de macchabées crétins calfeutrés dans un linceul de tristesse, le traitement apathique des grabataires fracassés du bulbe, défouloir préféré de tous les grincheux asexués cucul la praline shootés aux anxiolytiques et formés du même limon vicelard.

Ça leur apprendra à être con comme un manche !!! »

 

▶ Doumé de la Belle de Mai

 

« Tu n'en trouveras pas beaucoup qui se montrent, dans les conjonctures difficiles, des compagnons fidèles, qui, s'unissant de cœur à un ami, osent accepter le partage et des biens et des maux. »

 

■ Théognis de Mégare

 

« L'authentique soi est l'âme rendue visible. » ▶ Sarah Ban Breathnach.

 

« Qu'ai-je gagné à la philosophie ? Vivre sans soins. » ■ Cratès de Thèbes

 

« Le monothéisme est le cancer du bas monde. La cataracte est la troisième cause de cécité. La religion et la politique sont les deux premières. »

 

■ L'Anti-Média

 

« Le voile des vertus, ce n'est pas l'humilité, c'est le naturel. »

■ Henri Boucher (1866)

 

« J'ai en dédain et en dégoût toutes les hypocrisies. »
 
■ Émile de Girardin (1806–1881)
 

« L'hypocrisie et les bigots sont la ruine du monde. »

 

■ Christine de Suède ; Maximes et pensées (1682)

 
« Le masque de l'hypocrite tombe tôt ou tard : l'hypocrisie se trahit toujours par quelque endroit elle-même, c'est du moins un hommage que le vice rend à la vertu, en s'honorant de ses apparences. »
 
■ Jean-Baptiste Massillon (1663–1742)

 

« L'hypocrisie et le mensonge sont les armes du traître. »

 

■ Antoine Gombaud ; Maximes, sentences et réflexions (1687)

 

« L'hypocrisie, l'ingratitude et l'égoïsme sont les plus odieux des vices. »

 

■ Hypolite de Livry ; Pensées et réflexions (1808)

 

« Le monde n'est qu'un perpétuel bal masqué où les cœurs se présentent tous sous des dominos roses et riants ; c'est entre eux un continuel échange d'hypocrisie et de dissimulation ; on s'y dit tout, sauf ce qu'on pense ; on y paraît tout, sauf ce qu'on est ; le plus vertueux est celui qui y fait le moins de dupes ; le plus heureux, celui qui ne l'est pas lui-même. »

 

■ John Petit-Senn ; Les formules de politesse (1840)

 

« Secte, religion ; foi, superstition, juste un problème de définition. » ■ Antonio Navalhas

 

« La poésie est une arme chargée de futur » ▶ Gabriel Celaya, 1970

 

« La vie, c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. »

 

■ Robert Lee Zemeckis "Forrest Gump"

 

« La Poésie, c'est le plus joli surnom que l'on donne à la vie. » ■ Jacques Prévert (1900–1977)

 

« Un sourire est le plus beau maquillage qu'une femme puisse porter. » ▶ Katherine Pancol 

 

« Les yeux sont faits pour effacer ce qui est laid. » ■ Raoul Dufy (1877 – 1953)

 

« Il n'est que d'avoir d'esprit bonne ouverture. » ■ Charles de Bourdigné

 

« Lumière indélébile, force d'émancipation, magie cristalline à l'état pur, échappatoire de bon aloi, la Poésie à flanc de montagne m'a donné la vie. De fait, elle en est la sève, la substantifique moelle. »

 

■ LOU FÉLIBRE

 

« Les grands artistes sont ceux qui imposent à l'humanité leur illusion particulière. »

« Un baiser légal ne vaut jamais un baiser volé. »

« Les femmes sont plus naturellement héroïques que les héros. Et quand cet héroïsme doit aller jusqu'au merveilleux, c'est d'une femme qu'il faut attendre le miracle. »

« ... aujourd'hui on se fait député. Un pouvoir ainsi composé sera toujours lamentablement incapable; mais incapable de faire du mal autant qu'incapable de faire du bien. Un tyran, au contraire, s'il est bête, peut faire beaucoup de mal et s'il se rencontre intelligent (ce qui est infiniment rare), beaucoup de bien. Entre ces formes de gouvernement, je me prononce pas; et je me déclare anarchiste, c'est-à-dire partisan du pouvoir le plus effacé, le plus insensible, le plus libéral au grand sens du mot, et révolutionnaire en même temps, c'est-à-dire l'ennemi éternel de ce même pouvoir, qui ne peut être, de toute façon qu'absolument défectueux. »

 

■ Guy de Maupassant (1850 – 1893), Contes et nouvelles.

 

« Je veux qu’il sache exactement quelle est cette chose qui le rend unique, sinon, lorsqu’elle commencera à lui échapper, il ne s’en apercevra pas. Je veux qu’il garde les yeux ouverts et… qu’il voit… les possibilités illimitées qui s’offrent à lui. Je veux qu’il sache que cela vaut bien la peine de bousculer un peu le monde lorsqu’on le peut. Et je veux qu’il connaisse l’importante raison, subtile et dissimulée, pour laquelle il est arrivé sur terre sous la forme d’un être humain et non d’une chaise. »

 

■ extrait de la pièce de Herb Gardner intitulée "Des clowns par milliers"

 

« Le libre païen ou viking des temps modernes est un homme vaillant allant s'améliorant. »

 

■ OLEG de Normandie

 

« Pourquoi la domestication de l'homme, au lieu de produire de beaux spécimens, produit-elle les plus faibles et les plus dégénérés ? »

 

■ SOCRATE

 

« Sur le plus haut trône du monde, on n'est jamais assis que sur son cul ! »

« Les femmes rougissent d'entendre nommer ce qu'elles ne craignent aucunement à faire. »

 " Tout homme peut dire véritablement ; mais dire ordonnément, prudemment et suffisamment, peu d’hommes le peuvent. "

 

■ Michel Eyquem de Montaigne (15331592)

 

« Veux-tu être heureux ? Donne du bonheur. » ■ Antoine de Saint-Exupéry

 

« Veux-tu vivre heureux ? Voyage avec deux sacs, l'un pour donner, l'autre pour recevoir. »

« Toute production importante est l’enfant de la solitude . »
 
► Johann Wolfgang von Goethe (1749–1832)
 

« Qui cherche l'infini n'a qu'à fermer les yeux. » ■ Milan Kundera

 

« Faites des heureux en commençant par vous-mêmes ! » ■ Marcel Jouhandeau

 

« Dites la vérité, gage de sûreté. »

« Ne te marie pas, et tu mèneras une vie exempte de douleurs. »

« Souvent la vérité se présente, absolue, alors que jusque-là on ne l'attendait plus. »

 

▶ MÉNANDRE ~ poète de la Grèce antique.

 

« C’est un signe de médiocrité que d’être incapable d’enthousiasme. »

« L'insouciance est l'art de se balancer dans la vie comme sur une escarpolette, sans s'inquiéter du moment où la corde cassera. »
 

▶ Honoré Balzac (1799 – 1850)

 

« La beauté peut piquer l'œil sagace du fin connaisseur, mais si le spectateur profane a de la merde devant les yeux, c'est peine perdue : autant jouer du luth face à la tour de Pise en s'imaginant qu'elle va danser la tarentelle ! »

 

■ Giuseppe Garibaldi

 

« La force des grands caractères consiste précisément en ce qu’ils ne choisissent pas, mais sont d’emblée et depuis toujours ce qu’ils veulent et accomplissent. Ils sont ce qu’ils sont. »

« Rien de grand ne s’est accompli dans le monde sans passion. »

 

■ Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770–1831)

 

« Il y a beaucoup trop d'idiots utiles, de pauvres d'esprit encombrés de faux-semblants en ce bas monde ; il faut d'abord et avant tout se donner du mal, s'employer à essorer le linge sale et aduler l'éventail des richesses qu'offrent la galante compagnie des bons livres et la quiétude des zones boisées pour s'élever spirituellement. Ça ne tombe pas tout cuit dans le bec. »

 

■ Céline de Grasse

 

« Si une femme a le droit de monter à l’échafaud; elle doit avoir également celui de monter à la tribune. Enfants de la patrie, vous vengerez ma mort ! »
 
■ Marie Gouze, dite Marie-Olympe de Gouges, fille du peuple. Une humaniste à la fin du XVIIIe siècle. Extrait de l'article 10 de la « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne », rédigée en 1791 par Olympe de Gouges, femme de lettres (1748–1793) occitane guillotinée le 6 novembre 1793 par le tribunal révolutionnaire phallocrate de la Terreur

 

On dit communément : « La plus belle femme du monde ne peut donner que ce qu'elle a »; ce qui est très faux : elle donne précisément ce qu'on croit recevoir, puisqu'en ce genre c'est l'imagination qui fait le prix de ce qu'on reçoit.

« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale. »

« Quiconque n'a pas de caractère n'est pas un homme, c'est une chose. »

« L'amour, tel qu'il existe dans la société, n'est que l'échange de deux fantaisies et le contact de deux épidermes. »

« La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri. »

 

■ Sébastien Roch, dit Nicolas de Chamfort (1740–1794)

 

« Il est préférable d'échouer dans l'originalité que de réussir dans l'imitation. » ■ Herman Melville

 

« Quand on ne trouve pas son repos en soi-même, il est inutile de le chercher ailleurs. »

 

■ François de La Rochefoucauld (1613–1680)

 

« Ouvrir un livre érotique, c’est se laisser entraîner avec le sourire dans le jardin des mots pris à rebrousse-poil et découvrir combien, dans les plaisirs du sexe, la langue a la part belle ! »
 
■ Née en 1948, Florence Montreynaud est historienne. Elle est aussi philologue, c’est-à-dire qu’elle a le goût des langues.

 

" Mon cœur demanda à la beauté : " Tu es toute connaissance; éclaire-moi sur le mystère de la femme. "

Elle lui répondit : « Ô cœur humain, la femme est ton propre reflet, elle est tout ce que tu es; où que tu vives elle vit ! Elle est pareille à la religion quand l'ignorant ne la déforme pas, semblable à la lune quand les nuages ne la voilent pas, semblable à la brise lorsque les souillures du vent ne l'altèrent pas ! »

 

■ Gibran Khalil Gibran (1883–1931)

 

« Il y a une seule chose quand même qui m'effraie, c'est l'abondance. L'abondance tue – évidemment, Dieu y reconnaîtra les siens, ou plutôt Odin ou Merlin reconnaîtra les siens, mais malgré tout il y a une sorte de facilité ; la vraie magie, ce n'est pas les effets spéciaux. Et il ne faudrait pas que les effets spéciaux remplacent la magie. »

 

■ Pierre Dubois, auteur, scénariste de bande dessinée, écrivain, conteur magicien et conférencier français à l'origine du regain d'intérêt pour les fées et le petit peuple en France.

 

« Cette belle nudité ne doit faire horreur qu’aux refoulés pudibonds et toutes celles et ceux qui n’y voient que la hideur qui est ancrée en eux. »

 

■ LE BON SAUVAGE

 

« Dis moi ce que tu lis, je te dirai qui tu es. » — Jasmin du jour

 

— Dis-moi ce que tu lis et je te dirai si on baise.Les Cartons

 

« Ce grain d'irrévérence franconienne salutaire qui permet aux artistes "underground" de sortir de l'ornière prévenante jusqu'à la servilité. À exhiber avec trop d'ostentation la splendeur de leur contenu aseptisé, certains écrins finissent par attirer les soupçons sur les perles à l'état brut. — ».

« L'irrévérence et le réveil des consciences sont nécessaires pour le salut des démocraties. »
" La nature est bien faite, car il n'y a pas de dard qui ne puisse rentrer dans une taille de guêpe. "
« Évitez de mettre au parfum ceux que vous ne pouvez pas sentir. »
« S'il n'y a pas de véritable démocratie sans caricaturistes, c'est parce que la caricature est intrinsèque à toute démocratie. »
« Pour sortir de la merde, n'attendez pas d'en avoir plein le cul. »
" Des pirates informatiques inféodés à Big Brother me collent au train comme Lucilia caesar (mouche à merde). "
« L'Hexagone et le Pentagone ne facilitent pas la tâche des dessinateurs non-alignés, bien au contraire. »
 
■ RiRi le Celte naturaliste, prince sans rire de la satire, agitateur de zygomatiques, activiste sans peur et sans reproche de la métaphore, artiste provocateur et écrivain libre penseur.artiste gouailleur provocateur et écrivain libre penseur.
 
« Quand cette pipelette aura fini de jouer avec mon bilboquet à deux balles, je lui apprendrai à jouer du trombone à coulisse. » ■ Wolfgang Amadeus Mozart
 

« On ne m'enlèvera pas de l'idée que la connerie est une forme d'intelligence ».

« Il faut se méfier des comiques, parce que quelquefois ils disent des choses pour plaisanter. »

 

■ Michel Colucci, dit Coluche (1944–1986)

 

Alors permettez-moi de vous interroger : la  France peut-elle encore s'attribuer le titre pompeux de « fille aînée de l’Église » cocufiante et illégitime ? Qu'en pensez-vous ?

Les "racines chrétiennes" artificielles de la France ont pu pousser grâce au terreau europaïen fertile et ont été irriguées pendant des siècles avec le sang de millions d'innocents qui n'avaient pas demandé du pain aux culs-bénits... La France crétine : c'est à peine 1500 ans d'existence, la France Païenne : c'est plus de 50 000 ans d'identité affirmée... rien d'autre à ajouter !

De toute manière, on vit dans un monde de mensonges éhontés débités à tous les étages, revenir aux véritables racines chamaniques/païennes serait déjà salutaire pour le monde. L'ère vulgaire passera...

 

■ Kerridwen Whitemoon

 

« Rira bien qui rira le dernier. »

 

■ Jean-Pierre Claris de FLORIAN / Fables (1792) /

 

« N'importe quel imbécile intelligent peut rendre les choses plus grandes, plus complexes et plus violentes. Il faut une touche de génie – et beaucoup de courage – pour aller dans la direction opposée. »

 

■ Ernst Friedrich « Fritz » Schumacher (1911–1977)

 

« Partout où il y a joie, il y a création : plus riche est la création, plus profonde est la joie. »

 

■ Henri Bergson (1859–1941)

 

« La vie est trop courte pour perdre du temps à râler. » ■ Docteur Jean-Pierre Houppe

 

« Les Français sont clairement des complexés du bonheur. Ils sombrent dans le défaitisme et ont peur d'être heureux !

La vieillesse commence lorsque les regrets l'emportent sur les rêves. »

 

■ Jacques Séguéla

 

« L'amour des mots est en quelque façon nécessaire à la jouissance des choses. »

Francis Ponge (1899–1988)

 

« Les mots sont des actes, ils portent des valeurs, ils sont la façon la plus intime d'être proche des autres. Prononcer des mots qui ne veulent rien dire est comme gaspiller sa vie. »

▶ Richard Ford

 

« Il faut donner au lecteur ce à quoi on n’a jamais droit : un regard immédiat, qui lui permette de voir comme il ne voit jamais. Tout cela nécessite un nouveau discours, un nouveau langage. C’est difficile, mais je crois que c’est gratifiant. »

 

■ Toni Morrison | 1994

 

« Là où les prudents donc, refusent d’aller, la plume ose s’aventurer car seul l’écrivain accepte de contempler la ruine du langage pour tenter d’y remédier. »

 

■ Juan Asensio

 

« Je veux que mes livres laissent une empreinte que les gens peuvent lire les yeux fermés comme du Braille. »

 

■ Francis Scott Fitzgerald

 

« Mais tout ce qui est très précieux est aussi difficile que rare. »
 
■ Baruch Spinoza, L'Éthique (1632 - 1677)
 
« La joie est le soleil des âmes. Elle illumine celui qui la possède et réchauffe tous ceux qui en reçoivent les rayons. »
 
■ Carl Reysz
 
« Les hommes ont, de tout temps, aimé courir après les femmes et tenter de les séduire. Et, de tout temps, ces dernières les ont menés par le bout du nez. C'est une valse musette qui ne s'achèvera jamais. »
 
■ Lancelot du Lac
 

« Le désir et le soin de plaire sont le propre des âmes belles et tendres en qui le besoin d'être aimées naquit un jour du besoin d'aimer. »

 

▶ Auguste Guyard ; Quintessences (1847)

 

« Être soi-même, rien que soi-même, c'est inouï. Mais comment y arriver, comment y parvenir ? Ah ! c'est ça l'astuce, ça le plus difficile de tout. Le scabreux, c'est justement que cela ne demande pas d'effort. Le tout, c'est de ne pas vouloir être ceci ou cela, ni grand ni petit, ni habile ni maladroit...tu me suis ? Tu agis selon ce qui se présente. Mais de bonne grâce, bien entendu. Parce qu'il n'y a pas une chose qui n'ait son importance. Pas une. »

 

■ Henry MILLER (1891–1980)

 

« Mythe pour certains obligés pris entre le marteau et l'enclume, véritable potion magique pour d'autres quillards délestés du superflu, l'insouciance est la seule épice aux vertus puissamment aphrodisiaques ; que d'aucuns qualifient "d'immaturité". »

 

■ ÉOLE

 

« Nous ne savons pas si nous changerons le monde, mais nous savons que le monde ne nous changera pas. »

« Et que le combat soit sans espoir ne nous empêchera pas de le mener. »

« J'estime davantage les libres penseurs que les conformistes, les aventuriers que les pantouflards, les anarchistes que les dévots, les instinctifs que les intellectuels, les enracinés que les cosmopolites, les enthousiastes que les sceptiques, les écrivains populaires que les auteurs hermétiques, mais j'aime autant les romantiques que les classiques et les révolutionnaires que les conservateurs. »

« Écrire doit être un jeu dangereux. C'est la seule noblesse de l'écrivain, sa seule manière de participer aux luttes de la vie. »

« Notre religion se veut d'abord culte des héros, des guerriers et des athlètes. Nous célébrons, depuis les Grecs, les hommes différents et inégaux. Notre monde est celui du combat et du choix, non celui de l'égalité. L'univers n'est pas une fin, mais un ordre. La nature diversifie, sépare, hiérarchise. L'individu, libre et volontaire, devient le centre du monde. Sa plus grande vertu reste l'orgueil - péché suprême pour la religion étrangère. Dans notre conception tragique de la vie, la lutte devient la loi suprême. Est un homme véritable, celui qui s'attaque à des entreprises démesurées. »

« Je déteste ces écrivains qui font un petit tour dans la politique et se retirent à temps, lorsque leurs idées commencent à se transformer en actes entre des mains un peu énergiques. »

 

■ Jean "cap'tain" MABIRE (1927–2006)

 

« La lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil. »

« Au plus fort de l'orage, il y a toujours un oiseau pour nous rassurer. C'est l'oiseau inconnu, il chante avant de s'envoler. »

« À chaque effondrement des preuves, le poète répond par une salve d'avenir. »
 

■ René Emile Char, poète surréaliste français (1907–1988)

 

         « Le courant naturiste actuel n'a plus grand-chose à voir avec le naturisme libertin. Nous parlons ici d'un naturisme asexué, prônant avant tout l'idée de fusion avec ce qui nous entoure, pour manifester une harmonie avec notre environnement. Nos rythmes effrénés et l'omniprésence de la technologie nous donnent envie de renouer avec une vie plus simple, plus naturelle. Faut-il forcément se mettre nu pour ça ? Évidemment pas. Mais la nudité de bon aloi peut nous permettre de retrouver inconsciemment notre innocence perdue, celle éprouvée à la naissance lors des premiers instants de peau à peau avec la mère. Des premiers instants extrêmement rassurants.

 

Nudité rime avec liberté 

 

Derrière le mouvement naturiste en pleine expansion, se cache aussi le rejet de la société marchande actuelle. Des diktats esthétiques, d'abord. En se dénudant, ses adeptes tentent d'imposer un idéal de tolérance : on accepte l'autre tel qu'il est, et on s'accepte soi-même. Les plus jeunes ont des envies de vie sobre et de vacances plus proches de la nature, plus saines, éloignées des dérives consuméristes.

 Être naturiste, c'est souvent faire partie d'un groupe, exister à travers ses appartenances, se différencier. Et, s'il est bien un besoin fondamental à revaloriser, c'est celui-ci. Car, dans l'individualisme qui prévaut en ce monde, il y a une forme de grande solitude. Or, le naturisme offre une dimension de partage, de soutien qui s'exprime en dehors du statut social : délestés de nos vêtements, nous sommes tous sur un pied d'égalité ! »

 

■ Le psychanalyste Saverio Tomasella et Christophe Colera, docteur en sociologie et chercheur au CNRS

 

« L’écriture peut sauver une vie. » ■ Didier CELISET

 

« ... il est trop tôt encore pour faire apprécier à sa valeur ce service rendu à la peinture française visionnaire tout entière [par l'impressionnisme] pour faire comprendre pleinement à tous quelle œuvre saine ont accompli ces prétendus anarchistes. »

 

■ Camille Mauclair, Les Maîtres de l'impressionnisme, 1904.

 

« il importe de prendre au sérieux ces nouvelles façons [atonale, polytonale, par quarts de ton] d'écrire [la musique], et de ne pas traiter de farceurs ou d'anarchistes les musiciens qui consacrent leurs efforts à défricher ces nouveaux domaines. »

 

▶ Charles Kœchlin, Étude sur l'écriture de la fugue d'école, 1933.

 

« Nous éprouvons toutes un ardent désir, une nostalgie du sauvage. Dans notre cadre culturel, il existe peu d'antidotes autorisés à cette brûlante inspiration. On nous a appris à en avoir honte. Nous avons laissé pousser nos cheveux et nous en sommes servies pour dissimuler nos sentiments, mais l'ombre de la Femme Sauvage se profile toujours derrière nous, au long de nos jours et de nos nuits. Où que nous soyons, indéniablement, l'ombre qui trotte derrière nous marche à quatre pattes. »

« Quand une femme essaie " d'être sage ", rangée , de se plier, en face d'un danger intérieur ou extérieur, ou encore de dissimuler une situation réelle ou psychique critique, c'est une perte d'âme. Telle l'enfant dans le conte, qui n'élève pas la voix et essaie de faire comme si de rien ne brûlait en elle, les femmes d'aujourd'hui présentent ce même trouble : normaliser l'anormal. C'est un désordre qui touche toutes les cultures. Il provoque une plongée de l'esprit dans l'ennui et plus tard dans la cécité, à l'exemple de la vieille femme. »

« Qu'importe si la culture, la personnalité, la psyché réclament que les femmes s'habillent et se conduisent bien, qu'importe si les autres veulent les garder comme un troupeau d'oies (...), qu'importe si la pression qui peut s'exercer sur la vie de l'âme : rien de tout cela ne pourra changer le fait qu'une femme est ce qu'elle est, que cela est dicté par L'INCONSCIENT SAUVAGE.
Et que c'est bien, très bien ainsi. »

 

■ Clarissa Pinkola Estès "Femmes qui courent avec les loups"

 

« À une époque où tout est bloqué par des systèmes qui ont échoué mais qui ne peuvent être vaincus… l’utopie est notre ressource. Elle peut être une échappatoire, mais elle est aussi l’arme de la critique. »

 

■ Paul Ricoeur

 

« Quoi que vous pensiez ou croyez pourvoir faire, faites-le. L’action porte en elle la magie, la grâce et le pouvoir. »

 

▶ Hildegard von Bingen

 

« Qui n’est pas transformé par le feu de la passion ne fait que prendre la fuite devant lui-même, n’est qu’un déserteur face à la vie. »

 

■ Carl Gustav Jung. Les rêves d’enfants.

