Bienvenue à l'Escale divertissante de la clef des champs ?

« Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait. »

■ Marcel PAGNOL (1895 – 1974)

« Quoi que tu rêves d’entreprendre, commence-le. L’audace a du génie, du pouvoir, de la magie. »

 

■ Johann Wolfgang von Goethe (l749 – l832)

 

« Rien ne commence jamais que si on se le permet à soi-même. »
 
■ Claude Mauriac (1914–1996)
 

« Le sens de la vie est de trouver son don, le but de la vie est de le partager. » ■ Pablo Picasso

Le contenu de cet oasis coquin de pure extase visuelle s'adresse exclusivement à un public adulte averti et pourrait ne pas convenir à certains culs pincés. La politesse, question d'éducation et de respect est de rigueur.

L'étalage d'images dénudées soigneusement triées sur le volet t'offusque ? Mouais... Pauvre chou ! Bouge de là, peine-à-jouir ! Passe entre les gouttes. Poh ! poh ! poh ! Casse-toi, tu pues, et marche à l'ombre ! Rien ni personne ne te retient ! Si vous n'avez aucun goût, et croyez perdre votre temps en parcourant ce bréviaire de la beauté féminine exacerbée, il faut rapidement tourner les talons... Vous n'avez sans doute pas l'esprit "maison". Personnellement, c'est le fait de croiser de plus en plus de lugubres ravans belphégors voilés sur nos plages françaises publiques qui m'hérisse le poil pubien. Bien que leur travestissement soit réussi, leur silhouette gynandre non féminine ne pouvant donner le change évoque le pire remède contre l'amour.

« Elle avait raconté que je lui avais proposé la botte et elle voulait m'attaquer au tribunal. Alors un flic s'amène : –C'est vrai que vous lui avez proposé la botte ? –Écoute, tu veux la voir ? Si tu veux un remède contre l'amour, viens, on va aller la voir fissa. […] Elle avait porté plainte que je voulais la violer. Non mais quoi encore ? Que je lui avais proposé la botte ? À cette ordure-là ? Oh la la ! J'aimais mieux me branler, ah ! oui ! »

■ Lucien Aurousseau,1977. Une Vie de cheval (Le Désir fou) - roman brut en collaboration avec Marie Laborde.)

 

DDL s’adresse à tous les passionné(e)s de photographie de nu
(artistique et érotique)

Adressez-nous vos images – représentant la beauté féminine – dont vous êtes le plus fier afin que notre rédaction puisse les examiner et les publier sur notre webzine.
DDL sélectionne attentivement chaque photo de nu soumise afin de garder un niveau de prestige constant. Il est donc à noter que nous nous réservons le droit de refuser toute photographie gore.

 

« Quel que soit le cercle d'enfer dans lequel nous vivons, je pense que nous sommes libres de le briser. Et si les gens ne le brisent pas, c'est encore librement qu'ils y restent. De sorte qu'ils se mettent librement en enfer. »

■ Jean-Paul Sartre

L'empaffé rabat-joie transgressant la règle d'or, poussant des cris d'orfraie à la vue des appas du beau sexe est prié de détourner le regard et de passer son chemin, l'énergumène fruste est persona non grata. Bref, nazes/tromblons sujets au vertige esthétique, chercheuses de poux, trous du cul bolosses, éthers malades de haine, moutons de Panurge, moralinolâtres pavloviens, polémistes à 2 balles, illettrés qui se la pètent, abonnés à la prise de tête, mous de la tige, cinglés puritains à la mords-moi-le-nœud, jaloux compulsifs, pantouflards donneurs d'ordres, trolls, irrécupérables refoulés pathologiques malmenés par la doxa, rageux psychorigides sous tutelle de la méchanceté domestique, frustrés de la vie, misogynes invétérés, castrats sous brevet taliban : s'abstenir de pomper l'air de la braguette magique rabelaisienne :)

Le site Déesses de lumière n’est en aucun cas responsable des diatribes injurieuses condamnables par la loi et se réserve, par ailleurs, le droit de vérifier la teneur des messages. Afin d'éviter les dérapages verbaux récurrents émis par les amputés du bulbe rachidien, chaque cagade ordurière anonyme visant à casser l'ambiance épicurienne et solaire qui règnent ici seront supprimées. Le Félibre créateur du présent théâtre d'échange et de partage à but non-lucratif ne manquera pas de porter plainte pénalement auprès du parquet en cas d'éventuelles menaces, diffamations et intimidations sur sa noble personne.

