Certaines décisions s'imposent d'elles-mêmes. M'est avis qu'il vaut mieux instaurer un cadre directionnel solide dès le départ et s'y tenir.
De deux choses l’une : soit la découverte des choses de la vie lui est insupportable ; dans ce cas précis, le vétuste duschnock pousse des cries d'orfraie dignes d'une pucelle effarouchée et dégage illico-presto le plancher en se bâillonnant les yeux. Bon débarras ! Soit la surprise est à la mesure du plaisir grisant de la découverte des appas du beau sexe, c’est ce que l’équipe DDL vous souhaite, et vous avouerez que le programme très étoffé, attirant, générateur d'endorphines qu'on vous offre sur un plateau d'argent est AUTRE que l'insipide journal tv anxiogène, mais qu’il est formidable néanmoins et mérite amplement votre adhésion.
Avec Internet, et surtout les réseaux sociaux, on donne aux gens les moyens de s’exprimer, mais il faut aussi leur expliquer ce que ça implique, analyse Adrien Basdevant. La liberté d’expression est indissociable de la responsabilité vis-à-vis des propos tenus. Internet est loin d’être une zone de non-droit où l’on est anonyme et invisible. C’est même l’inverse. La réponse n’est pas dans une inflation de textes de loi. Il faut plutôt réfléchir en termes de sensibilisation, que les internautes aient conscience de la portée de ce qu’ils font en ligne.
Le plus souvent, on cherche à les fuir, mais pour qui aurait la curiosité un peu malsaine de se retrouver confronté à des propos nauséabonds, il n’y a (malheureusement) rien de plus simple. Sur Twitter ou facebook, il suffit d’entrer certains mots-clé dans le moteur de recherche pour découvrir des utilisateurs qui déversent leur détestation en version 140 caractères. Et, par le jeu des retweets et des encouragements mutuels, on découvre une communauté moutonne qui semble ne se nourrir que de haine, en premier lieu contre les minorités ou les femmes isolées.
Vue la somme d'enfoirés récidivistes intolérants au bord de la crise de nerfs, de graves malades mentaux adeptes des flip-flap encrassés dans les cellules somatiques, de mougeons de Panurge, pèlerins blasés revêches et autres mégères sermonneuses de mes deux calots dépourvus de savoir-vivre qui gravitent autour de l'orbite internet et se croient tout permis, voire en terrain conquis, chaque commentaire posté aux petits oignons sera dûment vérifié avant une éventuelle publication sur mon site afin de s'assurer que le contenu écrit soit raccord aux conditions déontolgiques universelles, et à l'idée que je me fais d'un adulte affranchi civilisé digne de ce nom.
" L'obscénité de langage, c'est d'avoir dit tout haut ce que je pensais tout bas sans y avoir mis les formes. La vulgarité naît plus du comportement. "
▶ Henri Sery
Pour éviter les couacs, la procession dérangée à mine rabat-joie est interdite de séjour sur le présent espace de détente sensorielle extrêmement polisson. Fi de la langue de bois ! Au bal des
faux-jetons béni-oui-oui, on y perd toujours des plumes. Honi soit le lot des vils détracteurs hostiles à l'entrée des électrons libres dans le Cercle des Muses
accomplies.
Par conséquent, conformément aux codes éducatifs en vigueur dans les chaumières de France et de Navarre de bon aloi, du Nord au Sud, les convives élevées au bon grain doivent obligatoirement s'engager à respecter les consignes et garder un état d'esprit fun, cool, zen & convivial. Le ouèbe n'est pas une poubelle, ni le défouloir/exutoire attitré des pisse-vinaigre, psychotiques/névropathes à tendance suicidaire/destructrice ; le tripôt des trous du cul irascibles/rageux a pris trop de graine et fait tache ; sachez que les cyberwarriors (en mousse) de pacotille et les misanthropes de la loose n'auront jamais gain de cause chez moi. La tribune libre leur est définitivement fermée.
« Apprends la sagesse dans la sottise des autres. »
▶ Proverbe japonais
J'ai passé l'âge d'aller planter le piquet en classe maternelle pour qu'on(line) ectoplasme m'impose des leçons de catéchisme faisandé contre mon gré... La règle d'or est stricte, mais valable pour tout le monde. Cela garantit l'égalité. Quiconque transgressera pareil charte de bonne conduite tenant lieu de pierre angulaire passera à la trappe et sera banni fissa sans autre forme de procès. Cela s'entend. Tolérance Zéro pour les déchets malfaisants et les atrophiés du bulbe rachidien dans le flou rachitique qui se comportent comme des mufles fanatisés, participent à la longue montée de l'ignorance poltronne sous couvert d'anonymat (relatif) ! Tenez-vous-le pour dit. –
L'arsenal de suppressions à la découpe constatable sur la toile (d'araignée) atteste du malaise gigantesque lié aux besoins/penchants essentiels du corps humain, cette forme de dictature déguisée atteint son paroxisme en Occident. À contrario, dans les temples Hindous, le Lingam (symbolise le phallus) est vénéré, associé/imbriqué avec le Yoni (symbole de la vulve). Cherchez l'erreur !
« Se rappeler qu'un tableau, avant d'être un cheval de bataille, une femme nue ou une quelconque
anecdote, est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées. »
▶ MAURICE DENIS (1870-1943)
Pour ma part, je pense que notre imaginaire s’enracine dans nos pulsions primaires qui conditionnent notre rapport à l'autre, bien avant l’avènement de toute pensée consciente, jusqu’à structurer
notre cerveau limbique, et conditionner de nos jours, notre "préconscient". Tout doit être repensé.