 

« Car si le visage est le miroir de l'âme, les yeux en sont les interprètes. » ■ Cicéron

 
« L’émerveillement est une rêverie instantanée. »

▶ Bachelard, Gaston, L’Air et les songes, penseur anticonformiste et autodidacte (1884–1962)
 

« La femme c'est la joie de vivre, l'insouciance, l'espièglerie, en un mot : la gaieté. »

 

■ Christophe le Vaillant ; Notre amie la femme (1992)

 
« La sensualité est la condition mystérieuse, mais nécessaire et créatrice, du développement intellectuel. Ceux qui n'ont pas senti jusqu'à leur limite, soit pour les aimer, soit pour les maudire, les exigences de la chair, sont incapables de comprendre toute l'étendue des exigences de l'esprit. »
 
■ Pierre Louÿs (1870–1925), chantre de l'Érotisme, issue de Aphrodite
 
« La beauté est vérité, la vérité beauté. C'est tout ce que l'on sait sur terre et c'est tout ce qu'il faut savoir. »

 

■ Le poète anglais John Keats (1795–1821), trait d'esprit écrit dans son Ode sur une urne grecque.

 
« Et dites-vous bien que dans la vie, ne pas reconnaître son talent, c’est favoriser la réussite des médiocres. » ■ Michel Audiard dans Les tontons flingueurs
 

 « La verge et le cœur sont des organes qui remuent d'eux-mêmes. »

« Ce qui est commun à tous les animaux, c'est l'exaltation (eptoesthai) du désir et du plaisir, en particulier du plaisir qui résulte de l'accouplement. »

« Nous sommes ce que nous faisons à répétition. L'excellence, alors, n'est pas un acte mais une habitude. »

« La nature a horreur du vide. »

« Il faut étudier ce qui est naturel, non dans les êtres dépravés, mais dans ceux qui se comportent conformément à la nature. »

« Savoir, c'est se souvenir. »

 

■ ARISTOTE

 
« Être libre n'est rien, le devenir c'est tout. »
 

■ Johann Gottlieb Fichte (1762–1814)

 

" Ne couvrez pas ce sein, dont je raffole depuis ma plus tendre enfance. "

« L'Art, c'est un énorme bol diffuseur d'oxygène. »

« La Beauté est un sonnet. Son nom plaît au cœur. Voilà un piédestal honnête qui sonne bien à l'oreille et aux yeux. »

 

■ Thierry la Fronde

 

« Les êtres ne sont pas faits pour s'appartenir... Ils sont faits pour être libres, ensemble. »
 
■ Alexandra Julien

 

« La beauté est une enchanteresse, et la bonne foi qui s'expose à ses charmes se dissout en sang. »

 « Coeur insouciant vit longtemps. »

 

■ William SHAKESPEARE (1564 – 1616)

 

"Les femmes jouissent d'abord par l'oreille." ■ Marguerite Duras.

 

« La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première. »

■ Préface de Bérénice, 1671 - Molière (de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin)

 

« La femme qu'on engrosse au fond du lit ne connaît pas l'érotisme. » ■ Mario SALVELLI

 

« Tu ne vis qu'une seule fois, mais si tu le fais correctement, une seule fois suffit. »

« Aujourd'hui, si un homme tient la femme porte pour une femme, il y a de fortes chances que ce soit le portier. »

■ Mae West (1893–1980)

 

« L’effort qu’on fait pour être heureux n’est jamais perdu. » ■ Anonyme

 

« Un être ne se sent obligé que s'il est libre, et chaque obligation, prise à part, implique la liberté. »


■ Henri Bergson

 

« La vie humaine est concentration de souffle, lorsque celui-ci se concentre, il y a vie, lorsqu'il se disperse, il y a mort. »

■ Tchouang-tseu, penseur chinois

 

« Qui n'aime point le vin, les femmes ni le chant restera sot toute sa vie. »

 

■ Martin Luther King Jr (1929–1968)

 

« La censure pardonne aux corbeaux et poursuit les colombes. »

« La censure n'attaque que les innocents. »

 

■ Juvénal

 

« Ne sois pas original, sois unique. » ■ Zao Wou Ki

 

« Ma chère, il n'y a pas de femme frigide. Il n'y a que des hommes maladroits ! » ■ Boris VIAN (1946)

 

« Il n'y a pas de femmes frigides, il n'y a que des mauvaises langues. »

 

■ Michel Colucci, dit Coluche  (1944–1986)

 

« Je ne suis pas ce qui m’est arrivé, je suis ce que je choisis de devenir. »

« Les héros sont souvent des voyageurs : le voyage est une image de l’aspiration, du désir jamais éteint, qui ne rencontre jamais son objet, de la recherche de la mère perdue. La comparaison avec le soleil se comprend aisément sous cet aspect. C’est pourquoi les héros sont toujours semblables au soleil et l’on se croit finalement autorisé à dire que le mythe du héros est un mythe solaire. À ce qu’il me semble, il est en premier lieu l’autoreprésentation de l’aspiration de l’inconscient qui cherche, qui a un désir insatisfait et rarement apaisable de la lumière de la conscience. Cette dernière cependant, toujours exposée à être entraînée par sa propre lumière et à devenir un feu follet sans racine, aspire à la puissance salutaire de la nature, source profonde de l’existence et à la communauté non consciente avec la vie des formes innombrables. »

 

VOCATUS AT QUE NON VOCATUS DEUS ADERIT
Inscription gravée dans la pierre au-dessus de la porte d’entrée de la maison de Carl Gustav Jung à Kusnacht
 
« Appelé ou non appelé Dieu sera présent. »
 

« Le ciel étoilé est bien véritablement le livre ouvert de la projection cosmique, le reflet des mythologèmes, des archétypes. Dans cette vision des choses, l'astrologie et l'alchimie, les deux antiques représentantes de la psychologie de l'inconscient collectif se tendent mutuellement la main.»

« Les héros sont souvent des voyageurs : le voyage est une image de l’aspiration, du désir jamais éteint, qui ne rencontre jamais son objet, de la recherche de la mère perdue. La comparaison avec le soleil se comprend aisément sous cet aspect. C’est pourquoi les héros sont toujours semblables au soleil et l’on se croit finalement autorisé à dire que le mythe du héros est un mythe solaire. À ce qu’il me semble, il est en premier lieu l’autoreprésentation de l’aspiration de l’inconscient qui cherche, qui a un désir insatisfait et rarement apaisable de la lumière de la conscience. Cette dernière cependant, toujours exposée à être entraînée par sa propre lumière et à devenir un feu follet sans racine, aspire à la puissance salutaire de la nature, source profonde de l’existence et à la communauté non consciente avec la vie des formes innombrables. »
 

■ Carl Gustav Jung

 

« Rire souvent et sans restriction ; s'attirer le respect des gens intelligents et l'affection des enfants ; tirer profit des critiques de bonne foi et supporter les trahisons des amis supposés ; apprécier la beauté ; voir chez les autres ce qu'ils ont de meilleur ; laisser derrière soi quelque chose de bon, un enfant en bonne santé, un coin de jardin ou une société en progrès ; savoir qu'un être au moins respire mieux parce que vous êtes passés en ce monde ; voilà ce que j'appelle réussir sa vie. »

 

■ Ralph Waldo Emerson (1803–1882)

 

« Ne pas nommer les choses, c'est nier notre humanité.  » ■ Eric Fottorino

 

« Voyager permet d'entendre toutes les voix de la partition au lieu de n'en entendre qu'une. »

 

Eugène Enriquez

 

« Même chez les femmes les plus réservées, les yeux rougissent au moment de l'espérance ; la passion est si forte, le plaisir si vif qu'il se trahit par des signes frappants.

»

 

Stendhal

 

« Le nom est plus qu'une désignation de la personne. Il est indissolublement lié à l'être. Nommer quelqu'un, nommer un objet, c'est le connaître à fond, jusque, dans ses parties les plus secrètes.

»

 

Henri Lafrance

 

« La première qualité d'un créateur, c'est le courage. Le courage d'affronter le scepticisme, le conformisme et, finalement, la jalousie. »

 

■ Claude Allègre

 

« L'art est un cercle, on est dedans ou dehors, au hasard de la naissance. »

 

■ Édouard MANET (1832–1883)

 

« L'art du politique est de faire en sorte qu'il soit de l'intérêt de chacun d'être vertueux. »

« Tous les instants de la vie ne peuvent pas être sévères. »

 

■ Claude Adrien HELVÉTIUS (1715 – 1771)

 

« Être nu fait partie intégrante de l’être humain. Si les nudistes ne dérangent personne, alors nous ne devons pas les déranger. » ■ Anton Paleev

 

« Si les femmes étaient sans fesses, qu'est-ce que nous ferions de nos mains, pauvres humains ? »

■ Raoul Ponchon
Artiste, écrivain (1848–1937)

 

« La beauté élève l'âme : elle nous révèle à nous-même. » ■ Myrose Hoareau

 

« Une eau boueuse ne peut pas être clarifiée si elle ne cesse d'être agitée. »

■ Antoine le Grand, le plus célèbre des « Pères du désert »

 

« Ce n'est pas un signe de bonne santé mentale que d'être bien adapté à une société profondément malade. »

 

■ Jiddu Krishnamurti (1895–1986)

 

« L'imaginaire, c'est quand même le dernier refuge de la liberté, et pas de l'accusation. L'hyper moralisation pourrit notre société.
En matière de liberté, notre société régresse considérablement. Depuis plusieurs décennies et dans un mouvement qui depuis n'a cessé de s'accélérer, les dirigeants politiques ont admis que leur prise sur l'économie déclinait irréversiblement, et ont alors cherché à déplacer leur tutelle et la justification de leurs mandats sur d'autres terrains. Sont alors apparus celui de la sécurité et celui de la réglementation. "Cessons d'emmerder les Français", avait raison de considérer Georges Pompidou. Mais son exhortation fut vaine. Et dès lors, le XXIe siècle nous plonge dans une ère hyper puritaine, hyper hygiéniste, hyper moralisatrice. Tout est réglementé, normé, contrôlé, stigmatisé, puni... Les espaces de liberté font l'objet d'une compression et même d'une traque, et finissent sous le joug d'un conditionnement et de règles étouffantes qui cadenassent la pensée, qui oppriment les opportunités d'imaginer et d'oser, qui enferment l'expression, in fine qui constituent une négation du progrès humain. L'hyper réglementation ne s'est jamais aussi parfaitement arrimée à l'institution. Nous voyons depuis quelques années des biens -pensants introduire dans les lois de notre pays des concepts globaux qui interdisent aux citoyens d'exprimer par des mots du dictionnaire des violences qui les frappent sans que cela est fait l'objet d'une annonce politique dans ces projets et décisions liberticides. Avec ces concepts globaux , on peut punir quand on le veut et de préférence les opposants pour les empêcher de dénoncer certains faits de société. Chaque nouvelle restriction législative des libertés trouve immédiatement sa traduction dans les tribunaux. Bientôt, chaque mot, chaque virgule, chaque silence nous seront dictés.

 

Que préfère-t-on bâtir : des écoles ou des prisons ? Malheureusement ces dernières. L'idéal d'éveiller, de faire progresser et grandir, de rendre responsable, in fine d'éduquer le plus grand nombre de citoyens est relégué derrière le double diktat de la sécurité et de l'immédiateté. L'offre télévisuelle est une excellente démonstration de ce déclin. La téléréalité abêtit la pensée des enfants et conforte l'extrême pauvreté du vocabulaire et des expressions, surtout elle met en exergue et même honore l'élimination des faibles. Pas une seule émission de ce type n'est pas fondée sur ce principe, et ainsi sont imposées aux (jeunes) téléspectateurs une double dictature, une double règle simultanée et consubstantielle : la loi du fort et le rejet du vulnérable, la sacralisation des vainqueurs et l'ostracisation, d'ailleurs souvent humiliante, des perdants. Célébrer la "réussite" - professionnelle, humaine, etc. - est essentiel ; mais disqualifier et stigmatiser l'échec est délétère. Comment, dans de telles conditions, peut-on espérer faire vivre la solidarité et la fraternité ? Comment peut-on cultiver l'empathie et l'altruisme ? On n'est pas là pour boucher les trous. Comment peut-faire "faire" société ? De vrais intellectuels résistants à la tête du pays, une vraie politique culturelle, une vraie stratégie éducationnelle qui réhabilite l'emploi pour tous de cette langue française qui véhicule la pensée et fait lien dans la société, sinon l'éradication au moins la maîtrise de la dictature des émissions télévisées, réseaux sociaux, smartphones, tablettes et autres jeux vidéos qui abrutit la jeunesse et le vide d'esprit critique et autonome. Je prends le droit de rêver... »

 

■ Maître Éric Dupond-Moretti

 

« L'auteur de ce recueil n'est pas de ceux qui reconnaissent à la critique le droit de questionner le poète sur sa fantaisie, et de lui demander pourquoi il a choisi tel sujet, broyé telle couleur, cueilli à tel arbre, puisé à telle source. L'ouvrage est-il bon ou est-il mauvais ? Voilà tout le domaine de la critique. Du reste, ni louanges ni reproches pour les couleurs employées, mais seulement pour la façon dont elles sont employées. À voir les choses d'un peu plus haut, il n'y a, en poésie, ni bons ni mauvais sujets, mais de bons et de mauvais poètes. D'ailleurs, tout est sujet ; tout relève de l'art; tout a droit de cité en poésie. Ne nous enquérons donc pas du motif qui vous a fait prendre ce sujet, triste ou gai, horrible ou gracieux, éclatant ou sombre, étrange ou simple, plutôt que cet autre. Examinons comment vous avez travaillé, non sur quoi et pourquoi.
 
Hors de là, la critique n'a pas de raison à demander, le poète pas de compte à rendre. L'art n'a que faire des lisières, des menottes, des bâillons ; il vous dit : Va ! et vous lâche dans ce grand jardin de poésie où il n'y a pas de fruit défendu. L'espace et le temps sont au poète. Que le poète aille donc où il veut, en faisant ce qui lui plaît ; c'est la loi. Qu'il croit en Dieu ou aux Dieux, à Pluton ou à Satan, à Canidie ou à Morgane, ou à rien ; qu'il acquitte le péage de Styx, qu'il soit du Sabbat ; qu'il écrive en prose ou en vers, qu'il sculpte en marbre ou coule en bronze ; qu'il prenne pied dans tel siècle ou dans tel climat ; qu'il soit antique ou moderne; que sa muse soit une muse ou une fée ; qu'elle se drape de la colocasia ou s'ajuste la cotte hardie ; c'est merveille. Le poète est libre. Mettons-nous à son point de vue, et voyons. »
 
« N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe. »

" Souvent, la foule trahit le peuple ". 

« Savoir, penser, rêver. Tout est là. »

« La femme nue, c'est le ciel bleu. Nuages et vêtements font obstacle à la contemplation. La beauté et l'infini veulent être regardés sans voiles. »

“ La solitude est bonne aux grands esprits et mauvaise aux petits. ”

« Le bonheur suprême de la vie, c'est la conviction qu'on est aimé, aimé pour soi-même, disons mieux, aimé malgré soi-même. »

 
■ Victor HUGO (1802 – 1885)

 

« La beauté commence au moment où vous décidez d'être vous-même. » ▶ Coco Chanel
 
« Plantée debout dans l’art, jaillissant dans la nature, haletant dans notre vie, embrassons ensemble la beauté ! » ▶ Javier Portella
 
« Le charme, c’est un sourire, un paysage, un enchantement... C’est surtout la sensation d’être conquis. À la fois complexe et délicat, le charme s’exprime de diverses façons, mais avant tout, une certitude demeure : on ne définit pas le charme, on le vit. »
 
■ Yvan Côté
 

« Ne cours pas après la poésie. Elle pénètre toute seule par les jointures (ellipses) »

 

▶ Robert Bresson

 

« Camoufler son corps est le hic des fondu(e)s, jobastres attardés, ados mis en demeure, adultes régressés et autres petits joueurs bêtabloqué(e)s perpétuellement tendus comme un string. Incapable de lâcher prise, une amibe refoulée n'ayant pas le cran de s'extraire des décombres religieuses rétrogrades, dangereuses, castratrices et sexistes déboussole, horripile et pénalise la chaîne de cellules magnétos réceptives (ce sixième sens) présente chez l'Homme et la Femme.
 
Au cours de leur captivité, certains prisonniers aliénés, confrontés à un terrorisme de proximité développent ce qu'on appelle le syndrome de Stockholm. Le syndrome de Stockholm tire son nom d'une prise d'otages des années 70 durant laquelle les otages prennent la défense de leurs bourreaux, agresseurs, raptorex sadiques.
 
Comme les plaies d'Égypte et les péchés capitaux. De telles "grandes personnes" sont imbuvables et, dans leur genre, chacune est une calamité à fuir. Il y a Tessie, vieille fille irrécupérable, et Édith, alcoolique invétérée; Agnès, mégère mal embouchée et Molly, vierge effarouchée ourlée de fantasmes latents ; Doris pulpeuse nymphomane et Judy, croqueuse de diamants. Et sur ce petit monde règne La Peur de déplaire, souveraine absolue, tissant les fils de la gigantesque toile où elle entortille ses pairs.
 
Il faut se montrer cohérent avec soi-même sur la base de nos valeurs européennes. Faire changer la serrure d'un cul-pincé quand il/elle ne veut pas, cela relève de l'impossible.
 
C'est dans la tête que tout se joue... !
 
Jusqu'à ce que la marmite explose... »
 
■ CRIN BLANC

 

« Tu sais qu'on a le choix : on peut créer toute une race de conformistes tarés au cerveau passé à la moulinette et les nommer « juges » ou alors on peut créer des gens aux idées larges et les nommer « humains ».

 

Judge Dredd

 

« On a deux vies. La deuxième commence le jour où on réalise qu'on en a juste une. »

« Quand les amis sont prétentieux, flagorneurs ou opportunistes, ils sont nuisibles. »

▶ Confucius

 

« Le subconscient est la clé qui vous ouvre la trappe de l'abondance. La vocation de l'Art n'est pas d'enfoncer une porte ouverte, mais d'ouvrir les méandres de l'esprit. Musardons à loisir entre les lignes d'azur.

Créer, c'est en définitive entrer dans une nouvelle dimension spirituelle, sauter par-dessus la rambarde, partir en voyage, pénétrer entre les dédales de l'imaginaire pour explorer la complexité de l'identité plurielle d'un ailleurs nécessairement meilleur. — »

 

■ Zarathoustra

 

« Dans la rue, au café, partout où les gens, plus ou moins agressifs, vétilleux et hâbleurs, se disputent pour trois fois rien. »

«La merde a de l'avenir. Vous verrez qu'un jour on en fera des discours. »

« Le juif est un nègre, la race sémite n'existe pas, c'est une invention de franc-maçon, le Juif n'est que le produit d'un croisement de nègres et de barbares asiates. Établis, émigrés, pillants, imposteurs, sous nos cieux, dépaysés, désaxés, ils singent nos réactions, gesticulent, ratiocinent, enculent mille et mille fois la mouche avant de commencer à vaguement comprendre ce qu'un Aryen pas trop abruti, pas trop alcoolique, pas trop vinassier, saisit au vol, une fois pour toutes en vingt secondes... émotivement, silencieusement, impeccablement. »

« Ce monde n'est qu'une immense entreprise à se foutre du monde. »
« Il n'y a qu'une liberté, rien qu'une : c'est de voir clair d'abord, et puis ensuite d'avoir du pognon plein les poches, le reste c'est du mou ! »
« Faire confiance aux hommes c'est déjà se faire tuer un peu. »
« L'âme, c'est la vanité et le plaisir du corps tant qu'il est bien portant, mais c'est aussi l'envie d'en sortir, du corps, dès qu'il est malade ou que les choses tournent mal. »

« La France hait d'instinct tout ce qui l'empêche de se livrer aux nègres. Elle les désire, elle les veut. Grand bien lui fasse ! qu'elle se donne ! par le Juif et le métis toute son histoire n'est au fond qu'une course vers Haïti. Quel ignoble chemin parcouru des Celtes à Zazou ! de Vercingétorix à Gunga Diouf. Tout y est ! Tout est là ! Le reste n'est que farce et discours. la France brûle de finir nègre, je la trouve fort à point, pourrie, croulante de métis. L'on me fait bien rigoler lorsque l'on m'annonce 5 ou 800 000 juifs en France ! La bonne plaisanterie ! Rien que Saint Louis, le bien nommé, en fît baptiser 800 000 d'un seul coup dans la Narbonnaise ! Pensez s'ils ont fait des petits ! Encore 50 ans, plus un seul français qui ne soit métis de quelque chose en "ide", araboïde, arménoïde, bicoïde, polonoïde... Et "français" bien entendu cent mille fois plus que vous et moi. (...) »

« Mûrs pour être colonisés ? Nous le sommes ! Par n'importe qui ! Parler de racisme aux français, c'est parler de sang pur aux bicots, mêmes réactions. Vous ne faîtes plaisir à personne. Vichy s'occupe paraît-il du racisme, à sa façon, comme il s'occupe de mes livres, il a doté M. Carrel, fakir Lyonno-New-Yorkais, de 50 millions de crédits (Bouthillier-Reynaud) pour s'occuper de la chose. Allez un petit peu demander à ce Claude Bernard ce qu'il pense du problème juif!... Vous serez servis. À peu près ce qu'en pensent, j'imagine, Mr Spinasse et le général Mac Arthur ! "Pensez racontent ses assistants que si Mr Bergson était encore là, les allemands lui feraient porter l'étoile jaune !"
Autant par les crosses !
Alors beau chose, dites-nous vous même, un petit peu, ce que vous préconisez ? Ah ! que c'est plus délicat... malcommode... ardu... cruel... Que Dieu me garde du pouvoir ! des lourdes confiances populaires !
Je les mettrais toutes en bouillie ! Je découperais d'abord la France en deux morceaux. Pour la commodité des choses, la tranquilité des parties. Le slogan "Une, Indivisible" m'a toujours semblé un truc de "maçons".
Au point où nous sommes arrivés dans la décadence, nous serons forcément tétards dans l'"Indivisible" nous les gens du Nord, puisque c'est le sud qui commande, c'est à dire le juif. Les Romains trop métissés se sont donnés deux capitales, j'en ferais tout autant. Marseille et Paris. L'une pour la France méridionale, latine si l'on veut, bysantine, "Suralgérique", tout aux métis, tout aux zazous, où l'on aurait tout le loisir, toute la liberté d'héberger, chérir à fond tout les plus beaux youtrons du monde, de les élire tous députés, commissaires du peuple, archevêques, druides, génies, de se faire endaufer par eux, à l'infini, en attendant de tous passer nègres, l'affaire de trente ou cinquante ans, au train où poulopent les choses, d'atteindre enfin le but suprême, l'idéal des Démocraties . L'autre pour la France "nord de la Loire" la France travailleuse et raciste, sans Blum, sans Bader, si possible, sans Frot non plus, c'est à tenter. Je crois qu'il est peut-être temps que s'opère quelques grandes réformes... La France idéal St-Domingue ne m'intéresse vraiment pas. Peut se la farcir qui se présente, je m'en fous très énormément. Je regrette tout simplement d'avoir laissé tant de ma viande (75 pour 100) pour défendre cette saloperie qui ne rêve que de Lecache. (fondateur de la Ligue Contre l'Antisémitisme, qui deviendra la LICRA) Une si grande guerre, tant de misère, pour aller de Rotschild à Worms ! Il faudra vraiment du nouveau pour me faire devenir patriote. Je crois que ce sera pour une autre fois, pour un autre monde peut-être, celui des morts si je comprends bien, la vraie patrie des entêtés. »

« Ils viennent jusque dans nos bras ! Egorger etc." Ce ne sont pas du tout les "féroces soldats" qui ravagent et détruisent la France mais bien les renforts négroïdes de notre propre armée. Pour être juste, ils n'égorgent rien du tout, ils saillent. Et c'est l'imprévu de la "Marseillaise" ! Rouget n'avait rien compris, la conquête, la vraie de vraie, nous vient d'Orient et d'Afrique la conquête intime celle dont on ne parle jamais, celle des lits. Un empire de 100 millions d'habitants dont 70 millions de cafés au lait, sous commandement juif est un empire en train de devenir Haïtien, tout naturellement. Sommes-nous complètement abrutis ? C'est un fait, par l'alcool et le metissage, et puis pour bien d'autres raisons... (voir les Beaux draps, interdits...)
« Anesthésiés, insensibles au péril racial? Nous le sommes, c'est l'évidence. 50 000 étoiles jaunes n'y changeront rien. La France entière pour un peu, plus dreyfusarde que jamais, par sympathie si chrétienne, arborerait avec fierté le signe judaïque. Légion d'honneur nouvelle, zazou, beaucoup plus justifiée que l'autre. Et tout pour Blum et pour de Gaulle ! »

Si la guerre civile avait duré ce serait d'ailleurs déjà fait. Nous aurions deux millions de morts, aryens, remplacés immédiatement (dixit Mandel) par deux millions d'asiates et nègres, le grand programme juif.(...)
« Tous les métis, les allogènes, les Maurras etc. sont animés d'une haine sourde, animale, irréductible pour tous les Celtes et les Germains. (...)
La France actuelle si métissée ne peut être qu'anti-aryenne, sa population ressemble de plus en plus à celle des Etats-Unis d'Amérique. Même voeux, même politique profonde. Ahuris de partout rassemblés sous commandement juif, plus quelques débris d'indigènes nordiques et celtes à la traine, fondants d'ailleurs, en voie de disparition (là-bas des peaux rouges). Voyez nos équipes nationales sportives, bariolages grotesques, hâtifs racolages de n'importe qui, pêchés n'importe où, d'Afrique en Finlande ! »

 

■ Louis-Ferdinand Destouches, dit Louis-Ferdinand CELINE (1894–1961)

 

« Donnez vos soins à tout ce qui intéresse la vie ; mais travaillez surtout à fortifier votre intelligence : un esprit vigoureux dans un corps mortel, c'est la force extrême dans l'extrême faiblesse. »

 

■ ISOCRATE (Orateur athénien de l'Antiquité)

 

« La richesse de la rose, c'est sa fragilité. » ▶ Roland Delisle

 

« Un scientifique lira des centaines de livres au cours de sa vie, mais sera toujours persuadé qu’il lui reste beaucoup à apprendre.