Plaquer l'Inquisitorium calamiteux de fuckbook et tout le saint-frusquin bête comme ses pieds, source du Totalitarisme, son climat délètère et ses pupitres de la lolitude potache attardée : vous en rêviez dur comme fer ?...

DÉSINTOXIQUER LES PÉTEUX DROGUÉS À LA RELIGION HALLUCINOGÈNE PLUTÔT QUE LES ENDOCTRINER À POURSUIVRE UNE CHIMÈRE

Le séminaire désaxé des grenouilles de bénitier sous l'emprise d'un icône poissard en plastique qui se fait passer pour un "dieu" rédempteur à caractère sectaire est prié de ne pas venir nous chercher des poux dans la tête. Qui s'y frotte s'y pique ! Que la nébuleuse schtarbée aille donc s'aplatir dévotement à confesse cirer le tronc du denier du cul(te). Mal connu, l'esclavagisme moderne existe encore... même en France. Le salut de notre âme non repentie se passe très bien de leur consentement. Nous n'avons aucune leçon de vie à recevoir de pareilles bordilles vicelardes totalement à côté de la plaque. Une cure de désintoxication et de revitalisation pour éliminer les toxines accumulées sont la base de la naturopathie qui aide l’organisme à retrouver son équilibre et ses forces de réparation, ça ne s'improvise pas ! Vade retro, calotins ! – Mea culpa, dites-vous !? Et puis quoi encore ? C'est pas plus compliqué que ça.

 

« Les étiquettes, c'est bon pour les valises. »

□ Federico Fellini (1920 – 1993).

Les préjugés ne s'intégreront jamais. Le spectre d'une censure insidieuse hache-menue, hégémonique, dictatoriale, gérontovore se heurtera sans cesse à un contre-pouvoir frondeur décorseté. L'échantillon des belles plantes déshabillées fièrement exposées sur ce forum de vérité participe à l'essor des cultures et civilisations ; j'y contribue aussi à ma manière en remettant au goût du jour le panache. Si, de prime abord, ces millions de femmes gourmandes, libérées ne payent pas de mine, elles s'assument, se foutent royalement de choquer les arcanes de la bien-pensance archaïque et se permettent même le luxe de dévorer le vit (et le foutre !) à pleines dents. Bien leur en prend !

À ce sujet, l'administrateur ménestrel invite les fans à s’en tenir à des propos acceptables, sympas, égrillards, espiègles, inventifs, drôles voire "déjantés" ou "décalés"... mais non vindicatifs, retors, cassants, blessants, racailleux ou agressifs.

En tous les cas, je souhaite à tous les gens bien intentionnés / de bonne volonté de bonnes visites/visionnages/rincages des yeux (et des mirabelles) sur mon site onirique délicatement suranné et les remercie de leur diligence sans faille. Avec toute ma gratitude envers les followers qui adhèrent et soutiennent la plupart de mes projets, en espérant que mon travail gagnera d'autres continents dans ce secteur en pleine expansion.

Plus c'est long, plus c'est bon. Gardez le bon cric, moussaillons ! L'abus d'orgasmes est (super) bénéfique pour la santé et le moral. Et je dis merde aux crânes tonsurés des bénédictins râleurs invétérés ! La vie moderne, luxueuse, impitoyable et sceptique a fait coiffer à ces hommes perdus comme à ces femmes austères des casquettes de garde-chiourme des ligues de vertu. 

Y'a pas d'mal à s'faire du bien !

Je jouis, donc je suis.

« Là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir. »

Dicton français

L'Élan retrouvé propose, le libre arbitre dispose. La balle est désormais dans votre camp !

Mes albums émoulus de sensualité vous filent le peps, vous incitent au voyage au pays du soleil ?... C'est le principal. L'intention est osée mais elle est clairement affichée... Laissez-vous transporter dans un autentique écrin qui donne le change, la pêche et le sourire ! Entendre un autre son de cloche que le mur des sempiternelles jérémiades rébarbatives relève du domaine du possible

Le Sein des Seins bout en l'Homme Européen, c'est le puits de Lumière que vous portez dans vos entrailles. Symbole de la Dolce Vita, l'auditoire/ la Mecque des a-mateurs de fesses et de nichons guillerets vibrants à l'unisson, c'est ici et nulle part ailleurs !

On vient au monde avec un potentiel différent. Nous sommes unique. Notre vécu y est aussi pour quelque chose. Pour que le potentiel puisse s'actualiser, s'améliorer et se développer, il faut suivre notre route; notre propre chemin de vie fait la différence. Si on n'a pas cette base au départépart, on ne peut l'acquérir.