Juste ciel ! Pourquoi tant de haine contre une façon de voir la vie sans chichis qui dépasse le carcan trop étroit des esprits rigoristes sanglés de manichéisme binaire ? Les commandos de pauvres types eunuques n'offrent pas de gerbes de fleurs. Les harpies aux cents visages pas davantage. Devrions-nous les analyser ? Assurément ! Ce n’est pas le propos ici. De quoi j'me mail ?
Nous croyons être libres de nos pensées et de nos actes. Mais, bien souvent, nous sommes façonnés, conditionnés, orientés, voire dressés à notre insu, par des influences néfastes extérieures qui entendent nous dicter nos façons de vivre, de penser et d’agir. Il est même fréquent que nous soyons notre propre geôlier psychique qui surveille et contrôle notre vie : comment tout cela est encore possible en 2017 ?
L’endoctrinement est une autre façon sournoise et dégueulasse de perdre sa liberté psychique. C’est le danger de tout militantisme, comme on peut le constater dans nombre de mouvements politiques, religieux ou syndicalistes. Partout où l'argent met le nez règne une odeur infecte... Il n’y a pas que dans les sectes officielles où l’on rencontre des gourous manipulateurs férus de matraque ! Il suffit d’écouter attentivement les slogans, les phrases toutes faites et le bourrage de crânes auxquels sont soumis les adeptes d’un mouvement pour observer cette aliénation. Un individu peut garder son jugement personnel lorsqu’il est seul, mais peut le perdre dès qu’il est en groupe. Il se produit une sorte d’osmose entre les individus qui perdent leur différentiation et sont alors vulnérables à n’importe quel lavage de cerveau et sont prêts à répéter les slogans absurdes qui leur sont rabâchés. L’observation pointilleuse d’une manifestation est, à cet égard, instructive; on constate que les foules sont particulièrement dangereuses car elles broient tout jugement critique qui est emporté par une sorte d’hystérie collective. Cette décérébration peut aussi s’exercer en famille, dans des circonstances particulières, qui rendent un sujet vulnérable à l’influence d’un autre. Certains caractères autoritaires ont cette tendance à vouloir prendre le contrôle psychique sur les autres, comme pour mieux les façonner/driver. Bien entendu, un pervers narcissique patenté avance masqué et choisit toujours ses victimes.
Si vous n'aimez pas "ça", n'en dégoûtez pas les autres
J' n'ai pas, sur ce point-là, le même avis que le vôtre.
■ Christophe le Vaillant ; Notre amie la femme (1992)
Qu’à sa guise elle nage dans le bonheur et s’en repaisse, c’est bien son tour, et QUE ÇA DURE LONGTEMPS ! Qu’on se le dise !
« Ne te fais pas d'illusion, n'espère pas éviter la destinée. Sois eunuque et engraisse, ou sois homme et lutte; il n'y a pas de
milieu. »
■ George Sand, Mllede la Quintinie,1863.
Au regard de ce qui se passe ailleurs, notamment sur les boxons acerbes numériques dominants — au-delà de cet avertissement, il me paraît sain, nécessaire, judicieux et salutaire de prendre quelques précautions d'usage dans certains cas particuliers pour empêcher la lie habituelle des étrons œdipiens demeurés, trolls enquiquineurs insultants ou pollueurs amionautes hors-sujet, rase-mottes des forums de discussion, bouffons mal dégrossis, calus virtuels psychorigides de nuire, d'atteindre à la réputation du maître du Grill et d'essayer de perturber la ripaille dans le réfectoire gourmand. Il suffit d'avoir un peu de jugeotte et d'avoir déjà touché du doigt le degré de lâcheté incommensurable d'un certain type d'individus tordus, arrogants, pas tranquilles, rongés par la haine, l'envie, la frustration avec un grand F et l'amertume appartenant, hélas ! à l'espèce "bipède"...
Sortir de l'ornière réputationnelle serait-il trop demander aux aspirants coincés du bocal même pas foutus de lâcher prise ? Les corniauds ont tous consciemment (ou pas) la moraline abrahamique dogmatique ancrée en eux, avec les codes comportementaux inamovibles, castrateurs, handicapants qui vont avec... Pas facile de sortir du moule...
« Soyez conscients, élevez votre taux vibratoire, montez sur la
montagne. »
▶ Omraam Mikhaël Aïvanhov
Résumé concis mais réaliste. On gagne toujours à être direct et facile à comprendre.
« Il faut être toujours ivre, tout est là ; c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi ? De vin, de poésie, ou de vertu à votre guise, mais enivrez-vous !
Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge; à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est. Et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront : « il est l'heure de s'enivrer ; pour ne pas être les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous, enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie, de vertu, à votre guise. »
■ Charles Baudelaire (Les petits poèmes en prose - 1857)
— C'est en dialoguant avec l'enfant qui est en nous qu'on crée.
Quant à l’Enfant naturel, il correspond à cette partie de nous-même qui recèle, en puissance, nos dons innés pour la découverte, l’émerveillement et la spontanéité. Laisser parler l'enfant intérieur
n’est pas forcément régresser. C’est d’abord retrouver la fraîcheur et l’intensité de nos premières années. Pour mieux s’épanouir.
« Grand est celui qui n'a pas perdu son cœur d'enfant. »
■ Virgile ~ Poète lyrique et écrivain latin sous l'Antiquité
Dont acte. —
■ Le fondateur Celto-Ligure du site DDL