Un fanatique religieux n’en lira qu’un et sera persuadé d’avoir tout compris. »

 

▶ Auteur inconnu

 

« Le torse blanc de l’homme lui était apparu, si beau : comme il s’épanouissait dans ce sombre décor ! Corps divin, ferme, ondoyant et soyeux, blanc. Telle l’arche blanche de la vie, il se tenait là, penché au-dessus de l’eau. Oui, tout cela était à ses yeux, et bien qu’elle s’en défende, de l’ordre du divin. Ainsi il existait encore un monde capable de resplendir de pureté et de puissance, puisque là, en ce terne après-midi, resplendissait sur tout le paysage, soyeuse et ferme, la peau de ce corps d’homme. […] Elle venait de voir la beauté, et la beauté vivante. Ce corps appartenait au monde des dieux entrevu au milieu des ténèbres, comme une révélation. Sans faire de bruit, elle s’éclipsa parmi les arbres aux branches chargées de pluie. Elle avait hâte d’être hors de la vue de Parkin. Il était si près de Constance qu’elle aurait pu le toucher. Un vaste apaisement l’envahissait, en même temps qu’un sentiment de vénération. Le sentiment subit de la pure beauté, d’une beauté devenue acte, vivante, avait restauré en ce cœur le besoin d’adorer. Non pas qu’elle eût adoré cet homme, le corps de cet homme ; mais la ferveur venait de monter en elle, parce qu’elle avait vu une chose de beauté pure, et qui était vivante, et qui l’avait atteinte jusqu’au plus vif d’elle-même. C’était comme si elle avait touché Dieu et qu’elle avait été rendue à la vie. Immense et resplendissante blancheur ! ».

 

 « Mais par la douceur, par le renoncement à toute affirmation de soi, par la plénitude de notre moi véritable et profond, nous pouvons nous rapprocher d’un autre humain et connaître ainsi le meilleur et le plus délicat de la vie : le contact. Contact des pieds sur le sol, contact des doigts sur un arbre, sur un être vivant. Contact des mains et des seins. Contact de tout ce corps et d’un autre corps ; mutuelle pénétration de l’amour passionné. Voilà la vie. Et c’est par le contact que nous vivrons, tous, autant que nous sommes. »

 

« Les hommes depuis des années ont été abattus, touchés dans leur splendeur et leur virilité même, accablés et presque abjects. N'est-ce pas l'enfer ? »


■ David Herbert Lawrence, The Second Lady Chatterley’s Lover, (1927), adapté au cinéma en 2006 par la cinéaste française Pascale Ferran (Lady Chatterley)

 
« Profonde est la haine qui brûle contre la beauté dans les cœurs abjects. »
 
■ Ernst Jünger ~ Sur les falaises de marbre (1942)
 
« Dans l'art, il n'y a pas d'immoralité.
L'art est toujours sacré. »
 
« L’artiste donne un grand exemple. Il adore son métier. Sa plus précieuse récompense est la joie de bien faire. Le monde ne sera heureux que quand tous les hommes auront des âmes d’artistes, c’est-à-dire quand tous prendront plaisir à leur tâche. »
 
« La beauté est partout. Ce n'est point elle qui manque à nos yeux, mais nos yeux qui manquent à l'apercevoir. »
 
« Les artistes, les penseurs sont comme des lyres infiniment délicates et sonores. Et les vibrations que tirent d’eux les circonstances de chaque époque se prolongent chez tous les autres mortels. »
 
« L’intelligence dessine, mais c’est le cœur qui modèle. »
 
« Quel éblouissement, une femme qui se déshabille ! C'est l'effet du soleil perçant les nuages. »

 

■ François-Auguste-René Rodin (1840–1917).

 

« Tout est ce qui est selon la nature est digne d'estime. »

« Il faut supprimer de toute notre vie l'hypocrisie et la simulation. »

 

■ Cicéron

 

« Sans choc, il ne peut y avoir d’art. »

 

▶ Antoni Tàpies i Puig (1923 – 2012), peintre, sculpteur, essayiste et théoricien de l'art espagnol d'expression catalane.

 

« La simplicité est la sophistication suprême. » ■ Léonard de Vinci (1452 – 1519)

 

« Aimer, inventer, admirer, voilà ma vie. »

« La raison offense tous les fanatismes. »

« Quand on veut rester pur, il ne faut point se mêler d'agir sur les hommes. »
« La poésie, c'est l'enthousiasme cristallisé. »

 

■ Alfred de Vigny, poète aristocrate français (1797–1863)

 

« La fantaisie est un perpétuel printemps. »

■ Friedrich von Schiller (1759 – 1805)

 

« Pour moi, ce qui définit la beauté féminine, c'est le pouvoir indicible qu'elle nous procure, ce qui nous stimule et nous éclaire, réconcilie notre sensibilité cellulaire et notre intelligence émotionnelle. »

 

■ Spyros Georges Tsokos

 

« Chaque fois que la religion se transforme en un système de concepts ordonnés, de dogmes ou de règles, c’est-à-dire chaque fois qu’elle devient une doctrine à laquelle il s’agit de «faire croire», elle empêche l’expérience vivante de l’Être. »

 

■ Le baron Karlfried Graf Dürckheim. Pratique de la Voie Intérieure

 

" Le désir perturbe la matière, le plaisir se propose de restaurer un ordre perdu. "

 

■ Raoul Vaneigem

 

« J’aime qu’on parle comme on se déshabille, non pas pour se montrer, comme croient les exhibitionnistes, mais pour cesser de se cacher. »

 

▶ André Comte-Sponville

 

« Les intellectuels sont portés au totalitarisme bien plus que les gens ordinaires. »

 

■ Georges Orwell (1903–1950)

 

« Soyez conscients, élevez votre taux vibratoire, montez sur la montagne. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

« Celui qui contrôle les médias contrôle les esprits. »

■ Jim Morrison

 

« L'Érotisme ne mange pas de pain, il pare la femme de la plus délicieuse des fourrures de zibeline, sublime le modèle (pour les peintres et les photographes) de la beauté travaillée, dans toute sa splendeur et tout l'orgueil de sa nudité. Seuls les cagots à la vertu très discutable, les esprits torturés et les hargneux ayatollahs ivres de frustrations y voient malice. Sous le paravent d'un conformisme à connotation religieuse mais aussi politique (au nom duquel tant d'atrocités ont été commises partout dans le monde), une lutte désespérée pour maintenir la chape de plomb s'engage ; cette vague de pudibonderie rigoriste s'exerçant exclusivement contre le beau sexe et contre tous les esprits libres de notre temps (voués aux gémonies par les tenants de l'ordre moral) qui lui emboîtent le pas a de quoi faire bien rire. »

 

■ John Cleland

 

« L'art n'est pas fait pour troubler l'ordre public, mais les esprits. » ■ Didier Le Pêcheur

 

« L'intégrité n'a pas besoin de règles. »

 

« Aux temps naïfs où le tyran rasait des villes pour sa plus grande gloire, où l’esclave enchaîné au char du vainqueur défilait dans les villes en fête, où l’ennemi était jeté aux bêtes devant le peuple assemblé, devant des crimes si candides, la conscience pouvait être ferme et le jugement clair. Mais les camps d’esclaves sous la bannière de la liberté, les massacres justifiés par l’amour de l’homme où le goût de la surhumanité, désemparent, en un sens, le jugement. Le jour où le crime se pare des dépouilles de l’innocence, par un curieux renversement de tendance qui est propre à notre temps déboussolé, c’est l’innocence qui est sommée de fournir ses justifications. »

 

« Mal nommes les choses, c'est ajouter au malheur du monde. »

 

▶ Albert Camus, L'HOMME RÉVOLTÉ. (1951).

 

« Mal nommer les choses, jugeait Camus, c'est ajouter au malheur du monde. Ne pas nommer les choses, c'est nier notre humanité. »

▶ Éric Fottorino

 

« En amour, rien ne remplace l'insouciance. » ■ Jean Lemieux / La lune rouge

 

« Il y a dans l'aurore du talent quelque chose de naïf et de hardi en même temps qui rappelle les grâces de l'enfance et aussi son heureuse insouciance des conventions qui régissent les hommes faits. »

 

■ Eugène Delacroix (1798–1863)

 

« Qui apprend à prendre du bon temps rajeunit tout autant. » ▶ Daniel Desbiens

 

« Ta seule obligation en n'importe quelle vie est d'être vrai envers toi-même. » ▶ Richard Bach

 

« Pour ces messieurs, la moralité devient rigide quand le reste ne l'est plus. » ▶ Michel Colucci, dit COLUCHE

 

« La liberté ne se quémande pas, elle se prend ! »

 

▶ Thomas Edward Lawrence (1888 – 1935)

 

« La bêtise humaine est la seule chose qui donne une idée de l'infini. »

 

▶ Ernest Renan (1823–1892)

 

« Cul ― Le cul : le rusé inférieur. » ■ Antoine Baudeau de SOMAIZE

 

« Le monde est plein de réprouvés, puisqu'il est plein de voluptueux et d'impudiques. ».

 

■ Louis Bourdaloue (1632–1704)

 

On dit qu'une femme n'a pas
Au cul ce qu'elle a dans la tête ;
Si le proverbe est malhonnête,
Au premier avertissement,
On peut le rayer aisément.

 

■ Paul Scarron (1610–1660)

 

« Il n'est que d'avoir d'esprit bonne ouverture. » ■ Charles de Bourdigné

 

« Souviens-toi que si tu restes fidèle à tes principes, ceux qui se moquaient d'abord de toi, t'admireront plus tard ; mais si tu es vaincu par leurs propos ineptes, tu te rendras doublement ridicule. »

« La liberté est le droit de vivre comme nous le souhaitons. »

« Le bonheur ne consiste pas à désirer et à jouir, mais à ne rien désirer, car il consiste à être libre. »

 

■ ÉPICTÈTE

 
« De la femme vient la lumière. »
 
« L'avenir de l'homme est la femme
Elle est la couleur de son Âme
Elle est sa rumeur et son bruit
Et sans Elle, il n'est qu'un blasphème. »
 
■ Louis Aragon (1897–1982)

 

« Puritanisme : la peur obsédante que quelqu'un, quelque part, puisse être heureux. »

▶ Henry Louis Mencken (1880 – 1956), surnommé le « sage de Baltimore » ou encore le « Nietzsche américain ».

 

« Être, ou ne pas être, telle est la question. »

« Lorsque l'esprit est libre, le corps est délicat. »

« C'est une chose merveilleuse que l'instinct. »

« Mieux vaut mourir incompris que passer sa vie à s'expliquer. »

 

■ William Shakespeare (l564 – l616).

 

« Tomber amoureux, réciproquement, est chose facile ; c'est le sexe qui reste incompréhensible. Enfin, s'il y a bien quelqu'un qui peut professer l'art de faire l'amour, ce ne sera pas un poète dans un séminaire, mais une prostituée, par une démonstration concrète à l'ombre d'un buisson velu.
   
Désir et plaisir sont deux choses distinctes ; l'un remplace l'autre. Les variations sur ce thème, dans différents genres de discours, dans diverses pratiques et dans autant de contextes que de situations de littératie vécues par la personne, le milieu et la communauté offrent la matière première à l'histoire de la volupté préchrétienne.
 
La sensualité est la forme extrême de la sensibilité, l'émincé en tranches fines d'une intelligence vive, un bonus qui peut faire la différence dans ses qualités intrinsèques et sa créativité particulière. »
 

 ■ Brigitte Lascombe

 
 

« Quoique les morts aient dit de leur vivant, c'est en définitif aux vivants de choisir. »

Bernard Crettaz

 

« La France est catholique parce que la femme est catholique. Et la femme est catholique parce qu'elle n'est pas libre. »

Georges Darien (18621921)

 

« L'éducation chrétienne repose essentiellement sur l'angoisse et la peur, le manque de confiance en la nature humaine, le mépris du corps, de la sexualité et de la femme en tant qu'être sexué. »

■ Docteur Pierre Solignac (La névrose chrétienne)

 

 « L’anatomie première, l’anatomie donnée est toujours considérée comme inacceptable. La chair à l’état brut semble aussi intolérable que menaçante. Le corps, la peau, dans leur seule nudité, n’ont pas d’existence possible. L’organisme n’est acceptable que transformé, couvert de signes. Le corps ne parle que s’il est habillé d’artifices. La toison, c’est le côté sauvage. Le corps de la femme est très civilisé, sauf là. L’obsession de rendre le corps plus structuré, plus solide, traverse les cultures. »

 

■ France Borel - Le Vêtement Incarné

 

« Pour les chrétiens, la nudité est honteuse car elle révèle les parties sexuelles, ces parties du corps que l’on ne peut maîtriser. Le vêtement devient alors cette marque qui rappelle quotidiennement la faute originelle, le poids irréversible du péché marqué au fer rouge du sceau de l'infamie. La part animale de la femme est donc définitivement liée à son organe vaginal et aux phénomènes qui y sont rattachés. On peut penser notamment à l’enfantement et aux menstruations qui sont des motifs majeurs de peur panique chez les Pères misogynes de l’Église. Tant pis pour les eunuques raides qui croupissent dans le monastère du Val de Castre ! »

 

■ Aurore Desgranges, présidente de l'association des Têtes Chercheuses

 

« Je ne suis pas de ceux qui disent : ce n'est rien, c'est une femme qui se noie. Je dis que c'est beaucoup. Et ce sexe vaut bien que nous le regrettions puisqu'il fait notre joie. »

 

■ Jean de La FONTAINE (1621–1695)

 

« L'enjeu, selon moi, est clair : si nous apprenons à transformer le sexe en sensualité, alors disparaîtra ce qui nous paralyse, c'est-à-dire la peur d'apprendre à aimer vraiment. Or, si nous voulons que l'amour dure un peu plus de trois ans, si l'on veut aimer intensément dans le temps, il faut apprendre à faire de l'amour un art et non une simple émotion. »

 

Giulia Sissa (professeure, d'origine italienne, "de théorie politique et de civilisations de l'Antiquité à l'UCLA en Californie, chercheuse au CNRS", écrivaine publiée)

 

« Ne te contente pas de la médiocrité. Saisis ta chance, prends des risques, retrouve la passion et ravive là. Tombe amoureux encore et encore, ça en vaut vraiment la peine ! »

 

■ Walter Hartwell White

 

« Celui qui attend que tout danger soit écarté pour mettre les voiles ne prendra jamais la mer. »

 

■ Thomas Fuller

 

« La peur nous piège dans une vie ennuyante. »

 

Donald Miller

 

« Il existe de par les chemins une race de gens qui, au lieu d'accepter une place que leur offrait le monde, ont voulu s'en faire une tout seuls, à coups d'audace ou de talent. »
« Dans tout homme qui tient une plume... le bourgeois un inutile; dans chaque bourgeois, l'homme de lettres un ennemi. »
 
■ Les Réfractaires (1881) de Jules Vallès
 
" Si tu veux véritablement connaître le cœur d'une personne, observe comment comment elle se comporte avec les gens qui ne peuvent rien lui apporter ".  ■ Sagesse hindoue
 

« Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous. » ■ Paul Eluard (1895–1952)

 

 
C’est bon ! J’adore le vagin !
La libération du vagin, pour moi, c’est la libération des femmes. Depuis la première représentation des Monologues du vagin, les femmes viennent me parler de leur corps, de ses blessures, mais aussi de plaisir ; c’est merveilleux ! Le processus de réappropriation de son corps est quelque chose de lent.
D’ailleurs, j’aurais pu appeler ma pièce Les Monologues de la vulve, mais personne ne serait venu m’écouter ! Cette histoire d’imprécision dans les mots est problématique.
À la Cité de la joie, on organise des cours d’éducation sexuelle, on donne un miroir à toutes les femmes pour qu’elles apprennent à connaître leur intimité et qu’elles intègrent l’idée qu’elle leur appartient. Ça devrait vraiment être le cas dans toutes les écoles. Même ici, en France, on ne parle de sexualité que sous le prisme des maladies et des risques, jamais pour parler de plaisir. Peut-on vraiment croire que ça s’apprend tout seul ? »

■ Eve Ensler

 

« Cacher son corps, c'est en avoir honte. Et la honte, c'est la voix des autres en nous. Les esprits libres la font taire. »

 

« Le Paganisme n'est pas une religion proprement dite. C'est une spiritualité de la liberté, de la joie - et parfois de l'extase. »


■ Guy FEQUANT

 

« Netteté et propreté maintiennent le cœur en joie. »

 

■ Fernando de Rojas (1465 – 1541), écrivain et dramaturge espagnol de la fin du Moyen Âge.

 

« L'amour des mots est en quelque façon nécessaire à la jouissance des choses. »

Francis Ponge (Le Grand Recueil)

 

« La peinture c’est la liberté. Si vous sautez, vous pouvez retomber du mauvais côté de la corde. Mais si vous n’êtes pas prêt à prendre le risque de vous casser le cou, à quoi bon ? Vous ne sautez pas du tout. Vous devez réveiller les gens ».

 

“ En art, les intentions ne suffisent pas et, comme nous disons en espagnol, « l’amour doit être prouvé par des faits, et non par des paroles ».”

 

« Tout le monde veut comprendre la peinture, pourquoi n’essaie t’on pas de comprendre le chant des oiseaux, pourquoi aime t-on une nuit, une fleur, tous ce qui entoure l’homme sans chercher à les comprendre ? ».

 

« L'art lave notre âme de la poussière du quotidien. »

 

■ Pablo Picasso (1881 – 1973)

 

« Il n'y a pas de feuille de vigne qui tienne ! La pruderie est aux affligés puritains ce que la fosse est au purin d'ortie. »

▶ Marcel Ferri

 

« L'heure de l'évolution d'un peuple sonne quand la femme cesse d'être esclave. »

 

■ Éva Circé-Côté (1871–1949) Femme de lettres du Québec, journaliste, bibliothécaire, libre-penseuse.

 

« La marque du maillot est le symbole de la soumission aveugle aux règles de la société (l'équivalent de la laisse et  du collier pour les chiens). Il n'est pas question de remettre en cause les lois qui - en principe - garantissent le respect d'autrui, mais simplement de vivre peinard en gardant les yeux ouverts, sans être entravé par l'empreinte d'un caleçon. Oser vivre nu, c'est oser vivre libre. Le calcul est vite fait. »

■ Christian Suavet
& France Guillain

 

« L’absence de gêne extérieure. »Thomas Hobbes

 

« La morale, c’est un commandement qui nous enjoint de ne pas être naturels, d’échapper à la nature. Ne voilà-t-il pas, déjà, qui est étrange ? Pourquoi un être naturel, sans doute, qui fait partie de la nature, aurait-il pour devoir, pour règle de vie, de vivre contrairement à la nature et, à supposer qu’il le puisse, en dehors d’elle ? »

■ Auguste Émile Robin Faguet (1847 – 1916)

 

" Je me suis souvent repenti d’avoir parlé, jamais de m'être tu. " ■ Arsène au IVème siècle.

 

« La plus difficile victoire que l'on puisse remporter est de maîtriser sa langue. » ■ Pythagoras

 

« La moralité, c'est l'instinct du troupeau chez l'individu. »

« Créer — c'est la grande délivrance de la douleur, et l'allègement de la vie. Mais afin que naisse le créateur, il faut beaucoup de douleurs et de métamorphoses.

Oui, il faut qu'il y ait dans votre vie beaucoup de morts amères, ô créateurs !

Ainsi vous serez les défenseurs et les justificateurs de tout ce qui est périssable. »

« Mon bonheur est fou et il ne dira que des folies : il est trop jeune encore — ayez donc patience avec lui ! »

« Pour vivre seul, il faut être une bête, ou un dieu, dit Aristote. Reste un troisième cas : il faut être les deux à la fois... philosophe. »

« Tout homme d'élite aspire instinctivement à sa tour d'ivoire, à sa retraite mystérieuse, où il est délivré de la masse, du vulgaire, du grand nombre, où il peut oublier la règle «homme», étant lui-même une exception à cette règle. »

« Il y eut toujours beaucoup de gens malades parmi ceux qui rêvent et qui languissent vers Dieu ; ils haïssent avec fureur celui qui cherche la connaissance, ils haïssent la plus jeune des vertus qui s’appelle : loyauté. »

« Il faut avoir une musique en soi pour faire danser le monde. »

« Il apprend à parler toujours plus loyalement, ce moi : et plus il apprend, plus il trouve de mots pour exalter le corps et la terre. »

« Vis de telle sorte qu'il te faille désirer revivre, c'est là ton devoir. »

« L'art et rien que l'art, nous avons l'art pour ne point mourir de la vérité. »

« Être libre, c'est vivre nu et sans honte. »

« Vous aurez toujours la morale qui s'accorde avec votre force. »

« Il n’existe au monde qu’un seul chemin sur lequel toi seul puisse passer. Où mène-t-il ? Ne le demande pas, suis-le. Qui donc a énoncé ce principe ? Un homme ne monte jamais plus haut que lorsqu’il ignore où son chemin peut le mener. »

« Le christianisme a pris le parti de tout ce qui est bas, vil, manqué, il a fait un idéal de l' opposition à l'instinct de conservation de la vie forte. Même aux natures les mieux armées intellectuellement, il a perverti la raison, en leur enseignant à ressentir les valeurs suprêmes de l'esprit comme entachées de péché, induisant en erreur, comme des tentations. »

« Le christianisme a donné du poison à boire à Éros. Il n'est pas mort, mais il a dégénéré en vice. »

« – On appelle esprit libre celui qui pense autrement qu’on ne l’attend de lui à cause de son origine, de son milieu, de sa situation et de son emploi ou à cause des vues régnantes du temps. Il est l’exception, les esprits serfs sont la règle : ceux-ci lui reprochent que ses libres principes ou bien ont leur source dans le désir de surprendre, ou bien aboutissent à des actions libres, c'est-à-dire des actions qui ne se concilient pas avec la morale dépendante. – Au reste, il n’est pas de l’essence de l’esprit d’avoir des vues plus justes, mais seulement de s’être affranchi du traditionnel, que ce soit avec bonheur ou avec insuccès. Pour l’ordinaire toutefois il aura la vérité de son côté, ou du moins l’esprit de la recherche de la vérité : il cherche lui, des raisons, les autres une croyance farfelue. »

« Plus nous nous élevons et plus nous paraissons petits à ceux qui ne savent pas voler. »

« La perspective certaine de la mort pourrait mêler à la vie une goutte délicieuse et parfumée d'insouciance - mais, âmes bizarres d'apothicaires, vous avez fait de cette goutte un poison infect, qui rend répugnante la vie toute entière ! »

« Il me déplaît. » — Pourquoi ? — « Parce qu'il me dépasse. A-t-on déjà fait pareille réponse ? »
« Qui appelles-tu mauvais ? — Celui qui veut toujours faire honte. »

« Une œuvre d’art n’est lisible que par approfondissements successifs ».