On est et on naît esthète mais on ne le devient pas au fur et à mesure. La sensibilité ne se délivre pas sur ordonnance, par l'opération du Saint-Esprit. Le goût des merveilles ne se cultive pas, il est inné.

 

Nous sommes, de toute évidence, issus de rapports sexuels. Notre libido est un assemblage de pulsions qui nous est aussi personnel que nos empreintes digitales et qui inclut presque toujours une zone d'ombre. Nous sommes des êtres sexuels, nous ne pouvons pas échapper à cela. Il n'y a pas de honte à tuer une chose mauvaise. Nous aurions meilleur temps de nous attaquer sur un ton volontairement enjoué aux hypocrisies et aux préjugés qui entourent encore trop souvent nos jugements sur la sexualité des autres. Quitte à être damné sans avoir eu recours aux mécanismes internes du baptême, autant y prendre plaisir...

En rendant leur humanité à ceux qu'on appelle à l'arrache les déviants et en posant des questions pertinentes sur la différence entre pensée et action, je révolutionne l'approche scientifique de la diversité sexuelle en la débarrassant de toute considération morale. Car, aussi dérangeant que cela puisse paraître, c'est le seul moyen de comprendre et de résoudre certains des problèmes récurrents tels que la violence sexuelle, par exemple, peut poser à nos sociétés. Éclairant, enrichissant, insolite,  captivant, attractif et poilant, DDL est un livre indispensable à l'état adulte d'ouverture d'esprit apparente que la chose intéresse !

Âmes sensibles ne pas s'abstenir.

 

Rien de plus chiant que le commun des mortels !

 

À vous de jouer/saisir la perche !

Chiche ?

« On n'est pas bien là ?
Si.
Paisible ? À la fraîche ? Décontracté du gland ? Et on bandera quand on aura envie de bander ! »

  • Réplique culte du binôme d'inséparables joyeux drilles gaulois Gérard Depardieu & Patrick Dewaere, Les Valseuses (1974), super film écrit par Bertrand Blier. 

     

    Il n'y a pas que Ducros qui se décarcasse, on ne vous avait pas menti en vous parlant de de cette forêt de costumes bigarrés, de danses enfiévrées, de bouchées épicées, de galbes épanouis et de sourires rassasiés haut de gamme ! Nous vous avons concocté un florilège des meilleures tirages et tirades érogènes à la langue bien pendue. Sur DDL, c'est toujours show !

     

    La direction décline toute responsabilité en cas de fuite séminale/cyprinale diluvienne des parties intimes communes. Avis aux reluqueurs et mateuses relaxés !

     

    Ce sujet revêt la plus grande importance par les temps difficiles qui courent, offrir du rêve pour pas un rond, ça n'a pas de prix !

     

    Que le spectacle commence ! C'est parti mon kiki !

Longue vie à l'essor des assoiffé(e)s de LI-BER-TÉ !

 

 

« Connais-toi toi-même et tu connaîtras l'univers et les dieux. »

 

■ Thalès de Milet, philosophe et savant grec.

On n'est jamais si bien servi que par soi-même.Charles-Guillaume Étienne (1777–1845)

"Fais ce que tu dois, advienne que pourra" ■ Proverbe français

Alors, Messieurs, Jouvenceaux, n'hésitez pas à vous palucher, allez au mastic, bande de branlots invétérés !                                                                                                                                                               Quant à vous, Mesdemoiselles & Mesdames, déridez-vous l'abricot avec tact et doigté. À l'occasion, faites-vous crisser le bonbon sans tabou, voire dilater les veines situées au pourtour de l'anus comme les cordes d'un piano à queue ; ici, vous ne passerez pas pour des moutons noirs...

Branlette un jour, santé toujours ! ■ Dicton plébéien

Carpe Diem !

 

Qui m'aime me suive.

 

À très vite,

 

■ La Veuve Poignet, votre dévouée partenaire officielle du bien-être

█│  VOUS SAVEZ QUI JE SUIS, MAINTENANT ?  │█

 

« Un photographe prend une photo. Un artiste capture sur le vif et saisit l'âme du modèle. On touche là à l'essence même de la Vie. La différence est de taille : le premier est un instantané, le deuxième peut s'enorgueillir d'être toujours dans l'air de l'Art Érotique. Les photos de charme sensuel affichées dans les arcanes de cet espace onirique sont le fruit juteux des réflexions, des humeurs, des impressions de belles femmes majeures qui posent de leur plein gré devant l'objectif. Au demeurant, personne – parmi les représentantes du beau sexe – n'est allé se faire croquer la margoulette avec un revolver sur la tempe.