 

Friedrich Wilhelm NIETZSCHE (1844 – 1900)

 

« Le plaisir est le principe et la fin de la vie bienheureuse. » ■ ÉPICURE

 

« La lecture, c'est autre chose, c'est un travail intérieur, ça peut faire bander aussi, et pas seulement le sexe. La création, pour moi, actrice, est une formidable aventure collective, et, quand il m'arrive de me mettre devant une feuille blanche pour écrire, cette solitude-là me désarme complètement...

C'est cette solitude nécessaire, qui peut être un cadeau ou une calamité, dont on ne peut pas se défaire. Il faut savoir s'en servir, ne pas s'y abandonner. Je parle de solitude « nécessaire » pour rester courtoise, mais nous savons bien que nous sommes tous irrémédiablement solitaires. On naît solitaire, on est malade à crever dans la solitude et on meurt seul, même si on a cinquante personnes autour de soi.

Quand on est dans la lumière, on a besoin d'ombre. Quand on a galopé toute une journée, on est content que la nuit tombe. »

 

■ Jeanne Moreau (1928–2017), la femme libre et anticonformiste du cinéma français.

 

« Il n'y a pas d'âge héroïque, il n'y a que des hommes héroïques. » ■ Stefan Zweig (1881–1942)

 

« L'homme recherche le plaisir et fuit la douleur, mais une telle conduite n'a au fond rien de proprement humain; ce n'est pas un choix volontaire, c'est la tendance de tous les vivants et l'enfant n'est en ce sens rien de moins que le philosophe : il est "instinctivement attaché". »

« La véritable sagesse est de savoir jouir du plaisir du moment présent et d'éviter la souffrance que l'on rencontre lorsqu'on cherche à jouir des choses qui ne sont pas présentes. »

■ Aristippe de Cyrène fut un génial philosophe grec. Disciple de Socrate à Athènes, il est le fondateur de l'école dite cyrénaïque, dont l'orientation principale est l'hédonisme.


« Un peintre, voyez-vous, qui a le sentiment des tétons et des fesses, est un homme sauvé. »

■ Pierre-Auguste Renoir (18411919)

 

« Le plus beau spectacle du monde est une belle femme. »

■ Julien Jean Offray de La Mettrie (1709–1751)

 
« La femme est la fin de l’homme ». ■ Paul Eluard
 
« La communication doit tendre vers l’immortalité, la beauté en faisant preuve de créativité et d’imagination. Mais cela exige évidemment de vouloir prendre des risques, d’oser, d’avoir du courage. Si le consensus amène tout droit à la médiocrité, la création et l’imagination apportent un surplus d’intelligence et de sensibilité qui met en adéquation le coeur et l’esprit. »
 
■ Oliviero Toscani
 

« Une mauvaise herbe est une plante qui a maîtrisé toutes les techniques de survie, excepté celle de s’aligner dans les rangs.
Soyez une mauvaise herbe. »

 

■ Christian Daa Larson (1874 – 1954)

 

« Sacrilège, la vie l'est par définition. » ■ Gilles Perrault

 

Cadun es couma li sieu acioun lou fan marit couma la rougna, o bouon couma lou pan. (Chacun est comme ses actions le font : mauvais comme la gale ou bon comme le pain)

 

■ Proverbe Niçois

 

« Le football moderne est la quintessence de cette société. On a rarement vu dans l'Histoire des gens aussi cons gagner autant d'argent. »

 

■ Arnaud de Robert

 

« Nous avons déjà parlé tant du symbolisme que du rite du dépouillement, et de l’expression la plus crue que ce dernier, sur la ligne féminine, eut dans des formes comme la danse des sept voiles. Il s’agit de la femme qui se dépouille non des vêtements matériels qui cachent son corps, mais bien de son individuation comme être empirique et personne particulière jusqu’à se montrer dans sa substance élémentaire abyssale, comme la Vierge, comme Durgâ, comme la Femme antérieure aux multiples variétés des femmes mortelles. Dans sa racine dernière, la fascination exercée par toute nudité féminine se base sur le fait que celle-ci fait pressentir d’une certaine façon obscure, perçue seulement par les sens, l’autre nudité. Il n’est pas question de « beauté » ou d’attrait animalement charnel ; dans la fascination du nu féminin, il y a un aspect de vertige semblable à celui provoqué par le vide, par le sans-fond dans le signe de la « Vie », substance première de la création et de l’ambiguïté de son non-être. Ce trait appartient uniquement au nu féminin. L’effet du nu masculin sur la femme, en comparaison, non seulement est très réduit, mais est spécialisé, il est d’ordre essentiellement physique et phallique ; cette nudité n’agit sur elle que dans la forme banale de lui suggérer l’efficience musculaire et animale du « mâle ». Il n’en est pas ainsi pour le nu de la femme : chez la femme complètement nue, c’est « Durgâ » que l’homme sent obscurément; c’est elle qui, déesse des fêtes orgiaques, est aussi l’« Inaccessible » ; c’est la Prostituée et la Mère qui est aussi la Vierge, l’Inviolable, l’Inépuisable. »
 
■ Le philosophe europaïen et ésotériste italien Julius Evola, auteur d’un ouvrage magistral consacré à la Métaphysique du sexe.
 

« La première entreprise vers l’avenir se doit de supprimer l’existence d’un amour supranaturel, immatériel et divin. La présence du mythe christique doit être abolie. Le cadavre de Jésus doit cesser de s’interposer entre les hommes et les femmes. Le portrait de l’homme vivant, riche de son effort, conscient de sa puissance, doit remplacer celui du misérable condamné, de l’imparfait définitif que l’Église nous a présenté depuis des siècles. ». ■ Pierre Mabille

 
« En tête de cette introduction, nous affirmons que le nu est une philosophie et une religion, ajoutons-y qu’il est également une mystique à la plus grande louange du dieu des corps… »

 

« À l’heure où les peintres ne savent plus peindre ni les sculpteurs sculpter et se complaisent dans une iconoclastie par trop stérile, il appartient aux fidèles du culte des images de conserver aux choses leur antique vertu incantatoire, afin de perpétuer le devenir des métamorphoses et de maintenir tout le possible des plus secrètes anamarphoses. »

 

« ll importe avant tout dépasser l’homme, de l’élever à l’état de mystère. »

 

*

« Bien que l’art n’ait cessé de se dégrader au point de n’être plus qu’une chose assez vile, il est de par sa nature même un acte de pure magie. Il est à la fois rupture de discontinuité, incantation, mande et accession au sacré. Il est d’une théurgie qui fait naître tous les possibles. Dès que ces possibles s’agglomèrent en des concrétions d’au-delà de nous-même et du monde, pour se revêtir de l’infinie diaprure des signes et des symboles, ils s’ouvrent au langage des phantasmes, nous dévoilant ainsi la subtile alchimie de tout ce qui s’émerveille en l’Absolu. »

 

■ Marc Eemans (Fantasmagie numéro 8, décembre 1961, page 21)

 

« L'érotisme, ce triomphe du rêve sur la nature, est le haut refuge de l'esprit de poésie, parce qu'il nie l'impossible. »

Emmanuelle Arsan (1932 – 2005)

 

« L'intérêt de l'humanité demanderait que la puissance spirituelle fût mise nue comme la main. »

 

■ Jean Le Rond d'Alembert

 

« Il faudrait faire l'amour comme on mange du poisson : ne pas avaler les arêtes. »

Jean Baptiste Alphonse Karr (1808 – 1890)

 

« Entre le sentiment de la beauté et la passion obsessionnelle pour une œuvre, la marge est grande ; cette œuvre peut être reçue comme pure représentation – le critère invoqué est celui de la ressemblance -, comme une évocation – critère poétique -, comme une excitation visuelle, auditive ou tactile – critère de communion -, appelant en retour l’admiration formelle, la contemplation, la délectation, l’imagination délirante ».

 

■ Marianne Roland Michel

 

« La poésie a tous les droits et en particulier celui de triturer, malaxer, casser, concasser le langage usuel pour construire le sien propre ; tout comme deux êtres qui s’aiment et qui se désirent n’ont d’autres lois que la liberté et la spontanéité des jeux de l’amour. »

François d'Alayrac

 

« C'est le fanatisme de la liberté, seul, qui peut avoir raison du fanatisme de la servitude et de la superstition. »

 

■ Georges Darien. La Belle France (1900)

 

« La plèbe se damne par la chair jouissant contre l'esprit et le savant, lui, par l'esprit qui jouit contre la chair. »

 

■ Georg Georg Christoph Lichtenberg (1742 – 1799)

 

« Ce n'est pas l'Utopie qui est dangereuse, car elle est indispensable à l'évolution. C'est le dogmatisme, que certains grotesques tyrans gonflés de vanité et de pulsions purulentes utilisent pour maintenir leur pouvoir, leurs prérogatives et leur dominance dans le sang. »

 

■ Henri Laborit (1914 – 1995)

 

« La justice c'est comme la Sainte Vierge. Si on la voit pas de temps en temps, le doute s'installe. »

 

▶ Michel Audiard

 
« La fausseté ne peut longtemps se soutenir : elle n'a qu'un instant pour tromper. »
 
■ Démophile d'Himère

« Qu'est-ce qu'une aristocrate ? C'est une femme que la vulgarité n'atteint pas bien qu'elle en soit cernée. »
 
■ Muriel Barbery
 
« Vouloir être dans le vent c'est une ambition de feuille morte. » ■ Gustave Thibon

 

« Si la femme devait être cachée par un voile, alors, pourquoi les Dieux l'auraient-ils faite belle ? »

Frédéric Malmartel

 

« C'est l'amour des richesses qui cause la folie des hommes et leur perversité. »

▶ Théognis de MÉGARE ~ Poète gnomique élégiaque grec de l'Antiquité

 

« Quel crime de lèse-million que de démontrer aux riches l'impuissance de ce de l'or. »

■ Honoré de Balzac

 

« Le courage est sans victoire si ce n’est sur soi-même » ■ Cynthia Fleury

 

« Lorsque tu as plusieurs choix devant toi (…) et que tu n'arrives pas à te décider, prends toujours le chemin qui demande le plus d'audace. »

Ronald Wright

 

« Il est temps d’abandonner le monde des civilisés et sa lumière. Il est trop tard pour tenir à être raisonnable et instruit — ce qui a mené à une vie sans attrait. Secrètement ou non, il est nécessaire de devenir tout autres ou de cesser d’être.

Le monde auquel nous avons appartenu ne propose rien à aimer en dehors de chaque insuffisance individuelle : son existence se borne à sa commodité. Un monde qui ne peut pas être aimé à en mourir — de la même façon qu’un homme aime une femme — représente seulement l’intérêt et l’obligation au travail. S’il est comparé avec les mondes disparus, il est hideux et apparaît comme le plus manqué de tous. »

 

■ Georges BATAILLE — Acéphale, 1ère année, 24 juin 1936

 

« L’esclavage humain a atteint son point culminant à notre époque sous forme de travail librement salarié. »

 

■ George Bernard Shaw

 

« Tu dois vivre dans le présent, te lancer au devant de chaque vague, trouver ton éternité à chaque instant. »

 

► Henry David Thoreau

 

« Dans vingt ans, vous serez plus déçu par les choses que vous n’avez pas faites que par celles que vous avez faites. Alors sortez des sentiers battus. Mettez les voiles. Explorez. Rêvez. Découvrez. »

 

■ Mark Twain

 

« L’effort qu’on fait pour être heureux n’est jamais perdu. » ■ Anonyme

 

« Quand on fait circuler le courant, le cerveau de l'homme passe de la division à l'unité tandis que le cerveau de la femme passe de l'unité à la division. Lorsque la femme a un cerveau d'homme, le courant ne passe plus. La division s'installe. »

 

■ Paule Salomon

 

« Notre obsession du temps qui passe, qui est gagné ou perdu, nous fait oublier que c’est nous qui passons. »
 
■ Pierre Rabhi
 

« Si la raison brille, l'intelligence éclaire. » □ Jacques de Bourbon-Busset

 

« L’homme à l’état primitif n’en avait point (de vêtement). Il allait tout nu… Sa peau était ferme et dure… Nous respirons non seulement par les narines, mais aussi par les innombrables pores de notre peau… en nous couvrant de vêtements, nous entravons l’accomplissement de cette fonction naturelle. C’est une idée absurde de croire que notre corps est inconvenant quand il est dévêtu : les meilleurs tableaux sont ceux qui représentent des corps nus. Quand nous recouvrons les parties les plus ordinaires de notre corps, cela semble signifier que nous avons honte de les montrer telles qu’elles sont ; cela semble supposer que nous trouvons quelque chose à redire à ce que la Nature a prévu. Si nous n’étions pas aveuglés par la sotte habitude, nous nous apercevrions que le corps humain n’est vraiment beau que dans sa nudité et c’est dans cet état seulement qu’il jouit de sa pleine santé. »

 

■ Mahatma Gandi (1869–1948)

 

« La nudité, c'est la religion qui en a fait un péché. L'homme, à l’origine était nu, et c'est le climat froid qui l'a contraint à s'habiller pour se protéger des intempéries. Nous pouvons encore constater en Amazonie des tribus indigènes, un pays où les gens vivent nus à l'écart du monde extérieur, ignorant la notion de pudeur. La civilisation et les ethnies dites "primitives" vivent différemment, plus simplement surtout.

Les gens lobotomisés qui ne comprennent pas pourquoi il est si agréable d'être nu n'ont pas leur libre arbitre. Ce sont de simples moutons emmitouflés dans leur train-train bourge. On a des poils mais on passe toute notre vie à les enlever sous prétexte que ce n'est pas beau, que ce n'est pas hygiénique, que ce n'est pas tendance dans notre société marchande rongée de faux-semblants...

 

L'Éveil commence là où les vraies questions sont posées.

 

Pourquoi j'agis, je pense, je vis comme ça et pas autrement ???

 

On a obligé les minots à mettre un slip lorsqu'ils étaient petits, on les a forcés à croire que la nudité est obligatoirement lié au sexe, on les a obligés à perdre leur unité corporelle, on leur a tissé un slip chrétien dans le cerveau et c'est le plus dur à enlever.

C'est comme les croyances, combien resterait-il de bigots si on ne leur avait pas inculqué de force l'existence d'un dieu depuis tout petit ?

Et c'est tellement bon d'être à poil au soleil, sentir le vent et l'eau salée chatouiller entre les jambes, ne faire qu'un avec Dame Nature... !

Nous naissons nus et mourrons habillés : cherchez l'erreur !!!

On ne sait pas profiter de notre corps car nous sommes éduqués comme cela, en bons robots atones.

En effet, la part de l'éducation est le principal frein à l'épanouissement... En Amazonie, ils n'ont guère de souci....

 

Le nu est innocent s'il est pratiqué à bon escient.

 

À l'adresse des pharisiens et des illuminés croyants : si dieu avait voulu que l'on soit habillés, il nous aurait créés avec des poils drus ou des plumes comme les animaux pour nous protéger du "péché" et du froid, ça me semble d'une logique imparable !

Peu d'hommes savent se mettre nu sainement ; par contre, beaucoup d'entre eux sont déviants, violents et pratiquent l'exhibition. La machine à broyer sociétale occidentale s'efforce de détruire le naturel au profit du conventionnel à la mode. De ce fait, les corps nus deviennent laids, pervertis, vicelards. La nudité du désir se veut naturelle, et pourtant elle se farde souvent. »

 

■ Lucy Van Pelt

 

« Si la raison brille, l'intelligence éclaire. » □ Jacques de Bourbon-Busset

 

« Pour certaines personnes, l’intellect peut être tout aussi érotique que le physique. Mais si la reconnaissance d’une intelligence cognitive fulgurante chez l’autre est importante, elle n’est pas suffisante. C’est surtout dans l’intelligence émotionnelle et dans l’effort à transmettre que va se nouer la relation. C’est une symbiose entre l’esprit, le corps et le coeur. L’un des trois n’est pas suffisant, il doit quand même y avoir un désir physique qui prévaut. On peut alors parler d’instant mystique pour évoquer cette symbiose magique. Sur une joute verbale, une fille moyenne peut devenir instantanément belle et désirable aux yeux de son prétendant. C’est un instant unique. Ça la transcende entièrement et la transforme physiquement. Les tourtereaux à l'unisson évoquent même une « reconnaissance, un effet de miroir qui fait que l'on se reconnaît en l'autre. À chaque instant, on a quelque chose à s'apporter sur des domaines différents. C'est un enrichissement mutuel permanent
 

Quand on leur demande si se faire caresser les neurones dans le sens des synapses peut remplacer l’acte sexuel, c’est un non retentissant. Au contraire, clament les sapiosexuels ! Caresses cérébrales, oui, mais pas au point de remplacer un vrai corps à corps. Pour ces privilégiés de la galipette, l’émulation verbale peut être un préliminaire, et s'avère très érogène, mais la curiosité intellectuelle est aussi un levier pour expérimenter d’autres choses croustillantes sous la couette. Ils/elles remarquent d’ailleurs « plus de curiosité et d’exotisme » de la part de leurs chéri(e)s/amant(e)s athlètes de la pensée. On est loin du cliché de la jouissance purement psychique des amants se lisant de la poésie au lit.

Si l’attirance pour l’intelligence existe depuis toujours, elle se voit soudain nommée et exaltée par l’hyper segmentation de la sexualité ».
 
■ Chantal Bachelet-Pruneau, psychologue et sexologue.

 

« L'homme obtus manque d'esprit, le sot d'entendement. » ■ Emmanuel Kant

 

« Les gens se sentent seuls parce qu'ils construisent des murs au lieu de construire des ponts. »

 

■ Joseph Fort Newton

 

« Gardons la tête haute ! Soyons fiers d'afficher nos idées, nos engagements et nos convictions. Ne laissons pas bêtise, obscurantisme religieux et méchanceté triompher. Tant pis pour cette frange fataliste cague-braille de la société qui régresse lamentablement, mais va se retrouver le bec dans l'eau.

La France cul-pincée file du mauvais coton. Qu'on ne compte pas sur le contingent des esprits libres, maîtres artificiers bien dans leur peau pour se coller un sparadrap sur la bouche, se faire anal-yser et se coucher benoîtement derrière le pavillon de la pruderie politiquement correcte. La fausseté, ce n'est pas du tout dans nos cordes, mais alors pas du tout — Seuls sont les indomptés... Qu'on se le dise... On ne lâchera jamais rien ! »

 

■ SPARTACUS

 

« Je suis tout autant émerveillée par les paroles d'un homme dit "éveillé" que par celle d'un scientifique dont la recherche est libre et authentique. Finalement, les deux porteurs de lumière sont animés par la même noble quête, à savoir : la quête de la Vérité. »

 

■ Marie Nous

 

« La vraie valeur d'un homme réside, non dans ce qu'il a, mais dans ce qu'il est. »
« La plupart des hommes et des femmes sont contraints de jouer des rôles pour lesquels ils n'ont aucune aptitude. Le monde est un théâtre, mais la pièce est mal distribuée. »
 
■ Oscar Fingal O'Flahertie Wills Wilde (1854–1900)

 

« Les grands esprits ont toujours rencontré une opposition farouche des esprits médiocres. »

 

■ Albert Einstein

 

« Apprends la sagesse dans la sottise des autres. » ■ Proverbe Japonais

 
« La voie du juste milieu n'est pas suivie. Les hommes intelligents vont au-delà, les ignorants restent en deçà. Les sages veulent trop faire, et l'homme de peu pas assez. C'est ainsi que tout homme boit et mange, et peu savent juger des saveurs. »
« Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu. »
 
■ Confucius

 

« II faut jouer le rôle d'amant ; que tes discours expriment le mal qui te consume, et ne néglige aucun moyen pour persuader ta belle. »

« II n'est pas bien difficile de se faire croire ; toute femme se trouve aimable ; et la plus laide est contente de la beauté qu'elle croit avoir. »

 

■ OVIDE

 

« Faire changer les mentalités, c’est une gageure, mais ne sommes-nous pas des Hommes ? »

 

■ Mac Loster

 

« Le sens même de l'esprit de l'Art, c'est une superposition de talents au swing éclaté, insoumis, incandescent; un enthousiasme permanent transformé aussitôt en cristal tranchant. »

■ Nicole Bertolt de la Cohérie

 

L'enthousiasme est à la base de tout progrès. ” ■ Henry Ford

 

Mieux vaut allumer une bougie que maudire les ténèbres. ” ■ Lao-Tseu

 

« Enseigner, c'est apprendre deux fois. » ■ Joseph Joubert (1754–1824)

 

« On marche sur la tête. Des actes tangibles qui prouvent que l'égalité hommes-femmes est encore loin d'être gagnée en France. Tout le monde ne naît pas égal en machocratie : je suis soi-disant supérieur parce que né mâle en idiocratie. Sur les réseaux sociaux, sur le web en général, on a tous à en découdre un jour ou l'autre... Voici des états de faits imputables au sexe masculin relatés ici qui montrent qu'elles sont encore criantes. Des journées sont censées faire évoluer les mentalités avec des campagnes de sensibilisation. En France, si des progrès ont été faits, ils restent nettement insuffisants. La star  franco-russe du X, Anna Polina, violemment prise à partie par un "hater" récidiviste, répond sans coup férir et traîne l'énergumène excité par la même occasion devant un tribunal pour répondre de ses propos odieux, sexistes et humiliants.

Un jugement de la Cour suprême avertit que la liberté d'expression n'excuse pas tout.

Les manifestations de haine à flux continus lancées sur les médias sociaux ne sont pas défendables au nom de la loi garantissant la liberté d'expression. C'est ce que vient de décider la Cour suprême espagnole, quelques jours après l'explosion d'insultes sur Twitter après la mort subite d'une jeune actrice porno. Ainsi donc, sur les réseaux sociaux, en abusant de l'anonymisation, en profitant clairement de l'absence de régulation ou d'une grave déficience au niveau de la modération des plateformes -plus soucieuses de gagner de l'argent que d'autre chose- on peut utiliser soit Facebook, soit Twitter, soit Youtube et/ou autre, pour déverser des flots d'injures, de salmigondis ou d'accusations gratuites assassines.

Il n'en reste pas moins qu'avec le Net, la haine s'est "démocratisée" et "banalisée", si je puis parler ainsi.

Dans Le Point du 2 février 2017, le journaliste Kamel Daoud résume la situation : L'effet poubelle, l'anonymat, la gratuité de l'espace, l'achronie et l'utopie y permettent de tout dire et de tout attaquer. Cette propagande haineuse est donc accessible au plus grand nombre, d'un seul et unique clic.

 

Prenons deux autres exemples

Quand l'outil Internet se développa, au début des années 1990, les extrêmistes du monde entier sentirent l'opportunité qui s'offrait à eux. Être sur Internet, c'est être visible et anonyme à la fois, hors de portée de certaines juridictions.

Sous prétexte d'exprimer leurs convictions anti-pornographie, plusieurs activistes mentalement dérangés se sont lancés dans un long chapelet d'injures, de sales blagues macabres et sarcastiques, se réjouissant de la mort d'une jeune femme, égérie des films pour adultes. Ce n'est pas la première fois que les réseaux sociaux servent de défouloir incontrôlé et le jugement de la haute cour concerne d'ailleurs une autre affaire, celle d'une jeune fille qui utilisait son compte Twitter pour faire l'éloge de l'ETA et se moquer sans vergogne des victimes du terrorisme.

La sentence dissuasive fera date et jurisprudence dans un pays habituellement plus tolérant que la France face aux dérapages et aux excès de langage, sans doute en réaction à près de quarante ans de dictature franquiste. « Des comportements de la sorte ne méritent pas d'être défendus au nom de la protection de droits fondamentaux comme la liberté d'expression ou la liberté idéologique ", signalent les magistrats dans le verdict, précisant « ne pas pénaliser le jeu de mot facile ou de mauvais goût ", prononcé de façon générique, mais bien l'insulte et l'humiliation de personnes concrètes, clairement identifiées par leurs agresseurs virtuels.

Les médias espagnols ont relevé ces derniers jours l'importance capitale de cette décision de justice et soulignent l'effet d'entraînement des réseaux sociaux qui amplifient le phénomène de campagnes de dénigrement et d'insultes, relayées par des participants qui se sentent forts et se croient protégés par le groupe et l'anonymat d'un pseudonyme. Bien mal leur en a pris ! Nul n'est censé ignorer la loi... Il faut rappeler alors les fondamentaux : en France, les dispositions interdisant l'incitation à la haine raciale et à la diffusion de propos racistes et d'attaques personnelles constituent des restrictions raisonnables et nécessaires au droit à la liberté de parole. Si le droit à la liberté vaut pour Internet, les restrictions à celle-ci s'appliquent également. Internet n'étant qu'un instrument et non un but en soi, il ne peut être tenu pour affranchi des lois nationales et internationales. Les journaux rappellent aussi que d'autres affaires similaires sont actuellement en cours de jugement et s'interrogent sur ces nouvelles limites à la liberté d'expression.

Au sein de la magistrature les opinions divergent. Les juges progressistes penchent vers la prudence. Ils ont jusqu'ici tenté d'éviter de monter en épingle les diverses affaires, préférant les replacer dans leur contexte et éviter des peines disproportionnées qui conduiraient selon eux à « la criminalisation de l'opinion et de l'expression ", cite le quotidien « El Pais ». Mais ils ont face à eux les magistrats conservateurs, plus intransigeants, selon lesquels « la liberté d'expression est un droit fondamental, certes, mais ne couvre et n'excuse pas tout ". Chacun doit prendre ses responsabilités.

La plupart des commentaires publiés sous les photos affichées sur mon compte sont sympathiques et adorables : "Tu es trop belle", "On est toujours joli(e) quand on est vue par les yeux de ses fans", "Profite bien de cette agréable journée"... Mais un twittos rageux se fait immédiatement remarquer avec une réaction virulente, déplacée et insultante : "Ta mère a pas honte (sic) de se promener avec sa pute de fille ?", interroge-t-il, dans un commentaire relevé par Voici et supprimé depuis. Cet enfoiré, utilisateur impulsif du réseau social est un poltron habitué des injures à l'encontre des actrices X. 

"Quelle faute ai-je commise ?"

Immédiatement, les fans d'Anna Polina lui répondent au quart de tour en des termes injurieux. La jeune actrice de charme, elle, ne se démonte pas et le fait avec calme, ironie et recul. "Une fois de plus je viens de me faire copieusement insulter sur les réseaux sociaux, écrit-elle. Quelle faute ai-je commise ? Exercer un métier difficilement accepté socialement... Chacun ses croyances, ses convictions, son parcours de vie et ses valeurs, je ne demande pas l'approbation de tous les blaireaux éburnés. Il y en a trop restés cloisonnés dans la matrice... Je décide d'exposer une partie de ma vie : j'en assume les conséquences qu'elles soient bonnes (je fais référence à vos adorables messages, vos conseils judicieux, votre soutien indéfectible) ou mauvaises (les insultes primaires, le misérabilisme, le mépris et le jugement à l'emporte-pièce). Je suis l'une des « hardeuses » cérébrales les plus aimées du moment. La preuve : il existe des masturbateurs masculins moulés sur mon vagin.

Dans un premier temps, j'ai eu peur qu'on ne me trouve pas suffisamment jolie pour un support masturbatoire. Pourtant, à aucun moment, on n’a exigé que je modifie mon apparence. Personne ne m’a jamais demandé de m’épiler, d’augmenter la taille de ma poitrine, de perdre du poids ou de faire du sport. Les pornographes ont fait preuve d’une grande tolérance à l’égard de ma normalité, ce qui m’a aidée à me débarrasser de tous complexes. C'est comme ça que je me suis retrouvée dans un porno intello, digne d'une diffusion au centre Georges Pompidou le samedi après-midi.

 

J'ai toujours été pleinement consciente de ce que je faisais, mais pour m’éviter certains plans glauques ou amateurs, je sollicitais le plus souvent l’avis de John. En vérité, je bouillonnais d'appartenir à ces travailleurs du sexe assumés, qui écrasaient les normes et les clichés genrés. Je n'avais toutefois ni vocation à développer une carrière durable, ni la prétention d'en être capable.

 

Beaucoup de mes amies au régime permanent gagneraient à connaître un tel parcours initiatique. Je dis ça, je dis rien.

J'ai trouvé dans le porno une sorte de famille de substitution. Il faut être entouré-e dans cette activité, qui est difficile à assumer socialement.

 

Reconnaissance, déclarations d'amour, insultes et harcèlement

 

Mon image est cédée pour une durée allant de 30 à 99 ans selon les contrats. Elle est diffusée largement, ce qui confère une petite notoriété pas toujours légitime et pas nécessairement recherchée. On touche alors à un haut degré de bizarrerie sociale, où se mélangent quotidiennement reconnaissance, déclarations d'amour, insultes et harcèlement.

 

Le plus difficile dans le porno, c'est finalement les réactions des gens qui ne nous connaissent pas.

 

Les comédiens de genre sont ignorés du cinéma traditionnel. Mais lorsqu'un réalisateur classique souhaite s'encanailler avec des scènes de sexe dans son vrai film, il n'hésite pas à faire appel à eux, pour leur proposer les rôles de "doublure anus".

 

Dans ce contexte, j’ai découvert une forme de désenchantement général de personnes pourtant passionnées, qui aimaient leur métier autant qu’elles le détestaient.

 

 

Je considère que je suis féministe et engagée à ma façon, je suis plutôt dans un féminisme pro-sexe car je considère que la femme comme l’homme peut disposer de son corps comme elle l'entend et en faire son outil de travail. Il faut quand même noter que le milieu X est un des rares corps de métier où la femme est cent fois plus importante que l’homme, où elle est bien plus mise en valeur. Une actrice est bien plus importante pour la vente d’un film ou d’une scène que l’acteur queutard. Quant aux salaires des actrices et des acteurs, ils sont plus élevés pour les premières. C'est parce que l’actrice fait la valeur d’un film. Mais cela conforte aussi l'idée que la sexualité féminine est un bien rare, qui ne doit pas se donner mais se vendre. Les relations amoureuses et la sexualité sont liées. En tout cas, dans mes films, c’est clairement lié. On peut bien entendu avoir du sexe sans amour, mais je pense qu’il y a une part d’affect, un besoin de sentir l’autre qui va au-delà du simple rapport sexuel. En revanche, le X n’a pas encore réussi à faire en sorte que les femmes soient clientes. Elles commencent à devenir consommatrices mais elles ne paient pas pour voir du porno, selon les études qui ont été faites. On parle partout du plaisir féminin mais je comprends que les spectatrices ne trouvent pas encore ce qui leur faut. En tant que femme, je ne pourrais pas aller sur un site gratuit, il y a beaucoup trop de contenus de qualité médiocre, c’est tout et n’importe quoi, et je pense que les femmes sont plus exigeantes que les hommes à ce niveau-là. Regarder des films "de boules", c’est une pratique ordinaire pour 99 % des mecs normalement constitués. Mais comme la pornographie représente de multiples fantasmes, certains sont en effet plus légitimes que d'autres. En fait, le porno souffre encore de l’image que lui a collé l’Etat depuis dans les années 70. Une image négative, de films pour pervers ou obsédés, alors qu'on peut le voir comme une technique ludique ayant pour but d'exciter les spectateurs.

 

Je vous remercie sincèrement mais ne perdez pas votre temps à parler avec des personnes revêches et autres laideronnes complexées sacrément frustrées et pas baisées qui vomissent leur haine et leur amertume tenaces sur le web. Depuis, Anna Polina a changé ses photos de couverture sur Twitter et Facebook, pour afficher un message un peu moins courtois, mais on ne peut plus clair : "Certaines Femmes de caractère portent la culotte comme on dit ! Et vous ? Ridicules abrutis misogynes émasculés que vous êtes...

 

Alors que certains sont téléconseillers ou vendeurs de chaussures, je suis actrice X et je cultive cette image car ce n’est pas forcément péjoratif. Ça me ferme des portes mais ça m’en ouvre plein d'autres en même temps : je vais intéresser certaines personnes et avoir des facilités pour certains projets parce qu’ils me connaissent grâce au X. D’un autre côté, être réduite uniquement à ça dans le domaine privé peut être compliqué. Par exemple, des amis d’amis qui ne vont me parler que de mon métier, ça peut être dur à gérer. En revanche, dans le domaine professionnel, ça permet de voyager partout, de découvrir plein de choses sur soi, sur les autres, ce n’est pas qu’une question de sexualité et d’exhibition. J’ai la chance immense d’avoir un métier plutôt fascinant, bienfaisant et anti-conventionnel. Je suis actrice porno, j'assume pleinement, et j'emmerde la déferlante beauf immature en long, en large et en travers." »
 

■ Anna Polina, actrice pornographique et mannequin. Profession : Hardeuse.

 

« La présence de Dieu est moins redoutable pour nous que le jugement de nos semblables. »

 

■ Denis Diderot (1713–1784)

 

La pudeur, est-ce une vertu ou un vice, une anomalie congénitale, une déformation professionnelle, une mauvaise blague sociétale, une erreur (de frappe) de Dame Nature ?

« Le quidam qui s’excite devant une image sacrée est-il coupable de son émoi ? Serait-il possédé, obsédé, calu, fada, atteint, niqué de la tête, jobastre, hanté, a-t-il, comme "on" dit, l’esprit mal tourné ? Ou a-t-il été atteint par une intention inavouée de l’artiste fécond ?

Pendant ce temps, les érudits discutent de sujets profonds à bâtons rompus : la pudeur, est-ce la même chose que la honte ? Est-ce une passion naturelle et universelle ? Innée ou acquise ? Si elle échoit à l’humanité après le péché originel, pourquoi les Indiens Tupi ne l’éprouvent-ils pas ? Et surtout, est-elle une vertu, un vice ou une tare exclusivement occidentale ? On se le demande. »

 

■ Nic Ulmi

 

" Le mariage est un sentiment que j’abhorre (...) Parce qu’il est le tombeau de l’amour. "

 

■ Giovanni Casanova l’admirable, Histoire de ma vie.

 

« Être nu fait partie intégrante de l’être humain. Si les nudistes ne dérangent personne, alors nous ne devons pas les déranger. » ■ Anton Paleev

 

« Qui garde son âme d'enfant ne vieillit jamais. » ■ Avrom Sutzkever (1913–2010)

 

« L’art permet de créer des passerelles, c’est un moteur de rapprochement. »

 

■ Georges Clemenceau, dit le Tigre (1841– 1929)

 

« Les mystères de la loi d'attraction ne peuvent pas toujours s'expliquer par la logique. Parfois, les fractures en deux âmes séparées par des centaines de kilomètres devinrent les charnières mêmes qui les tenaient ensemble. »

 

Lisa Kleypas

 

« Une femme doit être deux choses : classe et fabuleuse. »
« Pour être irremplaçable, il faut être différente. »
 
■ Gabrielle Chasnel, dite « Coco Chanel » (1883–1971).
 
« L'impuissance. Un défaut d'allumage joint à une panne des sens. » ■ Guy Brouty
 
« Le second degré, ce n'est pas qu'une température. C'est comme le Wi-Fi, certains nazes le captent très mal. »
 
■ Marco Payeur
 
« Le sexe masculin est ce qu'il y a de plus léger au monde, une simple pensée le soulève. »
 
■ Frédéric Dard, San-Antonio

 

« Le sexe est une envie, l'amour un besoin. » ■ Jean de Limi

 

« Selon les Français, il existe trois sexes : les hommes, les femmes et les membres du clergé. »
 
Sydney Smith

 

« Le sexe est le prix que les femmes paient pour se marier. Le mariage est le prix que les hommes paient pour avoir du sexe. »
 
Allan Pease
 
« Le sexe est une drogue. J'ai mes périodes de shoot et d'abstinence. » ■ Denis Robert

 

« Il n'y a qu'une seule réussite : arriver à vivre sa vie comme on l'entend. » ■ Christopher Morley

 

« L'espérance est une joie qui ne s'use pas. » ■ Marcel Aymé ; Uranus (1948)
 
« Il y a plus de volonté qu’on ne croit dans le bonheur. »

■ ALAIN, de son vrai nom Émile-Auguste Chartier [1868 - 1951]
 
« Il n'y a rien de plus noble pour une société que l'ambition d'accéder à la connaissance. »

Jean-François Clervoy
 
« Je préfère courir le risque de dire une bêtise que de courir le risque de la langue de bois. »
 
■ Albert Decourtray
 
« Marche droit, la vie est un isthme. » ■ Maximes de la Grèce antique (1855)
 

« Tous ceux qui veulent faire triompher une vérité avant son heure, risquent de finir hérétiques. »

 

▶ Teilhard de Chardin (Genèse d’une pensée.)

 
« Les crevards sont juste des putains d'opportunistes, de sordides arrivistes poussés par l'appât du gain / En général ils s'emploient bien avec les mots "porc" et "fumiste" » —
 
■ Énigmo
 
« Sans la médisance combien de personnes n'auraient rien à dire ! » —
 
■ Jean Baptiste Blanchard ; Les maximes de l'honnête homme (1772)
 
 La médisance naît souvent de la méchanceté, mais plus souvent encore du vide de l'esprit.

Cécile Fée ; Pensées, Paris 1832.
 
 On se rend complice de la médisance en prenant plaisir à l'écouter.
 
Pierre-Claude-Victor Boiste ; Dictionnaire universel (1843)
 
 La médisance est une petitesse dans l'esprit, ou une noirceur dans le cœur.

Charles Pinot Duclos ; Pensées, maximes et anecdotes (1810)
 
« La plus atroce des médisances est celle qui tend à ternir l'innocence. » —
 

■ Maximes et sentences orientales (1784)

 

« N'oubliez jamais que la réussite est la meilleure vengeance contre celles et ceux qui ont été toxiques pour vous. Une personne néfaste, c’est quiconque vous empoisonne la vie, est négatif avec vous, n’est pas heureux de vous voir vous épanouir et réussir, ne veut pas votre bien. Essentiellement, cette personne perverse sabote les efforts que vous faites pour mener une vie heureuse et productive. » —

 

■ Lillian Glass (extrait de son livre Ces gens qui nous empoisonnent l'existence.)

 

« Les rêves permettent de construire le réel. Ils sont la source de notre créativité. L'agitation de la vie quotidienne nous éloigne de ce pouvoir créateur. Les livres nous rappellent l'importance de stimuler notre imaginaire. Les actes de penser et de construire qui s'ensuivent prennent alors tout leur sens. »

« En ces temps de mutation, n'y a-t-il pas dans cette sagesse antique une piste à suivre ? L'homme dominant la nature pourrait-il enfin être en fin de règne, remplacé par des femmes et des hommes qui renaissent au cœur de la nature, parmi elle, avec elle ? Nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir emprunter ce chemin. »

 

■ Sylvie Gendreau

 

« On ne partage pas sa vie avec quelqu'un parce qu'il est gentil, mais parce qu'il vous fait vibrer, rire, parce qu'il vous emporte sans vous retenir, parce qu'il vous manque même quand il est dans la pièce à côté, parce que ses silences vous parlent autant que ses conversations, parce qu'il aime vos défauts autant que vos qualités, parce que lorsque le soir en s'endormant on a peur de la mort, la seule chose qui vous apaise est d'imaginer son regard, la chaleur de ses mains. Voilà pourquoi on construit sa vie avec quelqu'un, et si ce quelqu'un est gentil, alors tant mieux, c'est un plus, mais seulement un plus. »

 

■ Marie Giner

 

« Il ne reste qu'une poignée d'adultes sains, altruistes, dotés de jugeote, pourvus de sentiments humains en ville. Le restant n'est qu'un vil ramas d'opportunistes foutriquets souillés et d'estrasses surfaites à l'affût. »

 

■ Thierry de Camargue

 

« L'humanoïde citadin vit comme un zombie pétrifié, une poule mouillée ; aujourd'hui, le numérique à tout crin a remplacé le réel, c'est un leurre qui fabrique l'illusion, et engendre l'inévitable frustration, ça convient aux indécrottables misanthropes contrarié(e)s et autres refoulé(e)s, flippé(e)s de la vie en mode psychotage : les légions de névropathes attardés virtuels qu'on retrouve entrain de s'agiter stérilement sur fuckbook. »
 
■ L'ÉLECTRON LIBRE
 
« Sa bonne humeur est contagieuse. Humour décoiffant, ardeur badine au coin du feu, musique bucolique et chlorophylle en intraveineuse, voilà sa marque de fabrique. Ce saltimbanque du glossaire égrillard à la bonne franquette, prince de l'insolite et intarissable conteur, sait s'affranchir de toute entrave, comme le démontre sa bonhomie coutumière. Tradition gauloise oblige, il ne vante d'ailleurs pas que les vertus de la galipette, mais celle de la picole, du pochetronage patenté et de l'art du coude en pente élevé au niveau d'un bas-relief. Des élégies bachiques que la morale frileuse des garde-chiourmes de la Sacem réprouva en son temps.
Évidemment, les fonctionnaires du politiquement correct pourront trouver un peu daté, ou à tout le moins furieusement désuet le style du sieur. Une liberté d'allure qui n'a rien à voir avec la vulgarité inhérente à certains ladres contemporains qui se voudraient ses héritiers, par exemple les pathétiques gugusseries de Patrick Sébastien et son quarteron d'acolytes alcoolisés ou le redoutable fervent catholique Bigard, parangon clinquant de la bêtise impunie. Ses mots truculents font du yo-yo et jouent à la marelle : le ménestrel fantaisiste lègue à la postérité ses fiers et espiègles refrains et des fous rires mémorables. Vivant isolé du vacarme urbain, l'électron libre poursuit sa carrière en marge d'un show business pour lequel il n'a jamais éprouvé la moindre sympathie. De ce relatif effacement, il se satisfait honnêtement, sans amertume.
 
"C'est bien ainsi", dit-il toujours en substance, considérant à juste titre que la vraie vie se joue ailleurs. Avec des ritournelles de camps aérés, il met du poivre sur les mots et assaisonne la rengaine. Malicieux, épatant, incorrigible devant la grâce d'une gorge naissante. Une petite vignette de félicité campagnarde. Un temps aujourd'hui révolu de douceur et de contemplation béate, allongé à l'envers sous les feuilles. »
 
■ Patrice Delbourg
 
« C'est instinctif, nous recherchons l'approbation. Mais il faut vous assurer que vos convictions sortent de ce qu'il y a de plus personnel en vous, même si les moutons bêlent et se choquent, même si on vous dit que vous faites fausse route, que c'est mal. »
 
■ John Keating (Le cercle des poètes disparus)
 
« Aujourd’hui, le tsunami "terroriste" nous permet de toucher du doigt jusqu'où peut rebuter la laideur décidée au cours des dernières semaines ; figurant parmi la longue liste des symptômes ou manifestations déviantes de la misanthropie, entendue ici comme haine de l’homme qui est différent de soi. Parmi les autres manifestations de cette maladie honteuse de notre espèce figure l’intolérance religieuse, la misogynie, la misandrie malsaine, l'alcoolisme, l'addiction à la came et toutes les autres formes de coterie. Il ne trouvait pas sa place dans ce monde ; il n'était qu'une horrible tache à la surface de celui-ci. Il n'était qu'un zombie complexé sans amis, sans femme, sans foyer, inapte à regarder les autres hommes en face, et par conséquent réduit à ne frayer qu'avec la lie de la société.
 
Le manque d'estime de soi entraîne un mal-être émotionnel qui renvoie une image de soi déformée par rapport à la réalité. L'homme souffrant se laisse engouffrer dans la mort. Le souffrant vit une confusion dans l'ordre de la moralité
 
La misanthropie est une dérive jusqu'au-boutiste, le dernier stade du tricard, un sale vice qui condamne irrémédiablement le pauvre hère incapable de s'entourer de belles âmes à ruminer. Il était rempli d'amertume, de désespoir, développant un cynisme cinglant et d'une haine cuisante pour le monde lumineux qui l'entourait. Avouer sa propre folie, la mettre plus en relief serait s'avouer sa faiblesse et l'infondé de ses choix calamiteux.
 
Dépression, nihilisme et misanthropie sont, chez le surdoué, inéluctables.
 
Un misanthrope, c'est un ex humaniste qui a ouvert les yeux et qui s'est rendu compte que l'homme basique incarne le mal suite à de fortes désillusions sur la vie. Il souffre en fait d'une affection nerveuse proche de la neurasthénie, en alternant des grands moments de dépression avec des crises d'euphorie : il ne veut plus voir personne, il se replie sur lui-même comme une piade dans sa coquille.
Donc oui, c'est visionnaire mais salutaire non ! je ne pense pas.
 
La misanthropie est une affection de type paranoïaque à faille narcissique que les humains, que nous sommes, portent, tous, à des degrés divers. Dieu merci, la plupart de temps, la plupart d’entre nous éprouvent simplement un malaise quand nous nous retrouvons devant une personne dont nous ne partageons pas un ou plusieurs caractéristiques physiques, sociales, intellectuelles, comportementales ou autres. Hélas, certains extrémistes détraqués, talibans de la pensée unique bouffis d'ego, sont tellement allergiques à ces différences qu’ils en arrivent à concevoir et à mettre en œuvre des programmes efficaces de génocide.
 
Nous réalisons vite que les imposteurs en question ne sont pas un brin francs du collier et qu'ils tentent de nous doubler en manipulant de l'air comprimé imprégné de salive, à la tchatche.
 
La misanthropie est une maladie sévère. Car elle nie deux évidences, à savoir que : il n’y a pas deux humains que ne sépare aucun point de différence. Chaque être est unique.
 