Il y a une distinction essentielle à établir dans le monde de la photographie nue en ligne. Elle se situe entre la notion d' « art » d' « art érotique. » L'art est censé être perçu par les ondes vibratoires, les octaves supérieures, les sens les plus élevés de l'être humain, l'art serait apprécié pour sa forme, créativité et composition, et regardé avec une distance critique par l'intelligentsia. L'art érotique est censé être jaugé par les limites des sens inférieurs, utilisés pour soulager une satisfaction immédiate. Dans le sage génie du Paganisme Celte, les concepts manichéens du bien et du mal n'existent pas ou ont un sens radicalement différent d'aujourd'hui. Par conséquent, en tant qu'adulte évolué, indépendant, nous ne sommes pas du tout d'accord avec ces jugements culpabilisants normatifs de valeur. C'est pourquoi, si l'on ne veut pas être un idiot utile, un mouton de Panurge toute sa vie, il est essentiel pour tous les chercheurs spirituels de réaliser que le discernement fait partie intégralement de la croissance spirituelle.

Connecter le corps à l'esprit, c'est la philosophie quotidienne de tous les penseurs.
Si on veut une croissance spirituelle maximale, on doit aiguiser son habileté à discerner ce qu'est une vérité absolue et ce qui est une définition humaine de vérité càd une 'vérité ' relative matraquée dans l'inconscient collectif depuis 2000 ans. Le discernement réel ne peut pas venir en suivant une religion bordélique extérieure ou un enseignement spirituel extérieur. Il vient seulement en allant à l'intérieur de soi et en prenant contact avec son soi intime et ses propres maîtres ou enseignants spirituels. L'esprit charnel des 5 sens est basé sur les concepts dualistes du bien et du mal. Cela signifie que, quand on est piégé dans cet état de conscience réducteur, on a tendance à voir chaque chose en termes de blanc et de noir. La porte de sortie consiste à voir qu'il y a quelque chose au-dessus et au-delà des définitions relatives du bien et du mal. Jusqu'à ce que les gens atteignent un certain niveau sur le chemin spirituel, ils régressent, tombent dans le panneau, stagnent en basse fréquence vibratoire et ne peuvent pas tout simplement comprendre cet état de fait.

 

Le concepteur du concept novateur espère que les voyeurs et les voyelles pourront vivre une "expérience érotique" qui pourrait "les faire réfléchir à leur propre sexualité" ou les "rendre plus empathique à la sensualité des autres." De quoi exciter les plus réticent(e)s !... Les jeux peuvent "aider à parler du plaisir féminin et masculin et permettent de démocratiser et d'accepter la sexualité". En d'autres termes, le créateur du site Déesses de lumière estime que La Petite Mort a une visée pédagogique.
 
Le regard médisant des mastres sur les différences n'est pas toujours bienveillant. L'attitude exemplaire de nos consœurs visiblement à la coule, sociétaires du Grand Tout qui pratiquent La Chose fait d'elles l'un des porte-drapeaux de la pensée hédoniste.
Foultitude d'affranchies disposées sur ce support moderne pour se détendre un peu, comme un appel irrépressible à la jute. Chacun fait ce que bon lui semble de ses orifices.
Les jugements préconçues, les attaques à caractère moral sont inadmissibles. Les menotté(istes)s ne sont pas en odeur de sainteté. Pas de ça chez nous ! Notre faconde raffinée, impertinente ne manquera pas de railler la ratatouille religieuse qui voue les gêneuses (dites de « mauvaise vie ») donnant dans l'esthétisme, la gaudriole et les galipettes farcies aux pires gémonies.
 
Une bande de joyeux drilles iconoclastes fait le pari fou de rétablir la tradition paillarde (dont est issu Rabelais) en Terres de France. Du courage, merde !

 

Dans ces magnifiques clichés pris dans la joie, la sérénité et la bonne humeur, vous trouverez les modes, les rêves, les univers, les fantaisies, les extravagances hautes en couleur, les imaginations débridées des pléiades de modèles de nu fuoriclasse figurant parmi les plus belles "pépettes" au monde.

C'est avec un plaisir non dissimulé que je les aurais présentés au concours photo Nikon dans le thème minimalisme : la nature originelle dans son plus simple apparat.
 