Mais quelque longue que soit la nuit, le jour finit toujours par se lever. Et le cycle de l'amour recommencera. » —
 
■ Rea Wilmshurst
 

« La langue est un trésor déposé par la pratique de la parole dans les sujets appartenant à une même communauté. »

 

■ Ferdinand de Saussure, linguiste suisse (1857–1913)

 « En te levant le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux. » « Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l'être mais aussi la sagesse de distinguer l'un de l'autre. »

« Creuse au-dedans de toi. Au-dedans de toi est la source du bien, et une source qui peut toujours jaillir, si tu creuses toujours. »

« Voici la morale parfaite : vivre chaque jour comme si c’était le dernier ; ne pas s’agiter, ne pas sommeiller, ne pas faire semblant. »

« Sois la falaise sur laquelle les vagues viennent continuellement se briser, mais qui reste debout et qui calme la furie des eaux environnantes. »

« Il ne faut pas s’irriter contre les choses : car elles n’en ont nul souci. »

 

■ Marc Aurèle (Empereur romain païen, philosophe stoïcien)

 

« Le plus libre de tous les hommes est celui qui peut être libre dans l'esclavage même. »
 
■ FÉNELON (1651–1715).
 

« L'homme qui a le plus vécu n'est pas celui qui a compté le plus d'années, mais celui qui a le plus senti la vie. »

 

■ Jean-Jacques ROUSSEAU (1712 – 1778)

 

« L'art est le plus sûr moyen de se soustraire aux exigences du monde, et cependant il n'y a pas de liaisons plus sûres que celles dont l'art est le principe. »

« C'est ainsi que l'art de lire dans l'avenir a du rapport avec la nature humaine. Pour l'observateur éclairé, ils sont tous deux toujours d'accord. Cette harmonie échappe à l'esprit borné. »

« Au commencement était l'action. »

 

■ Johann Wolfgang von Gœthe  (1749–1842)

 

Il y a tellement plus à apprécier quand vous exprimez votre côté primesautier. Libérez votre généreuse créativité, soyez spontané(e) !

 

■ SENSEO

 

« Le vrai gourmet est celui qui se délecte d'une tartine de beurre comme d’un homard grillé, si le beurre est fin et le pain bien pétri. »

Colette

 
« Nos vies sont souvent centrées sur le profit, qui provoque alternativement l'avarice et le détachement envers l'humain.
Ironiquement, cette poursuite qui nous fait croire que nous serons plus heureux, riches, connus, nantis, nous rend malheureux, seul et nous aliène. »
 
■ Steve DeMasco, maître kung-fu

 

« Happyculteur : personne qui fait son miel des petits bonheurs de l'existence. »

 

▶ Alain Crehange

 

« Deviens qui tu es, quand tu l'auras appris. »

— Pythiques, II


« Par l'héroïsme héréditaire, un homme est grandement puissant. Mais celui qui se contente de ce qu'on lui a enseigné, est comme un homme marchant dans l'obscurité. Son intelligence hésite ; jamais il n'avance d'un pas sûr et la carence de son esprit tente la gloire par tous les moyens. »

Pindare, Néméennes, III

 

« Un esprit sain dans un corps sain ».

Cette fameuse assertion, devenue culte tire sa source de la Dixième des seize Satires du poète satirique Italien ■ Juvénal.

 

« Au galop ! Jouir, vivre ! Nous sommes mortels ! »

▶ Isabelle Sorente

 

« Se rappeler qu'un tableau, avant d'être un cheval de bataille, une femme nue ou une quelconque anecdote, est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées. »

■ Maurice DENIS (1870-1943)

 

 

« Évoquer la nature sauvage de la femme, c'est faire référence à cette force instinctive qui se manifeste dans un élan spontané au service de la vie. Une force souple, adaptable, capable de la protéger et de lui permettre de faire face aux situations plutôt que de les subir. Une ressource primordiale de l'essence du féminin que beaucoup d'entre nous ont laissé en jachère, enfouie sous de nombreux conditionnements sociétaux.

Qu'en est-il aujourd'hui de votre féminin sauvage ? Quelle est votre relation avec lui ? Danser avec sa louve, méditer, faire respecter son territoire, retrouver son animalité, révéler ses dons, réveiller son potentiel, dépasser ses peurs et répondre à l'appel du sauvage en soi, il faut le vouloir, se magner, mettre en application la méthode Coué... autant de pratiques ritualisées basées sur des principes d'art-thérapie et chamaniques à explorer, en solo ou en groupe, chez soi ou en pleine nature. Pour redevenir inspirantes, épanouies, magnétiques, pour libérer notre nature sauvage, et renouer avec le véritable potentiel de l'éveil féminin, il n'y a pas de secret... »

 

▶ Isabelle GUEUDRÉ, coach certifiée en art-thérapie et en psychosynthèse.

 

« Il ne s’agit pas là d’une quête d’une stimulation de l'appareil génital, ressassée dans la littérature pornographique comme bornée aux facultés inférieures. Tout nous montre que l’érotisme est un ferment de l'onirique, en pointant la quête amoureuse qui sous-tend le lyrisme effréné du poète, et l’importance du non-dit au cœur des mystérieuses arcanes de l’imagination, composante essentielle d’un érotisme suranné qui, par là, dépasse les sens et devient source d’émerveillement, de jouissance et de poésie. »

Ivanne Rialland

 

« Jamais l’art, dans toutes ses formes les plus élevées et les plus éclatantes, jamais le culte du beau n’a atteint une plus haute perfection humaine que chez les Grecs. »
 
■ Félix Antoine Philibert Dupanloup (1802 – 1878)

 

« L’art ne reproduit pas le visible, il rend visible » ■ Paul Klee

 

« C'est en soi qu'il faut cultiver la flamme qui réchauffe. Stimulez votre énergie et détachez-vous du matériel, des apparences et des émotions en pratiquant sans restriction, libre et nue. »

 

■ Alexandra David-Néel

 

« Grand est celui qui n'a pas perdu son cœur d'enfant. » 

 

■ Virgile ~ Poète lyrique et écrivain latin sous l'Antiquité

 

« Et quibus ipsa modis tractetur blanda Voluptas. »

Lucrèce, poète Grec de l'Antiquité.

 

« Est vrai ce qui se manifeste aux sens. »

 

▶ Ludwig Andreas Feuerbach (1804–1872)

 

« Celui qui veut être un homme doit être anticonformiste. »

■ Henry David Thoreau, philosophe, naturaliste et poète américain (1817 – 1862)

 

« Le cœur à vingt ans se pose où l'œil se pose. »

 

▶ Georges Brassens (1921–1981)

 

« Il n'y a pas de vérités moyennes. »

« Tout est grâce. »

 

Georges BERNANOS

 

« Jouissons du peu de moments qui nous restent, buvons, chantons, aimons qui nous aime ; que les jeux et les ris suivent nos pas, que toutes les voluptés viennent tour à tour tantôt amuser, tantôt enchanter nos âmes, et quelque courte que soit la vie, nous aurons vécu. »

 

■ Julien Offray de La Mettrie (1709–1751)


« Associez-vous à ceux qui jouissent de la vie, et qui ont la joie dans les yeux. »

« Soyez fous, mais comportez-vous comme des gens normaux. Courez le risque d'être différents, mais apprenez à le faire sans attirer l'attention. Et laissez se manifester votre Moi véritable. »

■ Paulo Coelho ; Manuel du guerrier de la lumière (1997)

 

« L'Érotisme survit à tout. » ■ Paul Bourget (1852 - 1935)

 

« Que ça rate, que ça réussisse, après tout c’est secondaire. »
 
■ Alberto Giacometti

 

« Chacun dispose de son propre labyrinthe acoustique de fantasmes et de son éventail stimulant qui suscitent cette affection des sens. L’ouïe, comme les autres sens, est une des sources du ravissement érotique. »

 

Franck Thoraval

 

« Penser est difficile, c'est pourquoi la plupart se font juges. »

« On ne peut voir la lumière sans l'ombre,
On ne peut percevoir le silence sans le bruit.
On ne peut atteindre la sagesse sans la folie ! »

« Ce n'est pas en regardant la lumière qu'on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. »

  Ce qu'on ne veut pas savoir de soi-même finit par arriver de l'extérieur comme un destin. "

« Il est assez stérile d'étiqueter les gens et de les presser dans des catégories. »

« Il est bien difficile d'être simple. »

« Nous sommes, dans ce que notre vie a de plus privé et de plus subjectif, non seulement les victimes, mais aussi les artisans de notre temps. Notre temps - c'est nous ! »

« L'homme mérite qu'il se soucie de lui-même car il porte dans son âme les germes de son devenir. »

« Qui regarde dehors rêve. Qui regarde à l'intérieur se réveille. »

« Sans émotions, il est impossible de transformer les ténèbres en lumière et l'apathie en mouvement. »
« Rien n'influence plus un individu que son environnement psychologique et particulièrement, dans le cas des enfants, la vie que leurs parents auraient souhaitée avoir. »


■ Carl Gustav Jung (1875 - 1961)

 

« Un esprit est comme un parachute. Il ne fonctionne pas si il n’est pas ouvert. »

 

■ Frank Zappa (1821 – 1867).


« La plus grande manière de vivre avec honneur dans ce monde consiste à être ce que nous prétendons être. »

« C'est de l'âme qu'il faut avoir souci et que c'est là le but qu'il faut viser. » 

 

■ SOCRATE

« La vie heureuse, c'est donc celle qui est en accord avec sa propre nature. »

« La religion est considérée par les gens ordinaires comme vraie, par les sages comme fausse, et par les dirigeants comme utile. »

“ L'âme, ce par quoi nous échappons à toutes les définitions. ”

« La mort est quelquefois un châtiment ; souvent c'est un don ; pour plus d'un, c'est une grâce. »

■ SÉNÈQUE

 

« Un vocabulaire limité est mauvais signe, c'est le moins que l'on puisse dire. Il nous démontre que l'interlocuteur cossard n'a fourni aucun effort pour sortir du lot, acquérir un savoir et s'élever par les ressorts de l'instruction. — »

 

■ Robin de Loxley

 

« La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne. »

 

■ Proverbe chinois

 

« Quand on veut, on peut. »
« Ténacité et Persévérance sont filles de Réussite. »
 
■ Proverbes français ; Adages français - XVIe siècle.
 
La ténacité est le ciment armé de l'effort.
 
■ Proverbe de Gomer Castaing ~ Méditations et pensées de guerre (1920)  
 

« L'homme ne peut rester lui-même qu'en travaillant sans cesse à s'élever au-dessus de lui-même. »

 

■ Jules Lachelier

 

« Pour s'élever, l'homme doit s'avouer totalement à lui-même. » ■ Daniel Desbiens

   

« De l'érotisme à la poésie, la différence est-elle décidément saisissable ? »

 

▶ Georges Bataille (1897 – 1962)

 

« Fais ce que voudras »

« Mieulx est de ris que de larmes escripre, Pour ce que rire est le propre de l'homme. »

« Ci n'entrez pas, hypocrites, bigots,
Vieux matagots, souffreteux bien enflés,
Torcols, idiots plus que n'étaient les Goths
Ou les Ostrogoths, précurseurs des magots,
Porteurs de haires, cagots, cafards empantouflés.
Gueux emmitouflés, frappards écorniflés,
Bafoués, enflés, qui allumez les fureurs ;
Filez ailleurs vendre vos erreurs.

Ci n'entrez pas, juristes mâchefoins,
Clercs, basochiens, qui le peuple mangez,
Juges d'officialité, scribes et pharisiens,
Juges anciens qui les bons paroissiens
Ainsi que des chiens jetez au charnier ;
Votre salaire est au gibet.
Allez-y braire ; ici on ne fait nul excès
Qui puisse en vos cours susciter un procès. »

 

■ François Rabelais (1483 – 1553). En s'appuyant sur le rire, en réinventant le style burlesque, l'inventeur du roman moderne publie son œuvre révolutionnaire, Gargantua, en 1534, mais sous la signature d'« Alcofribas Nasier ».

 

« Puritanisme à qui l'histoire de l'humanité doit ses batailles les plus sanglantes et ses révolutions les plus terribles. »

■ Béla Hamvas (1897–1968)
One of the greatest metaphysical thinkers of the 20th century,
He was an outstanding Hungarian philosopher, writer and social critic whose work integrated Eastern and Western philosophical.

 

« L'érotisme sans métaphysique est simple vulgarité plus ou moins élégante, non plus un art, non plus une queste. »

« Toute sexualité est sacrée, par Nature, par Essence, en elle-même, puisque la danse de la vie dans sa forme la plus aboutie, la plus radicale, la plus transcendante. Face aux blessures de l'histoire, l'agile Éros fait de la quête des plaisirs charnels instantanés une source d'apaisement, d'oubli.
L'être humain n'a perdu la conscience de cet état du sacré dans l'acte physique qu'en raison des commentaires inutiles et des dysfonctionnements multiples d'un mental en perdition. Il s'est ainsi interdit cet accès direct, flagrant, à sa propre divinité, à sa propre immortalité qui ne saurait être confondue avec un hypothétique prolongement de la personne à travers sa progéniture. »

 

■ Rémy BOYER

 

« La grâce, plus belle encor que la beauté. »

■ Jean de La Fontaine (1621 – 1695 )

 

« La laideur est un mécompte de la nature, mais la femme qui en est affligée en rend responsable chacun de ceux qui la remarquent. »

 

■ Émilie Le Tonnelier de Breteuil, marquise du Châtelet (1706–1749)

 

« Tous les mots sont les mêmes quand on s'aime. La sensualité, allégée de ses vêpres, s'interpose à chaque fois qu'un égrégore létal restreint le goût de vivre en bonne intelligence avec Dame Nature. Ni trop sage, ni en nage, juste ce qu'il faut, elle donne le bon tempo sans retenue. »

 

■ NEVERMORE

 

« La beauté n'est que la promesse du bonheur. »

Henri Beyle, plus connu sous le pseudonyme de STENDHAL (1748 – 1842)

 

« N'oubliez pas que la pudeur sert de bouclier contre les regards impurs. Et quand l'impur n'est plus, que devient la pudeur sinon une souillure de l'esprit ? »

 

■ Gibran Khalil Gibran (1883–1931)

 

« Toute naïveté court le risque d'un ridicule, et n'en mérite aucun, car il y a, dans toute naïveté, confiance sans réflexion et témoignage d'innocence. La crédulité est l'indice d'un bon naturel. (...). La bonhomie est une perfection. Elle consiste à ne refuser son intérêt à rien de ce qui occupe l'attention, et son attention à rien de ce qui est innocent. C'est une enfance agrandie, conservée, affermie et développée. Elle sert de bonheur à l'homme ordinaire. »

 

■ Joseph Joubert, Pensées, 1824

 

« D'où vient donc ce manque absolu de bonhomie ? De l'immense préoccupation de soi-même. Vivent les gens simples, bons, aimables, qui ont moins d'esprit, mais qui savent un peu s'oublier ! Leur grâce et leur douceur les mettent bien au-dessus de tous les hérissons de l'amour-propre. (...) Pour être bon il faut être fort, c'est la faiblesse qui se venge par la cruauté. »

 

■ Henri Frédéric Amiel (1821–1881)

 

" Muse, ça use. On a tous l’impression de parler dans le vide. Même quand on s’explique, on n’est pas écoutés. Alors il faut toujours expliquer que non, se mettre à poil n’est pas gênant. Que la nudité du modèle n’est pas une nudité ordinaire, que chacun garde à sa façon une intimité – Quant à la pudeur, elle revient à la seconde où le cours est fini. La sellette est un carrosse qui se transforme en citrouille sitôt passé le temps de tenir la pose. Ne pas bouger, rester dignes en tenue d’Eve et d’Adam, donc, pendant les deux séances de trois quarts d’heure en usage chez les sculpteurs. Faire corps avec le bruit de terre malaxée et le souffle des radiateurs, faire ainsi vœu d’immobilité, d’un atelier à un cours de dessin ou une école de restauration d’œuvres d’art, ces endroits rares, où tu peux avoir du silence pendant trois heures. Plus que jamais, à l’heure des performances et du dessin assisté par ordinateur, le métier est à part, désuet et poétique. Confrontés à la précarité, au flou juridique et aux plaisanteries salaces, les modèles se battent pour obtenir un statut.

Mais ce qui passe mal, c’est surtout cette sorte de mépris des édiles à leur égard.

Quand on parle de nos problèmes musculo-squelettiques et carpiens, on nous regarde avec des yeux ronds, on entend des allusions douteuses sur la nudité et on s’étonne que notre présence fasse partie de l’enseignement. La vérité, c’est qu’ils ne comprennent rien à ce qu’on fait. Nous ne sommes pas des natures mortes ! Que seraient le Louvre et les croquis miraculeux de Léonard de Vinci sans leur humble participation ? Le modèle trouve ses poses. Il en est le concepteur, et l’exécutant. Un peintre ou un sculpteur observant une nouvelle recrue sait immédiatement si c’est un bon modèle. Il y a une présence, un don de soi, quelque chose qui passe. Tout est dans l’art et la fierté de communiquer une ardeur. Tout se met en scène, s’offre, se dessine. L’érection occasionnelle d’un modèle masculin est accueillie comme l’occasion de nouveaux croquis.
Il y a une discrimination entre notre métier et celui de modèle mannequin. Le mannequin a une convention collective. Pour nous c’est le vide absolu.

Il faut se bagarrer pour le faire reconnaître. On aura toujours besoin de modèles vivants touchés par la grâce des tableaux. Je donne mon corps à l’art et à l’étude de l’art. Voilà qui est dit. "

 

Maria Clark, performeuse et modèle

 

« L’érotisme relève de l’esprit, et ne se dissocie pas de l’amour : il est cet amour à la fois pur et licencieux dans l’absolu ».

« Éros, c'est la vie / Et rosse est la vie.

« L’érotique est une science individuelle. »

 

■ Robert Desnos

 

« La grande affaire, l'unique affaire, c'est se laisser pousser par la vie. »

 

■ François Roustang, hypnothérapeute

 

« Ce triangle inversé, qui depuis l'Antiquité, et dans la plupart des civilisations représente l'essence de la femme, reste la marque du mystère féminin. Tant que les poètes l'aimeront et les hommes aussi... »

 

■ Alina Reyes

 

« Les gens veulent qu’on leur raconte tout, mais c’est avec l’échange qu’on avance. J’ai hésité à enlever toute information de la couverture, pour donner envie d'en savoir plus, et susciter la curiosité. »

 

■ René Burri, photographe, Grand voyageur de l’agence Magnum.

 

« L'obscénité existe seulement dans les cerveaux de ceux qui la découvrent et qui en accusent les autres. »
 
▶ Henri Miller, Extrait d'un article dans la revue Fontaine paru en octobre 1946.
 
« Tous les voluptueux sont pudiques, même s'ils se livrent clandestinement aux pires impudicités. L'obscénité est toujours dans la tête de ceux qui les jugent. C'est une question de représentation intime. »
 
■ Pierre Louÿs (1870 – 1925)

 

" Le modèle doit vous marquer, éveiller en vous une émotion qu’à votre tour vous cherchez à exprimer. "

 

Henri Matisse (1869–1954)

 

« Ma définition de l'art ? C'est la peur du vide, c'est ce qui est inutile mais qui rend la vie meilleure. »

 

■ L'Archange autodidacte

 

« Le goût est la faculté de juger du beau. Il est universel. »

 

■ Emmanuel Kant (1724–1804)

 

« La terre est remplie de signes qu'il faut apprendre à écouter. Le premier de ces signes c'est notre propre corps qui reproduit le corps même du monde et c'est de lui que viennent d'abord les révélations de l'Être. »
 
■ Claude Mettra (1922 – 2005)

 

« En déficit d'ocytocine, le puritanisme, c'est le parent pauvre de tous les coincé(e)s du cul raides comme la justice, l'Etat bourgeois a le monopole de la violence et la police de la braguette représente un de ses bras armés chargés d'assurer une répression permanente, une sorte d'exutoire du trop-plein de frustrations larvées, contrebalancées par une surenchère d'agressivité à géométrie variable. Il n'est pas sain que l'homme soit chaste. »

 

■ Guillaume Tell

 

« Celui qui est ne se préoccupe pas de paraître. » ■ Edwige Thibaut

 

« La morale est la faiblesse de la cervelle. » ■ Antoine de Rivarol (1753–1801)

 

« Vous n'avez pas peur de la mort, vous avez peur de la Vie. »

« Votre demande essentielle, le bonheur, est la plus légitime qui soit, n'y voyez rien d'égoïste. Seul un homme heureux a une chance de rendre les autres heureux autour de lui. »

 

■ Arnaud Desjardins
(Extrait de l'audace de vivre)

 

« Tremblez devant l'esclave quand il brise sa chaîne, - Ne tremblez point devant l'homme libre. »

 

■ Friedrich von Schiller (1759 – 1805)

 

« Le monothéisme judéo-chrétien est le stalinisme de l'Antiquité. »

 

■ Émil Michel Cioran (1911 – 1995)

 

« La vie et l'amour sont la même chose. Quand il n'y a pas d'amour, il n'y a pas de vie. »

 

■ Roch Carrier

 

« Beaucoup trop de gens se dissimulent derrière leur regard au lieu d'en faire leur lumière extérieure. »

 

■ Frédéric Charles Antoine Dard (1921–2000)

 

« Une foule innombrable de turlupins, de niais béquillards, de gueux de nuit accourus sur la grève marmonnaient des sermons à la gloire du Dieu fantasmé et ambigu devant la spirale de flammes médusée. Tu peux devenir accro à l'eau comme tu peux être accro à une drogue ou à l'alcool. C'est pas un piège à cons la religion ? Elle ne porte ses fruits que sur les impulsions négatives. Ce n'est qu'un gros leurre pour induire le spectateur taraudé depuis des millénaires par un cercueil en erreur - comme les margoulins marchands de sommeil ont fait durant des siècles obscurs, même Desmond s'est fait avoir par la malhonnêteté de croyants prosélytes persuasifs. Ce je trouve déplorable vis-à-vis des barjots missionnaires laveurs de cerveaux c'est que, en plus d'être totalement inutiles, ils ne sont pas crédibles/logiques même pour un cathonique patenté. Les gens réfléchis ne mangent pas de ce pain-là et s'en portent très bien. »

 

■ MÉDUSA

 

« Les femmes entre elles ne rougissent pas de l'opprobre dont elles se chargent ; leur motif de honte est d'avoir été vaincues en coups ou en injures. Plus une femme a la voix vigoureuse, et plus celle avec qui elle se querelle a de tort . »

 

■ MARIVAUX (1688–1763)

 

« L’imagination porte bien plus loin que la vue » ■ Baltasar Gracián y Morales

 

« Ne méprisez la sensibilité de personne. La sensibilité de chacun, c'est son génie. »
« L’imagination est la reine du vrai, et le possible est une des provinces du vrai. »
« Ô vous, soyez témoins que j’ai fait mon devoir
Comme un parfait chimiste et comme une âme sainte.
Car j’ai de chaque chose extrait la quintessence,
Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or. »
 
■ Charles Baudelaire (1821–1867)
 

« La passivité ou la contemplation ne suffisent pas, elles ne mènent nulle part. Pour jouir du réel, il faut l’affronter dans l’action. »

 

■ Ella Maillart, Bribes de sagesse.

 

« Le confort et la frilosité sont les prémices d'une mort certaine. » ■ Fanny Ardant

 

« Voyager ne sert pas beaucoup à comprendre, mais à réactiver l’usage des yeux »

 

■ Italo Calvino

 

« Ce qui colore vivement tel aspect du monde à mon regard, c'est sa nouveauté. La curiosité, l'attrait pour les découvertes et le renouvellement, la détestation des habitudes, voilà les meilleurs voies à emprunter pour que le monde reste pour nous vivement coloré.

     Je me demande même si ce n'est pas là le grand mérite des velléitaires, injustement brocardés : Abandonner ce qui menace de s'affadir dans l'habituation.

     Les velléitaires, nos grands poèthes méconnus ! »

 

                                                                                                           ■ Franck Reinnaz

 

« Qui s’excuse, s’accuse. » ■ Proverbe latin médiéval

 
« Il n’est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage. »
 
■ Périclès
 

« Le véritable accomplissement dans la vie est l'art d'être un guerrier, ce qui est la seule façon de contrebalancer la terreur d'être un homme par le merveilleux d'être un homme. »

 

■ Carlos Castaneda (1925 – 1998)

 

« L'immensité est en nous. Elle est attachée à une sorte d'expansion d'être que la vie réfrène, que la prudence arrête mais qui reprend dans la solitude. »

 

■ Gaston Bachelard (1884 – 1962)


« On n’a pas l’âge de ses artères mais de ses désirs. »

■ La sexologue Manon Bonnet

 

Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire. Proverbe Chinois

 

À la Renaissance, sous l'impulsion de plusieurs créateurs bouillonnants d'inventivité, le Nu devient l'un des courants artistiques les plus accomplis.

 

« Gardons la tête haute ! Soyons fiers d'afficher nos idées, nos engagements et nos convictions. Ne laissons pas bêtise, obscurantisme religieux et méchanceté triompher. Tant pis pour cette frange fataliste de la société cague-braille qui régresse lamentablement, mais va se retrouver le bec dans l'eau.

La France cul-pincée file du mauvais coton. Qu'on ne compte pas sur le contingent des esprits libres, maîtres artificiers bien dans leur peau pour se parer d'un sparadrap sur la bouche, se faire anal-yser et se coucher benoîtement derrière le pavillon de la pruderie politiquement correcte. La fausseté, ce n'est pas dans nos cordes. Qu'on se le dise... On ne lâchera jamais rien ! »

 

■ SPARTACUS

 

« Le désir et le soin de plaire sont le propre des âmes belles et tendres en qui le besoin d'être aimées naquit un jour du besoin d'aimer. »

 

■ Auguste Guyard ; Quintessences (1847)

 

« Soyez amoureux. Crevez-vous à écrire. Contemplez le monde. Écoutez de la musique et regardez la peinture. Ne perdez pas votre temps. Lisez sans cesse. Ne cherchez pas à vous expliquer. Écoutez votre bon plaisir. Taisez-vous. »

 

■ Ernest Miller Hemingway (1899 – 1961)

 

« Les gens n'ont de charme que par leur folie. Voilà ce qui est difficile à comprendre. Le vrai charme des gens c'est le côté où ils perdent un peu les pédales, c'est le côté où ils ne savent plus très bien où ils en sont. Ça ne veut pas dire qu'ils s'écroulent, au contraire, ce sont des gens qui ne s'écroulent pas. Mais, si tu ne saisis pas la petite racine ou le petit grain de folie chez quelqu'un, tu peux pas l'aimer. On est tous un peu déments, et j'ai peur, ou je suis bien content, que le point de démence de quelqu'un, ce soit la source même de son charme. »

 

■ Gilles Deleuze

 

« Le plus terrible, ce n'est pas le chagrin, c'est la diligence qu'on met à l'oublier. » ■ François Moreau

 

« La peur collective favorise l'instinct grégaire et la cruauté envers ceux qui n'appartiennent pas au troupeau. »

« Tout le problème de ce monde, c'est que les idiots et les fanatiques sont toujours si sûrs d'eux, tandis que les sages, les gens sensés et intelligents sont tellement pleins de doutes. »

« Il vaut mieux viser la perfection et la manquer que viser l'imperfection et l'atteindre. »

« L'église primitive charlatane, il y a deux mille ans, a attribué une impureté originelle à l'acte sexuel. Mais le fait qu'une opinion est restée en l'honneur pendant plusieurs siècles ne prouve nullement qu'elle ne soit pas complètement absurde. À la vérité, la bêtise et la lâcheté de l'immense majorité des hommes nous incline plutôt à penser qu'une opinion répandue a plus de chances que les autres d'être idiote. »
« J'ai été élevé selon le principe que l'oisiveté est mère de tous vices. Comme j'étais un enfant nigaud pétri de vertu, je croyais tout ce qu'on me disait, et je me suis ainsi doté d'une conscience qui m'a contraint à peiner au travail toute ma vie. »

 

■ Bertrand Russell

 

« Je suis responsable de ce que je dis. Tu es entièrement responsable du balai que tu as enfoncé dans le cul. »

TIRE TA CORDE ET VA TE NÉGUER AUX GOUDES !

 

« Le capitalisme n’est qu’un système économique : un modèle de domination comme un autre. Ce qu’il faudrait changer d'office, c’est ce petit instinct de servilité qui règne chez certains hommes. C’est peut-être cruel, mais il y a des personnes larvaires qui sont réfractaires à la liberté. »

 

■ Tollé de Taulard

 

«Pourquoi on couche ? Je vais vous livrer ma nouvelle découverte, abyssale : c’est l’homme qui supplie d’être castré. On attaque injustement les malheureuses femmes en les accusant constamment d’être castratrices, mais, en réalité, c’est l’homme qui l’implore, cette castration. Un monogame, c’est un homme qui dit à une femme : « Tu t’occupes de cette partie-là, parce que moi, elle me dépasse. » Et la femme répond : « Ne t’angoisse pas, je m’occupe de tout. » Cest ça qui fonde le couple conventionnel : l’homme ordinaire demande à la femme qu’elle lui prenne son sexe. La transgression sociale, l’adultère n’est pas si fréquent que vous le pensez ! Mais moi je pense vraiment qu’il n’y a aucune solution dans la monogamie... Sauf à être un grand mystique chrétien, un maître Eckhart ! Quant à la fidélité, alors là je suis assez réactionnaire : je suis mon maître Schopenhauer, qui dit qu’il n’y a pas à comparer la fidélité de l’homme et de la femme. La femme est biologiquement organisée pour la fidélité : c’est assez facile pour elle de trouver le grand homme, -à part quelques nymphos très exacerbées-, parce que c’est naturellement qu’elle est apte à le réinventer, le pauvre bonhomme encagé. Mais l’homme est naturellement fait, lui, pour aller se confirmer qu’il en a une. La libido est un leurre. Il ne faut pas oublier que la sexualité est faite pour fabriquer des enfants. Quand elles te tiennent par là, elles t'amputent et peuvent entrer plus loin. Surtout maintenant : le bobo... veut du normal ! À heure fixe, il faut qu’il jouisse. Mais la nature est maligne, énigmatique et elle fait croire que c’est un truc énorme, alors que c’est rarement bouleversant. Ce qui est exceptionnel, ce sont la grâce et les déviations ludiques. Je crois au contraire que, dans une rencontre, ce qui te désarme, te désoriente et t’inquiète, bref, ce que tu ne comprends pas, te met immédiatement en émoi, en situation de désir. Et c’est pour ça que c’est une aberration de l’époque que de mettre le sexe au centre du couple. C’est une aberration de penser qu’un couple, c’est du sexe. Tant qu’il y a de l’incompréhension, il y a beaucoup de sexe, et s’il y a de la vraie compréhension il y a donc une certaine affection, une reconnaissance, et forcément nettement moins de sexe. Peut-être restera-t-il de l’engueulade, comme un transfert de libido... C’est une très belle idée le mouvement straight edge, un pied de nez à l’époque moderne, qui veut nous vendre la libido machinale comme le nec plus ultra, l’endroit sans angoisse, alors que c’est un des endroits les plus complexes. Par exemple, j’ai mis beaucoup de temps à accepter que les femmes jouissent. Je pensais qu’elles simulaient. Qu’elles ne prenaient la libido que dans un programme global. En réalité, la sexualité, le sexe féminin, est infiniment prometteur et fascinant. Je le vis comme un organe extrêmement sensible, beaucoup plus riche que le nôtre, qui est très pauvre !... La malheureuse, l’éternelle turlutte, ce n’est pas possible ! Tandis qu’elles, on sent la qualité de leur organe, on sent que ce fameux bouton de rose vibre très profond à l’intérieur. On dit que le clitoris est un pénis atrophié : peut-être, mais en tout cas elles ont énormément gagné au change ! C’est ça qui est déprimant, cette inégalité dans la jouissance. Il nous reste quoi, à nous, comme satisfaction ? Leur vague encouragement ? Je préfère prendre le parti d’une sexualité pratiquée dans la légèreté, pas trop investie affectivement, mais pas méprisée non plus par la personne. Une perspective peut-être pas nietzschéenne, mais joyeuse, où l’autre ne t’emprisonne pas, une sexualité débarrassée des enjeux souvent déprimants de la psychologie. « La meilleure porte d’entrée, c’est une bonne poignée. »

 

■ Fabrice Luchini

 

« Soudain, il comprit que la joie et la peine sortent du même creuset. Le courage et la peur aussi ne sont qu'une même chose. »

 

■ À l'est d'eden - roman de John Steinbeck publié en 1952. 

 

« J’aime beaucoup les femmes, je ne pourrais pas vivre sans elles. Pour moi, la sensualité de la femme et son corps symbolisent la vie, l’humanité. Ce n’est donc pas un hasard si j’ai choisi une femme comme Druuna pour constituer un contrepouvoir et incarner la résistance face aux machines. Pour moi, seule la femme peut nous sauver de cette situation ! Dans ma série, les hommes ont tendance à être faibles. Par facilité, ils vont d’eux-mêmes vers les machines et se laissent contaminer. Druuna, elle, ne se laisse pas corrompre par le chaos général.
Ce que j’aime c’est raconter une histoire, je ne veux pas rester cantonné à un genre. Donc, dans mes albums, il peut y avoir de l’érotisme, de la science-fiction… qu’importe, je veux être libre d’exprimer mes rêves ou de raconter ce que je veux. Quand je raconte une histoire, je pense plus au cinéma que, par exemple, à la littérature. Quand je dessine, je veux représenter quelque chose que le lecteur pourra considérer comme réel. Je soigne la lumière, les ombres, les visages, les expressions.

Après avoir lu 1984 de George Orwell, j’ai eu envie de raconter dans une BD comment les machines pouvaient prendre plus d’importance, et à terme, avoir trop de pouvoir sur les humains. Je détestais l’idée que l’on perde le contrôle sur nos vies, que nos libertés soient sacrifiées. C’est ce cauchemar, la prise de pouvoir de la technologie, qui a inspiré le début de la série Druuna. À part Orwell, je me suis un peu intéressé à la science-fiction. Mais, pour résumer mes goûts, je préfère Blade Runner à Star Wars, l'opposition de l’humain aux machines. C’est aussi cette lutte que je raconte dans ma série. D’ailleurs, vu le progrès des intelligences artificielles, j’ai de plus en plus peur que quelque chose de purement technologique contamine la nature, la vie, les gens.

Mon style graphique est fait pour que le lecteur se sente le plus proche possible de l’histoire, qu’il s’immerge au maximum. Quelqu’un comme Hugo Pratt laissait parfois le lecteur imaginer les détails, je préfère au contraire être le plus précis possible. C’est pour ça que mon dessin est hyperréaliste, j’essaye de dessiner 100% de ce que j’ai en tête. »

 

■ Paolo Serpieri, créateur de “Druuna” : entretien avec un grand maître italien du dessin érotique -

"Ce n'est pas la nature qui est muette, c'est l'homme qui est sourd." — Terence McKenna (1946–2000)
 
« La femme, c'est la beauté. Beaucoup de tendresse, un peu de faiblesse, la pudeur, la timidité, la fluctuation, l'à-peu-près, je ne sais combien de courbes aimables (dans l'allure et le mouvement, aussi bien que dans les formes), voilà la beauté, la grâce. »
 
■ Jules Michelet (1859)

 

« Inspiration : tout est dans le mot. Tout est source d’inspiration pour un artiste — même ses pires matches Tinder. »
 
■ Tanja M. Laden
 

« Le désir constitue l’essence même – autrement dit l’identité même – de l’homme replacé dans le cadre de la Nature. À l’instar de tout être vivant, l’être humain est doté d’un appétit de vie vorace, c'est-à-dire l'effort par lequel l'homme a tendance à agir et à persévérer dans son existence. Fonda­mentalement, le désir est donc innocent, au-delà de tout jugement ou condamnation. Toutefois, ce qui est nommé « instinct » chez l’animal est désir pour l’homme, car celui-ci en est conscient et le déploie sur un registre plus large que la sommaire reproduction ou la survie : désir de création artistique, amour ou bienveillance envers autrui… En somme, prétendre renoncer au désir reviendrait pour l’homme, non seulement à nier sa propre nature, mais aussi à se priver de l’énergie solaire qui seule peut alimenter sa joie. »

 

■ Baruch Spinoza (1632–1677)

 

La religion : La volonté de dieu , cet asile de l’ignorance

 

« Le croyant habite un monde clos où chaque événement se déchiffre comme une conséquence de la toute-puissante volonté divine. Comment justifier dans ce cas que les malheurs s’abattent indifféremment sur les hommes, bons et mauvais ? Par quel mystère Dieu pourrait-il permettre de telles injustices ?

Les dévots sé débinent éhonteusement et répondent n'importe quoi en invoquant l’impénétrabilité des intentions divines : la créature ne saurait discerner les desseins de son Créateur. Or le grand Libre Penseur Baruch Spinoza récuse cette thèse qu’il assimile à de la niaise superstition, car rien dans le monde n’échappe à une explication rationnelle et tout phénomène peut se comprendre par l'élucidation de ses causes. C’est face à des phénomènes angoissants, comme une épidémie de peste, que la peur, avide d’explication rassurante, accepte toutes les répon­ses et convertit la foi en crédulité. Elle nous porte alors à interpréter la maladie, non comme un processus de contamination biologique, mais comme le signe d’un châtiment céleste. Pourtant, en nous réfugiant dans l’énigmatique volonté divine, nous ne faisons que camoufler notre ignorance crasse. Plus grave, en justifiant ces divagations puériles par la « volonté de Dieu », nous faisons de lui un être capricieux, despotique et contradictoire, ce qui le dessert au lieu de le glorifier !

C’est donc au nom du savoir et de la religion véritables que Spinoza dénonce sans relâche les égarements de l’imagination superstitieuse. Mais cela le conduit à s’attirer inévitablement les foudres des dignitaires religieux censeurs qui « savent bien que détruire l’ignorance, c’est marcher sur leurs plates-bandes mercantiles et détruire l'étonnement imbécile, c’est-à-dire leur unique moyen (…) de sauvegarder leur autorité abusive ».

 

■ Cet article a été écrit par Hymen le 15 septembre 2013

 

IT'S A LONG WAY TO THE TOP (IF YOU WANNA ROCK 'N' ROLL)

 

Black SabbathHeaven And Hell

 
Sing me a song, you're a singer
Do me a wrong, you're a bringer of evil
The devil is never a maker
The less that you give, you're a taker
So it's on and on and on, it's heaven and hell
Oh well

The lover of life's not a sinner
The ending is just a beginner
The closer you get to the meaning
The sooner you'll know that you're dreaming
So it's on and on and on, oh it's on and on and on
It goes on and on and on, Heaven and Hell
I can tell
Fool, fool

Oh uh
Yeah, yeah, yeah

Well if it seems to be real, it's illusion
For every moment of truth, there's confusion in life
Love can be seen as the answer, but nobody bleeds for the dancer
And it's on and on, on and on and on and on and on and on and on

They say that life's a carousel
Spinning fast, you've got to ride it well
The world is full of kings and queens
Who blind your eyes and steal your dreams
It's heaven and hell, oh well

And they'll tell you black is really white
The moon is just the sun at night
And when you walk in golden halls
You get to keep the gold that falls
It's heaven and hell, oh no

Fool, fool
You've got to bleed for the dancer
Fool, fool
Look for the answer
Fool, fool, fool
 
■ Songwriters Lyrics 1979 © Geezer BUTLER, Ronnie James DIO, Tommy IOMMI, Bill WARD
 

« Ne fréquente point les mauvais ; ne t'attache qu'aux bons ; avec eux mange et bois, près d'eux seuls consens à t'asseoir ; cherche à plaire à ceux dont la puissance est grande. »

 

■ Théognis de Mégare, poète gnomique élégiaque grec de l'Antiquité

 
Les gens me saoulent, la plupart d'entre eux sont tellement tordus par des siècles de castration psychique monothéiste que ça en devient carrément gerbant de causer avec de tels padawans. Le machothéisme est une farce aberrante, issue de l'esprit malade des pléthores de fiottes qui en ont épousé les contours par complaisance sociale et atavisme familial. L'homoncule n'existe plus, c'est l'idéologie austère, macabre, cadavérique qui prend la place de son âme blousée jusqu'à l'os. Revenir en arrière lui coûterait trop !
Ça se répercute immanquablement de génération en génération. Je crois avoir autre chose à fiche que m'échiner à tenter de remettre d'aplomb toutes les brebis galeuses perdues à jamais. De toute manière, c'est comme la lessive Daesh : c'est irrécupérable sur toute la ligne ! Moi, je trace toujours mon chemin sans m'apitoyer sur le sort des pleutres décérébrés qui s'arrangent pour ne pas voir que ce sont toujours les mêmes crevures qui sont derrière chaque coup de Trafalgar albophobe : les fella'sionistes !
Les groupes industriels sionistes qui collectionnent les lingots d'or, détiennent l'agroalimentaire, la mafia pharmaceutique, les banques, l'armement etc prennent les gens du peuple pour des cobayes, de misérables chairs à canon à leur insu sont-ils réputés pour leur propension à donner dans la philanthropie bergère ???... Voilà, tout est dit.
 
■ Maître Capello
 
« Lorsqu'un pouvoir civil est en perte de vitesse, sa pseudo-sacralité est démasquée par les klaxons des divertissants fifrelins qui pullulent dans les lupanars merdiacratiques, par l'ironie, en usant d'un langage simplet qui n'est pas innocent : le Président devient "dieu", du temps du Présiflan malfrat inféodé au grand banditisme.
 
Quand le faux sacré du trône artificiel est raillé par les "guignols", c'est que le vrai sacré, qu'on avait cru refoulé, est réellement et bien présent. »
 
■ Le Yéti
 
« L'Art, c'est l'émotion sans le désir. » ■ Muriel Barbery
 

« Il est utile peut-être au fond que les enfants soient malheureux et méconnus de leurs parents! La contradiction leur enseigne l'irrévérence. Et l'irrévérence est la condition du développement de toute intelligence. »

 

■ Jacques Rivière, 1906.

 

« Le pêcheur fait naufrage à cause de la nixe et de ses chants. » ■ Maurice Barrès, Cahiers, 1919

 

« Si vous aimez les sortilèges, venez par un beau clair de lune d’une nuit de mai évoquer la nixe de Vaucluse, et peut-être à votre appel la verrez-vous sortir de cet abîme de cristal qui lui sert de palais. » — (Henri Blaze de Bury, Revue des Deux Mondes, 15 juillet 1874)

 

« Pour les Grecs, le monde et la vie étaient nés dans l’eau. C’était un dieu, Okéanos. Plus tard, on inventa les nixes, les elfes, les ondines, les nymphes. » — (Robert Musil, L’Homme sans qualités, 1930-1932)

 

« Longtemps symbole de la libération de la femme, le bronzage topless n'est plus en vogue sur les plages d'Europe... Si je vous comprends bien, vous aimeriez que le port de la burka soit généralisé et rendu obligatoire. Belle ouverture d'esprit....! Couvrez-vous vite de ridicule ! Du point de vue de la tolérance, il vaudrait mieux vous taire. Sincèrement, vous m'inspirez une très grande pitié. Imbéciles ! Falabraques ! Tartuffes ! La pudeur qui n'empêche pas une bonne partie de ces faux-jetons déviants de se mettre à poil devant une caméra sur ordi...

De toutes les façons, celles qui sont jalouses, ce sont systématiquement des femmes frustrées ou presque plates, voire des énergumène masculins d'une laideur répugnante et barbare. Une femme au corps soigné sait qu'elle ne doit pas abuser du soleil, mais qu'un peu de bronzage ne va pas nuire "avec modération"

Retournez à l'ombre vous terrer dans votre église, votre mosquée, votre synagogue et laissez vivre les gens comme ils le désirent, et non suivant VOS principes infirmes archaïques. Allez en paix.

Pute borgne ! on n'est pas rendu, on est revenu plus d'un demi-siècle en arrière question libération des mœurs pour la condition féminine... Paradoxalement, c'est aujourd'hui qu'il y a le plus de pudibonderie et que l'on voit un accroissement des agressions sexuelles,  de pigeons fardés faire le pied de grue dans des lupanars, des comportements sodomites et des viols... Relation de cause à effet ? »

 

■ Horacius

 

Cadun es couma li sieu acioun lou fan marit couma la rougna, o bouon couma lou pan. (Chacun est comme ses actions le font : mauvais comme la gale ou bon comme le pain)

 

■ Proverbe Niçois

 

« L'art de vivre tient dans l'équilibre délicat entre lâcher prise et s'accrocher à quelque chose. »

 

■ Henry Ellis (1721 – 1806)

 

« L’opium du peuple dans le monde actuel n’est peut-être pas tant la religion que l’ennemi accepté… Un tel monde est à la merci, il faut le savoir, de ceux qui fournissent un semblant d’issue à l’ennui. La vie humaine aspire aux passions et retrouve ses exigences. »

■ Georges Bataille (1897 /1962)

 

« Je ne suis pas ridicule, je ne puis pas l’être car je suis deux choses qui ne le sont jamais : un enfant et un sauvage. J'ai tellement enduré de souffrances pour poursuivre ma voie. Je continue mon chemin et un but. Je suis un grand artiste et je le sais. »

« Je retournerai dans la forêt vivre de calme, d’extase et d’art. »

 

■ Paul Gauguin, personnage mystique visionnaire, nomade hors-normes ultra attachant et avec du caractère, à la poursuite d’un rêve hédoniste (1848–1903). Peintre postimpressionniste, chef de file de L’École de Pont-Aven, Paul Gauguin est considéré comme l’un des peintres français majeurs du XIXème siècle et l’un des précurseurs les plus influents de l’art moderne aux côtés de Cézanne.

 

« Le minéral est beau sans artifice, pour habiller la falaise à la belle étoile. — ». ■ Marianne Thomas

 

« On est plus heureux pour n'obéir à personne que pour commander au monde ».

« Tout est pardonnable, excepté le mensonge, l'infidélité et la trahison. »

« Le mariage entraîne des sujétions, je ne puis déterminer le moment où je serai en état de vaincre cette répugnance. »

« Nous autres, gens du Nord, sommes un peu farouches... »

 

■ La reine Christine de Suède, femme de tête, gouvernante à poigne, passionnée et étonnante (1626 – 1689)

 

« Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie !... Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier ! Qu'avez-vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes donnés la peine de naître, et rien de plus. Du reste, homme assez ordinaire… »
 
■ Monsieur Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais (1732–1799) , écrivain français, poète, philosophe, aventurier et libertin, dramaturge, musicien, homme d'affaires.
 