Hey les mecs et les gonzesses avides de légèreté ! Arrêtez votre char ! C'est quoi la gamme ? – Que vous préfériez l'argentique ou le numérique, ne me baragouinez pas le contraire, vous adoreriez prendre le pouls de ces filles des foins très fertiles en grains, cintrées (à la taille), ensoleillées par nature, élevées en totale volupté avec un accent à couper au couteau,  nanas du terroir qui s'abandonnent à rire à gorge déployée, à vivre en bonne intelligence sur les versants chatouilleux des étreintes en plein air. C'est le choix des héroïnes de ces nouvelles pas piquées des hannetons. —
   

 « S'abandonner à vivre » est une manière de résumer le « pofigisme », un mot venu de Russie désignant un état d'esprit, une philosophie. Cela consiste à accepter « l'absurdité du monde » et « l'imprévisibilité des évènements », à se laisser porter par la vie sans chercher à lutter car le combat est perdu d'avance. Pour autant, il n'y a rien de déprimant dans cette résignation, au contraire ! Dès lors qu'elle est acceptée, la vie peut être vécue pleinement au jour le jour "Carpe Diem" et avec une réelle jouissance.

 

Et quand vous aurez pris le temps suffisant pour reluquer à tête reposée nos riches pages adultes à haute teneur en endorphine, votre état d'esprit aura franchi plusieurs paliers; vous sortirez surtout grandi de cette expérience notable ; la manière dont vous penserez l'Art Érotique sera changée pour toujours. Dans l'espace de la conscience, inscrivez le mot LIBERTÉ CHÉRIE pour être bien. La solution est là, à portée de main/clic, le long des méridiens énergétiques. De quoi tirer profit au maximum des bienfaits du corps humain fantasmé. Un esprit sain dans un corps sain. En plus de débrancher le cerveau, prendre l’air, vous allez booster votre taux de sérotonine sans sortir un centime.

 

En déflorant cette encyclopédie décalée qui remet avec humour et intelligence le cul dans culture – bande de coquinous – vous découvrirez enfin un magazine accessible qui n'est ni sexiste ni féministe et qui a pour thème les actes de consentement mutuel entre adultes, et sans être vulgaire. Tabou ou cliché, la seule limite des sujets traités reste encore le bon goût. À mettre entre toutes les mains de personnes majeures lettrées bien sûr. Un ouvrage didactique à la portée de toutes celles et ceux qui pratiquent ou non, mais surtout aux curieux ! Tout le monde s'y retrouve.

 

Une aubaine pour les chineurs/@mateurs concentrés à l'ère du tout numérique. De quoi en exciter plus d'un... Tout bénef’ !

Merci qui ? Merci bibi. »

 

■ Thierry la Fronde

 

 

" Aimer est le grand point, qu'importe la maîtresse ? Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse. "

 

Musset, Alfred de (1810-1857)

 

 

 

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« La critique est aisée, et l’art est difficile. »
 
Philippe Néricault Destouches (1680 – 1754)

 

Le nu est un art total, majeur, miroir d'un continent bouillonnant d'inventivité et d'énergie. Ses explorations, qui furent celles de tous les grands peintres du plein air remettent les pendules à l'heure. Voilà qui laisse rêveur...

Il était temps de secouer le pulpe, un danger du système esclavagiste féodal régalien menace notre champ de vision : le carré blanc. Et de replacer la Beauté ensorcelante à sa juste valeur, loin du crados, du clinquant, du commun, de la camelote porno racoleuse chers au goût miteux du commerçant soudard : là-haut, entre les marbres du Parthénon [et les] oiseaux, sur l'éventail d'Imaginos, à proximité de la Mer de Glace, au pied du majestueux Mont Blanc. 

On est et on naît esthète mais on ne le devient pas au fur et à mesure. La sensibilité ne se délivre pas sur ordonnance, par l’opération du Saint-Esprit. Le goût des merveilles ne se cultive pas, il est inné.

 

À vous dont l'authenticité sans calcul/esbroufe/forfanterie, le grain de folie en sus, l'altruisme, la banane aux lèvres, l'humour, l'autodérision et les prises de position anachroniques déplaisent/heurtent (à) ce monde/cachot conformiste pitoyable et détestable profondément triste quadrillé bondé de petites natures brimées et de charlatans ligotés/embarrasés aux entournures et de Napoléon en jupons emprisonnés par obligation d’un amour malsain comme une araignée peut enfermer ses proies dans sa toile.

 

« Créer, c'est vivre deux fois. »

■ Albert Camus (1942 – 1960)

 

« Ce que vous voyez vous rend heureux ? Tout est là. »

■ Constantin Brâncuși (1876 – 1957).

 

Joie et Discernement à tous ! Et bonne visualisation !

 

■ L'oppidum Celto-Ligure

 

 

Sweet Talk