« Tous les mots sont les mêmes quand on s'aime. La sensualité, allégée de ses vêpres, s'interpose à chaque fois qu'un égrégore létal restreint le goût de vivre en équilibre. Ni trop sage, ni en nage, juste ce qu'il faut, elle donne le bon tempo sans retenue. » ■ NEVERMORE

 

« La sagesse sexuelle arrive avec l'âge quand Bacchus supplante Éros et quand l'affection doit composer avec les caprices du coeur. On n'a pas attendu le 19e siècle pour rêver d'un certain romantisme de l'amour, ni le 20e siècle pour vivre l'érotisation des amours conjugales.
À la répression chrétienne du plaisir, l'hédoniste oppose la légitimité du sexe, avant et pendant le mariage ; à la condamnation de la chair, il se pare de son âme de lumière et oppose son épicurisme tranquille. Aux antipodes du libertinage aristocratique faisant le délice des baisodromes encerclés de Donjuanisme en plastique, sensible aux valeurs du corporel, Volcania, plein de santé, aime sa femme bien en chair ; la sexualité populaire affirme un matérialisme spontané et vivace empêtré dans les convenances, les nécessités économiques et les symboles. »

 

■ Jacques-Louis Menetra

 

« Il serait dommage de tourner le dos à l'art et aux beautés de la nature. Nous allons tous au même endroit ; autant rendre le chemin plus riche en couleurs. »

 

■ Voie d'éQIlibre

 
« Les dés sont jetés... Aussi vrai que le fourbe "blanc" de synthèse destroy (désintégré) — vide de toute substance — joue à faire semblant, scie l'arbre sur lequel il s'assoit, s'automutile en se coupant de ses antennes cognitives, se restreint à considérer les borborygmes des patois africains sur le même plan que la richissime langue française (compris les savoureux parlers régionaux boudés sciemment par l'État sioniste proxénète, encore et toujours !), l'olibrius se condamne à bouffer de la fiente enragée, à s'enliser dans le même dépotoir que les suppôts d'analphabètes wesh-wesh en proie à la haine, à l'ingratitude et au ressentiment contre la main du pays bonnard qui leur donne à grailler...
 
Ne mords pas la main qui te nourrit ! – »
 
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■ Thierry la Fronde
 

« Vivre nue, c'est vivre libre et connectée à la Nature, notre Déesse. »

 

■ Séléna Luna, 16 ans.
    * Wiccane et naturiste.

 

"Le vice a beau se cacher dans l'obscurité, son empreinte est sur le front des coupables."

— Mattias Köping
 

 « La forêt est un état d'âme. »  ■ Gaston Bachelard ~ La Poétique de l'espace (1957)

 

« Le vice, toujours sombre, aime l'obscurité. »  ■ Nicolas Boileau le « législateur du Parnasse » (1636–1711)

 

Antan, la vioque église incontinente a tellement emboucané la vie privée des JOUISSEURS que moulons de SUIVEURS phobiques trépanés (les fondus comme les appelaient ma feu mémé Gaby qui n'avait pas sa langue dans sa poche de couturière...) ont aujourd'hui encore peur de se SÉGUER sans mea-culpa...

Preuve est une fois de plus donnée — si tant est besoin de démontrer l'immense nocivité des gourous exerçant dans ces offices pieux promettant monts et merveilles à leurs santons atones — que la religion monothéiste est une machine industrielle à fabriquer des soumis frustrés et autres lopettes refoulées, intellectuellement sous-développés.

Les voies du branleur/doigteuse sont impénétrables, mes fil(le)s de bonne compagnie. Alors, bande de canaillous, n'hésitez pas à briquer le robinet en vous tirant l'élastique (ou vous astiquer le bonbon pour les girls) quand ça vous chante, ça ne rend pas sourd comme un pot, ça va de soi !!!

Bien au contraire, la branlette (carte de France, pignole, 5 contre 1, auto-érotisme, masturbation, vidange à main levée etc) est fortement recommandée par la médecine alternative.

Hymen !

 

✶ Lexique Provençal

fondus = jobards complets
emboucaner = emmerder
se taper une sègue = se masturber
moulons = pléthore

 
« Ici et maintenant, point. La façon dont on profite de ses journées, est, évidemment, la façon dont on profite de sa vie. »
 
■ Annie Dillard

 

« Un habitant n'est pas celui qui cultive la terre, mais celui qui divinise cette terre. »

 

■ Jimmy Verheyde

 

 « Rien n'est pornographique ou vulgaire quand on voit une femme ou un homme nu, sauf si on a l'esprit méchamment détraqué... »

 

■ Rémy Piours Lopez

 

« La sensualité est la condition mystérieuse, mais nécessaire et créatrice, du développement intellectuel. Ceux qui n'ont pas senti jusqu'à leur limite, soit pour les aimer, soit pour les maudire, les exigences de la chair, sont incapables de comprendre toute l'étendue des exigences de l'esprit. »
 
■ Pierre Louÿs (1870–1925), chantre de l'Érotisme, issue de Aphrodite
 

« On fait trop souvent l'amalgame entre sensualité et sexualité, la sensualité ne peut se résumer à cela !... La sensualité concerne tout ce qui a rapport avec les sensations reconnues par nos cinq sens : vue, toucher, odorat, ouïe, goût. Elle s'offre donc un champ très vaste, et permet d'élargir en quelque sorte, le "champ de vision" de notre corps...

La sensualité participe pleinement au développement intellectuel, c'est un fait indéniable... On le sait en ce qui concerne le développement des enfants, mais par la suite, le même phénomène se reproduit chez les adultes...
Combien d'artistes produisent mieux et plus quand ils ont trouvé une "muse", comme si cet élan, sensuel le plus souvent, démultipliait leur créativité...

La sensualité... finalement, c'est ce qui rend notre corps vivant. Ce sont toutes ces sensations qui font de nos corps autre chose que des véhicules d'emprunt, qu'on ne pourrait pas échanger. La sensualité, c'est se mettre à l'écoute de nos perceptions, de nos sens, de nos stimuli. C'est accepter d'y accorder aussi de l'importance dans un monde aseptisé où le corps passe souvent après la tête.

La sensualité, c'est désobstruer les pores des chakras, lâcher prise sur le mental pour se consacrer aux ressentis physiques, c'est mobiliser tous ses moyens sur une sensation, indépendamment du sens auquel elle s'adresse. Par exemple, une odeur... on la respire mieux les yeux fermés... une musique aussi, on la ressent différemment suivant si on a les yeux ouverts ou fermés.

La sensualité, de ce fait, stimule intensément la créativité. Avec un corps aux batteries pleines, forcément que le cerveau fonctionne mieux... Et puis les sensations éprouvées nourrissent le développement intellectuel... Les sensations positives suscitent aussi des émotions qui apportent du bien-être et du bonheur.... Les émotions stimulent la réflexion... comme des engrenages qui s'emboîteraient, et remettraient en mouvement toute la mécanique anatomique.

Il est clair que la sensualité... c'est "les sens" de la vie... pas LE sens de la vie...
Mais qu'est-ce que l'essence de la vie ?

N'est-elle pas dans cette "sensualité", dans cette expérience des possibilités de nos sens animés ?... »

 

■ Laurence WITKO

 

« Le mariage femme/nature se complète très bien. »

« Les grandes personnes ont toutes, consciemment ou pas la morale judéo-chrétienne ancrée en elles, avec les codes comportementaux castrateurs qui vont avec. Ces con(ne)s sont névrosé(e)s obsessionnel(le)s. »

 

■ Laurent Remaud

 

« Les vrais chrétiens obéissent aux folies néanmoins, non pas qu’ils respectent les folies ; mais l’ordre de Dieu qui, pour la punition des hommes les a asservis à ces folies. » ■ Blaise Pascal (1669)

 

« Le vrai bonheur ne coûte pas cher, et pourtant, combien cher nous payons ses contrefaçons ! »

 

■ Orison Swett Marden (1850 - 1924)

 

« La peur, en ces temps troublés, est l'arme la plus efficace contre ceux qui se battent pour la vérité et la justice. » ■ Robert Roy MacGregor (1671 - 1734)

 

« Toute virilité ostentatoire signale bien souvent une virilité défaillante ou une peur des femmes. Vouloir exhiber sa testostérone relève la plupart du temps d’un plaidoyer pro domo (pour soi) : on montre vaniteusement ce à quoi on aspire mais qui nous fait défaut. La virilité authentique n’a pas besoin d’être spectaculaire, théâtralisée, exposée... il lui suffit d’être. »

 

« L’homme qui semble un prédateur sans prédateur oublie qu’il a un prédateur parmi les plus féroces, sinon le plus féroce : lui-même. Dans sa frénésie à détruire, massacrer, piller, tuer, saccager, dévaster, abîmer, vandaliser, assassiner, dans son obstination à inventer de quoi détruire la planète sans laquelle il ne pourrait pas vivre, l’homme prouve que la prédation est sa loi, son unique loi. »

 

■ Michel Onfray (Philosophe)

 

« Mais enfin chaque homme, s'il veut se donner la peine de s'étudier soi-même, a son beau idéal, et il me semble qu'il y a toujours un peu de ridicule à vouloir convertir son voisin. »

 

■ STENDHAL, De l'Amour

 

« Ceux que le Système appelle pudiquement des migrants ou des réfugiés sont en réalité des envahisseurs et des remplaçants. » ■ Jérôme Bourbon (Rivarol)

 

« Supprimer le négatif ; accentuer le positif ! » ■ Donna Karan

 

« La Poésie est au langage ce qu'est l'Érotisme à la sexualité : un rituel de plaisir. » ■ Jacques Rancourt

 

« Dans notre monde où s'imposent de plus en plus les modèles normalisés de la pornographie rien ne prépare une femme à s'accepter telle qu'elle est, et encore moins telle qu'elle devient avec l'âge. »

 

■ Florence Montreynaud (2004)

 

« L’homme pensa toujours que la femme est exclusivement faite pour procréer des enfants et point pour créer dans l’ordre intellectuel.
Cette idée masculine fut si forte, elle manifesta son influence d’une manière si magnétique à travers les paroles, les actes, les institutions, que par induction psychique, par la suggestion des phénomènes sociaux et de la force exerçant son despotique empire de mille façons, la femme fut amenée à penser aussi qu’il ne lui convient pas d’avoir du génie ni même d’essayer d’en avoir. »

 

— Jacques Lourbet, 1896

 

« Le propre du Génie c’est d’être révélateur par sa manifestation soudaine, et c’est avec les exemples qu’il laisse sur son passage que sont faites la tradition, la science et la règle.
Et cette tradition et cette science s’enrichissent et se complètent de la diversité des artistes créateurs qu’apparente, néanmoins, un lien mystérieux. »

 

— Marie Anastasie Krysinska, 1903

 

« Il n'y a pas de honte à être heureux. Mais aujourd'hui l'imbécile est roi, et j'appelle imbécile celui qui a peur de jouir. »

 

■ Albert Camus, Noces, 1958

 

« Plus un peuple est éclairé, plus ses suffrages sont difficiles à surprendre [...] même sous la constitution la plus libre, un peuple ignorant est esclave. »

 

■ Nicolas de Caritat, dit CONDORCET (1743 - 1794)

 

█│SATIRE — À VOUS DE JOUER !│█

 

Pendant que les magots, au ras du caniveau
Miment le Grand Pardon, sous couvert de pétoche ;
D'agiles salmonelles, en lever de rideau
Jouent à l'Auditorium un autre son de cloche...

 

■ Idéal du Gazeau

 

« Le monde moderne est plein d'hommes qui s'en tiennent aux dogmes si fermement qu'ils ignorent même que ce sont des dogmes. »

 

■ Gilbert Keith Chesterton (1874-1936) ~ Poète et écrivain anglais.

 

« Il est normal de risquer sa vie pour son prochain s’il est votre meilleur ami et s’il l’a fait maintes fois pour sauver la vôtre. En revanche la situation est toute différente si l’homme pour lequel vous êtes sensé risquer votre propre vie est un contemporain anonyme. »

 

■ Konrad Lorenz (1969)

 

« Aux yeux des riches, la seule valeur de votre existence, c’est qu’ils ont besoin de votre bulletin de vote à chaque élection pour faire élire les politiciens dont ils ont financé la campagne. »

 

■ Michael Moore

 

« Dès qu’on se laisse gouverner, on est mal gouverné. » ■ Alain, de son vrai nom Émile-Auguste Chartier (1868 - 1951)

 

« C’est un extrême malheur d’être sujet d’un maître duquel on ne peut jamais être assuré qu’il soit bon, puisqu’il est toujours en sa puissance d’être mauvais quand il le voudra. »

« Il y a trois sortes de tyrans. Les uns règnent par l’élection du peuple, les autres par la force des armes, les derniers par succession de race. »

 

■ Étienne de la Boétie, La servitude volontaire (1576).

 

« Il est parfois difficile de savoir qui, dans une famille, commande : le mari, la femme, la belle-mère ou la cuisinière. Mais le chien de la maison, lui, ne se trompe jamais ». ■ Marcel Pagnol

 

« Le fronçais est un collabo du système qui penche toujours du bon côté de la balance : celle qui lui rapporte. » ■ Emilie Hlífðar

 

« Les conséquences d'un acte sont incluses dans l'acte lui-même. » ■ George Orwell (1903 - 1950)

 

« La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. »

 

■ Aldous Huxley (1894 - 1963)

 

« Très peu de gens savent réfléchir, mais tous veulent avoir des opinions. »

 

■ Arthur Schopenhauer (1788 - 1860)

 

« Le public, le public ! . . Combien faut-il de sots pour faire un public ? ».

« Quiconque n'a pas de caractère n'est pas un homme, c'est une chose ».

 

■ Sébastien-Roch Nicolas dit Nicolas de Chamfort ~ Écrivain (1740 - 1794)

 

« Le rire et l'amour font accepter l'absurde ». ■ Patrice van Eersel

 

« La nudité intégrale, c'est le cauchemar qui hérisse le poil des tabernacles pisse-froid enragués dans leur complet-veston poissard. » ■ Marius Escartefigue

 

« Nous sommes venus sur la Terre pour faire un voyage spirituel vers les Étoiles. Notre quête, notre promenade terrestre, c'est de regarder à l'intérieur de nous, pour savoir qui nous sommes, pour voir que nous sommes reliés à toutes choses, et qu'il n'y a pas de séparation dans l'esprit... »

 

■ Un voyant Lakota

 

« Tu veux un monde meilleur, plus fraternel, plus juste ? Eh bien commence à le faire : qui t’en empêche ? Fais-le en toi et autour de toi, fais-le avec ceux qui le veulent. Fais-le en petit, et il grandira. »

■ Carl Gustav Jung

 

« Construis pour toi une maison, tu réussiras à supprimer les haines de la résidence en commun. Ne dis pas, il y a une maison qui me vient de mon père et de ma mère, car tu tombes en partage avec ton frère, et ta part, ce sont les dépendances. »

 

Auteur ■ Ani

Région : Égypte

 

« La musique s'adresse au cœur, tandis que les écrits ne s'adressent qu'à l'intelligence ; elle communique immédiatement ses idées, à la manière des parfums. La voix du chanteur vient frapper en nous non pas la pensée, non pas les souvenirs de nos félicités, mais les éléments de la pensée, et fait mouvoir les principes mêmes de nos sensations. Il est déplorable que le vulgaire ait forcé les musiciens à plaquer leurs expressions sur des paroles, sur des intérêts factices ; mais il est vrai qu'ils ne seraient plus compris par la foule. La roulade est donc l'unique point laissé aux amis de la musique pure, aux amoureux de l'art tout nu. »

« Les petits esprits ont besoin de despotisme pour le jeu de leurs nerfs, comme les grandes âmes ont soif d'égalité pour l'action du cœur. »

 

■ Honoré Balzac (1799 - 1850)

 

« En suivant le chemin qui s'appelle plus tard, nous arrivons sur la place qui s'appelle jamais. »

 

■ Sénèque

 

« L’ennemi est celui-là, est tout un chacun qui fait planer une menace essentielle contre l’existence du peuple et de ses membres. L’ennemi n’est pas nécessairement l’ennemi extérieur, et l’ennemi extérieur n’est pas nécessairement le plus dangereux. (…) L’ennemi peut s’être enté sur la racine la plus intérieure de l’existence d’un peuple, et s’opposer à l’essence propre de celui-ci, agir contre lui. D’autant plus acéré, et dur, et difficile est alors le combat, car seule une partie infime de celui-ci consiste en frappe réciproque; il est souvent bien plus difficile et laborieux de repérer l’ennemi en tant que tel, de le conduire à se démasquer, de ne pas se faire d’illusions sur son compte, de se tenir prêt à l’attaque, de cultiver et d’accroître la disponibilité constante et d’initier l’attaque depuis le long terme, avec pour but l’extermination totale. »

« S'il est donc nécessaire de rallumer certains feux, c'est celui de l'intelligence de l'être qui prime en premier lieu, c'est le seul qui ne soit pas symbolique et donc inutile. Si c'est à partir de l'être que pourra se déployer une nouvelle aurore du sacré, c'est que, « ce n'est qu'à partir de la Vérité de l'être que se laisse penser l'essence du Sacré. »

 

■ Martin Heidegger - Philosophe allemand (1889 - 1976)

 

« Béni soit ce qui rend dur ! Je ne vante pas le pays où coulent le beurre et le miel ! »

« Chez les hommes durs, l’intimité est affaire de pudeur — et c’est quelque chose de précieux. »

« La démence, chez l’individu, est quelque chose de rare, — chez les groupes, les partis, les peuples, les époques, c’est la règle. »

« On n’aime plus assez sa connaissance aussitôt qu’on la communique aux autres. »

« L’objection, l’écart, la méfiance sereine, l’ironie sont des signes de santé. Tout ce qui est absolu est du domaine de la pathologie. »

 

■ Friedrich Nietzsche, "Ainsi parlait Zarathoustra" - Le voyageur

 

La France est sioniste, livrée aux répugnantes mains de la Tribu des Talmudistes Psychopathes... Elle devient de fait un État Policier dictatorial comme ses maîtres américains le lui demandent. Et le pire est à craindre...

 

« Il ne faut jamais sous estimer la capacité qu'a notre cerveau adulte à se mentir à soi-même ».

 

■ Spartacus

 

« La lâcheté ne se corrige point, la poltronnerie est incurable ». ■ Madeleine de Puisieux ; Réflexions et pensées (1798)

 

« Lâche ou courageux, cela ne veut pas dire grand-chose. Lapin ici, héros là-bas, c’est le même homme, il ne pense pas plus ici que là-bas. Tout ce qui n’est pas gagner de l’argent le dépasse infiniment. Tout ce qui est vie ou mort lui échappe. Même sa propre mort il la spécule mal et de travers. Il ne comprend que l’argent et le théâtre ».

 

■ Louis-Ferdinand Céline

 

« L'homme est de glace aux vérités ; Il est de feu pour le mensonge. » [ La Fontaine, Fables. ]

 

« La vérité existe. On n'invente que le mensonge ». ■ Georges Braque

 

« C’est que cet amour du gain ne peut se détacher d’une volonté de puissance inscrite au cœur même du Talmud, et il faut pour cela déraciner les hommes, les pervertir, les détourner de ce qu’ils sont. De là découlent tous les maux subis par la France, comme conséquences d’une vision matérialiste du monde, mais aussi comme moyens délibérés visant à un même but : la domination d’un peuple sans nation sur les nations qui l’ont accueilli. [...] ».

 

■ Édouard Drumont "La France Juive" (1844 - 1917)

 

« Les hommes éveillés n'ont qu'un monde, mais les hommes endormis ont chacun leur monde. Ils n'évoluent pas dans le même univers. »

 

■ Héraclite, philosophe grec présocratique

 

« Les fronçais, les occidentaux lobotomisés par des décennies de propagande sioniste n'ont toujours pas compris qu'ils se font éradiquer chaque année davantage et qu'on leur réserve le même sort que les indiens d'Amérique. C'est pourtant tellement évident. »

 

■ Sébastien Dekerle

 

Qu'a vist Paris, se noun a vist Cassis, pou dire : n'ai rèn vist. » soit « Celui qui a vu Paris et qui n'a pas vu Cassis peut dire… je n'ai rien vu ».

 

■ Frédéric Mistral, inventeur du mouvement Félibrige ~ prix Nobel de littérature (1830 - 1914)

 

« Ne pas sentir la putréfaction du monde moderne est un indice de contamination. »

 

■ DÀVILA Nicolás Gómez ~ Moraliste colombien (1913 – 1994)

 

« Plus une religion est fausse, plus ses adeptes combattent avec fanatisme. »

 

■ Franz Werfel (1890–1945)

 

« Avoir une âme, c’est l’aventure de la vie. » ■ Carl Gustav Jung (1875 – 1961)

 

« Nous sommes les instants d’une chose immortelle. » ■ Maurice Barrès (1862 – 1923)

 
« L'accent du pays où l'on est né demeure dans l'esprit et dans le cœur, comme dans le langage. »

■ François, duc de LA ROCHEFOUCAULD (1613-1680)

« Ce que nous ne voulons surtout pas, c'est qu'au nom des grands principes "politiquement correct" on nous enlève le droit d'élever nos enfants comme nous l'avons été.

Où — je vous demande — où pourrait-il bien aller celui qui ne sait même pas d'où il vient ? C'est en coupant les gens de leurs racines et en les privant de leurs repères qu'on les enferme dans l'ignorance, l'intolérance et l'extrémisme... Car il n'y a rien de plus sain que cet amour profond de sa terre, le sentiment que, où que l'on aille, aucun endroit ne sera plus beau et n'éveillera en nous plus belles émotions que celui où l'on est né. » ■ Mandy GRAILLON (Reine d'Arles)
 
« Une région, une langue, une identité. » ■ La Chourmo dóu Prouvènço.
 
« La langue est le ciment fondateur d'un peuple. »
 
« Eh ! bien, Messieurs et Mesdames, une langue ressemble à une concrétion minérale : car au fond d'une langue se sont déposés toutes les vicissitudes, tous les sentiments, toutes les pensées de dix, de vingt, de trente, de cent générations.

Une langue est un bloc : c'est un antique fondement où chaque passant a jeté sa pièce d'or, d'argent ou de cuivre : c'est un monument immense où chaque cité a bâti son pilier, où une race entière a travaillé de corps et d'âme pendant des centaines et des milliers d'années.

Une langue, en un mot, est la révélation de toute une vie, la manifestation de la pensée humaine, l'instrument sacro-saint des civilisations et le testament parlant des sociétés mortes ou vivantes. »

■ Frédéric Mistral (1868)
 
La majorité des vendus carriéristes incrustés au gouvernement et à la députaSION sont garantis sans OGM - Origine Gauloise Minimale.
 

« Fais ce que tu souhaites. Il n’y pas de « normes du bien ». La morale, ce n’est que des balivernes. Chaque Étoile doit suivre sa propre orbite. Au diable les « principes moraux », il n’existe rien de tel. »

 

■ Aleister Crowley

 

« Celui qui serait né pour obéir, obéirait jusque sur le trône. »

 

■ Luc de CLAPIERS, marquis de Vauvebargues (1715–1747)

 

« La masse est lourde, grossière, dominée par la vue la plus superficielle de l'intérêt. » 

 

▶ Joseph Ernest Renan (1823–1892)

 

« Le football moderne est la quintessence de cette société délitée. On a rarement vu dans l'Histoire des gens aussi cons gagner autant d'argent. »

 

■ Arnaud de Robert

 

« Savoir, c'est pouvoir. » ■ Francis Bacon (1561–1626)

 

« Médiocre et rampant, et l'on arrive à tout. »

 

■ Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais ~ Le Mariage de Figaro, 1778 -

 

« Le triomphe des démagogues est passager, mais leurs ruines sont éternelles. »

 

■ Charles Péguy (1873–1914)

 

« Le démagogue : celui qui prêche des doctrines qu'il sait être fausses à des gens qu'il sait être des idiots. »

 

■ Henry Louis Mencken, journaliste, linguiste, satiriste, critique social et un libre penseur, surnommé « le sage de Baltimore » ou encore « le Nietzsche américain » (1880–1956)

 

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